Le Lyrisme De Alfred De Musset

Fantaisie), la méditation (A. Lamartine – Méditations politiques), la tristesse (A. Musset – Tristesse), l’amour (G. Nerval – Fantaisie), l’Orient (V. Hugo –Les orientales), la fonction du poète dans la société (Hugo – La fonction du poète). Ces choix s’expliquent par le positionnement du poète au centre de l’écriture, de la création poétique et de la société. En effet le ‘’je’’ s’impose dans le vers, le lyrisme en est la manifestation car il témoigne de l’empreinte de l’ego sur l’environnement,

LA2 On ne badine pas avec l’amour, Alfred de Musset, 1834 Acte II, scène 1, les tirades de Perdican, de “Il y a deux cents femmes dans ton monastère (…) à la fin. Introduction: On ne badine pas avec l’amour a été écrit par Alfred de Musset, grand poète et dramaturge du 19ème, en 1834. La pièce On ne badine pas avec l’amour n’était pas destinée à être jouée au départ. Sa première représentation a été faite après la mort de Musset en 1861. Elle raconte sur un ton tragi-comique les amours compliqués

Le lyrisme (poésie lyrique) est absent(e) de la Poétique d'Aristote et l'adjectif « lyrique » n'est attesté qu'à la fin du Xve siècle avec un sens lié au domaine musical :« dans l'Antiquité se dit de poètes qui composaient des poèmes déclamés avec accompagnement de lyre »2. Ce sens s'applique techniquement à la poésie gréco-latine de l'Antiquité (Théocrite - Pindare - Anacréon – Virgile - Horace - Catulle...) avec des genres comme l'élégie. Ce lien avec la musique caractérisera aussi l'expression

vient d'ailleurs de romance en anglais. En France, il prend de l'ampleur au début du XIXème faisant écho à une grande instabilité politique, et à des évolutions économiques et sociales. Ses représentants sont des écrivains ; Hugo, Alfred de Musset, Lamartine, Alfred de Vigny ; des peintres comme Delacroix ; des musiciens comme Chopin. Le romantisme permet aux artistes d'exprimer leurs inquiétudes et leurs déceptions face à un mode instable et dans lequel ils ne trouvent pas leurs places. Ils

DISSERTATION : La Beauté en Poésie Sujet : « Les plus désespérés sont les chants les plus beaux. Et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots », écrit Alfred de Musset dans sa Nuit de Mai. Êtes-vous d’accord avec cette conception de la beauté en poésie ? Vous appuierez votre réflexion sur les textes du corpus et sur vos connaissances personnelles. Devoir Rédigé : « L’art ne fait que des vers, seul le cœur est poète » écrit André Chénier dans L’Aveugle, exprimant ainsi le mot d’ordre

une génération d’artistes. - Se familiariser avec un contexte  : les années 1790-1850 sont au programme d’histoire de la classe de seconde, ce qui permet une approche pluridisciplinaire. - Travailler les registres privilégiés par le Romantisme : lyrisme, pathétique, tragique. - Mettre en relation des textes littéraires et des œuvres picturales – en utilisant les ressources des musées et/ou des apports iconographiques appropriés (images du manuel, documents apportés par les élèves, etc.) - Favoriser

poétiques de Lamartine La publication de ces poèmes lyriques en vers signe l'acte de naissance du romantisme en France. Si la sensibilité et le lyrisme du chef-d'oeuvre de Lamartine sont d'essence romantique, sa forme reste encore conventionnelle par bien des aspects (versification régulière, registre élevé). Alfred de Vigny, Victor Hugo, Alfred de Musset et Théophile Gautier emboîtent le pas à Lamartine et participent à cette nouvelle ère poétique qu'il a initiée. - 1823-1825 : Racine et Shakespeare

Requet Baptiste2nde 5 Les nuits Nous allons nous intéresser à Alfred Musset, mais plus particulièrement à son œuvre Les Nuits, écrit de 1935 à 1937, où nous allons expliquer le dialogue entre les deux personnages qui sont le poète et sa muse. Par la suite, nous allons examiner le lexique utilisé et les constructions choisies par le poète. Enfin, nous terminerons sur l’inquiétude du poète. D’abord, nous allons étudier le dialogue, qui est représenté sous forme théâtrale. Il oppose la muse et

caractérisé par : Le lyrisme (expression des sentiments personnels + musicalité) La communion avec la nature (se sentir très proche de la nature) et avec l'humanité Le rejet des règles classiques (en poésie (renvoi au siècle précédent 17ème)[La prose est tout ce qui n'est pas écrit en vers], au théâtre (règle des trois unités = temps-lieu-durée) Géricault (« Le radeau de la Méduse ») Delacroix (voir le livre p 244) Chopin Berlioz Victor Hugo Lamartine (Alphonse de) Chateaubriand Musset (Alfred de) Stendhal

sentiments personnels : lyrisme AMOUREUX.Baudelaire = Les Fleurs du mal Le serpent qui danse : poétique de l’analogie entre les courbes de la femme qu’il aime et le serpent, gracieux, à la peau douce, qui se meut sans bruit, lentement (connotations sensualité, femme langoureuse). Lamartine = Le lac (Méditations Poétiques 1820) : hymne à la femme qu’il aime et désespoir suite à sa mort (O lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !). Déjeuner du matin Prévert (Paroles 1945) : lyrisme à travers scène