Le Loup Pendu

beau pays gascon. Le Loup, la Chèvre, le Renard vivent ensemble dans les bois. Il vont à la foire avec les paysans. Tout ce monde ne s'entend pas toujours très bien. Le Renard est cruel, mais il sera puni. Quant au Loup, il est trop bête, tant pis pour lui ! Les gentils petits animaux, le Chat, la Poulette, l'Oie et même le Limaçon réussissent bien mieux leurs affaires. 1 Le Loup, le Limaçon et les Guêpes En ce temps-là, les bêtes parlaient. Un jour, le Loup marcha sur le Limaçon

qui le croit mort en le mordant à la fesse. 5. Ysengrin, le loup, nourrit Renart malade. Celui-ci lui volera ses jambons. 6. Abandonné par Renart, Ysengrin perd sa queue prise dans la glace. 7. Tybert, le chat, mange seul une andouille sous le regard haineux de Renart. 8. Renart dévore une corneille, est mis à mal par Ysengrin, se fait pardonner en volant pour le loup un jambon. 9. Renart fait croire à Dame Hersen que son mari le loup l’accuse de le tromper avec lui. Second Livre : 1. Devant comparaître

RIMBAUD (1854-1891) * A la musique * Age d'or * Au cabaret-vert * Aube * Bal des pendus * Bannières de mai * Bonne pensée du matin * Bruxelles * Chanson de la plus haute tour * Chant de guerre parisiPartagerPartager * Arthur RIMBAUD (1854-1891) * A la musique * Age d'or * Au cabaret-vert * Aube * Bal des pendus * Bannières de mai * Bonne pensée du matin * Bruxelles * Chanson de la plus haute tour

il n’en avait nul le droit. Enfin, il reste « Un loup quelque peu clerc », Fontaine sous-entend que le loup est cruel. Le loup joue le rôle de l’avocat, c’est lui qui condamne l’âne. En plus de faire la critique du fonctionnement du pouvoir, La Fontaine fait la satire de la justice. La fable est représentée comme une scène qui pourrait se passer dans un tribunal avec les animaux qui défilent à la barre et avec la présence d’un avocat (le loup). L’auteur montre que la justice ne juge pas le crime

graves des animaux puissants ne sont pas prises en compte « Tous les gens querelleurs, jusqu’au simple mâtin/ au dire de chacun étaient des petits saints»antithèse, ironie de La Fontaine - L’âne qui est le plus innocent est pendu. Il est le bouc émissaire. - Le discours du loup Le loup est assimilé au procureur. Discours indirect repris par l’assemblée des animaux - Condamnation injuste. Hyperbole + point d’exclamation v60 - Allitération en ca v59. Les courtisans déforment la réalité et transforment

.......................................................6 Le coq et le renard..................................................................... 7 Le coq et le diamant..................................................................8 Le chat pendu et les rats ...........................................................9 L’aigle et le renard ..................................................................10 Les paons et le geai .............................................................

| | |Vision horrible de la |Dans « La ballade |Dans « Je n’ai plus que|Bossuet veut montrer|Evocation macabre du |Description macabre des camps|Memento mori, | |mort ou des morts. |des pendus » : |les os » Ronsard se |« le corps mort » de|corps mangé des vers |de la mort au ch. 69 du |transis, vanités, | | |« chair dévoré et |décrit comme un |Lazare suivant en |par Voltaire dans le |livre

leur faisant vivre en bonne santé dans la vallée des larmes. Ursus est un paradoxe dans toute l'histoire car ses actions sont bonnes alors que son discours est haineux. Ursus vit avec son loup domestique Homo. Il l'appelle son frère, selon la phrase Homo Homini Lupus de Hobbes qui signifie que l'homme est un loup pour l'homme. Ursus revêt souvent une peau d'ours pour dormir et pour faire du théâtre, et ressemble ainsi aussi à une bête. Homo restera fidèle à Ursus du début à la fin de l'histoire.

Suit alors le second plan avec en début de vers la proposition nominale « la plaine ». Ici c’est l’horizontal des lignes qui compte, pour mieux mettre en valeur les verticales des lignes des « gibets » et des « pendus ». Le point final de ce plan moyen est le spectacle pitoyable des « pendus rabougris ». Nous découvrons ensuite le premier plan, où apparaît des personnages « livides », « prisonniers » et le « gros de haut pertuisaniers ». C’est là que l’œil s’arrête percevant le seul point de vue

où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur! La ballade Villon, Ballade des pendus (1462) Frères humains, qui après nous vivez, N'ayez les coeurs contre nous endurcis, Car, si pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tôt de vous mercis. Vous nous voyez ci attachés, cinq, six : Quant à la chair, que trop avons nourrie, Elle