Le Lyrisme Traditionnel

passé : v. 1 à 10 Vers 1 à lire comme sorte de manifeste poétique pour introduire, à l’orée du recueil, une nette rupture avec la poésie traditionnelle : • pas alexandrin a priori, même si doute (diérèse sur « ancien » → signifie détachement progressif de la versification traditionnelle) • se détache en dehors de toute strophe, vers isolé • lyrisme qui passe par « tu » adresse directe au lecteur • sens du vers signifie clairement refus de l’ancien Parti pris de modernité, qui se confirme

commentaire du sonnet X Le lyrisme est un registre que l’on associe volontiers à l’acte poétique, à tel point que l’on a même tendance à les considérer à tort comme indissociables. Cette idée est également entretenue par l’étymologie du mot : elle évoque en effet la lyre d’Orphée, le prince des poètes, qui par son chant calmait les bêtes sauvages. Il n’en reste pas moins que la poésie est un genre où le lyrisme a souvent sa place. Certaines formes, comme celle du sonnet, lui sont étroitement

tercets, et comportant un schéma rythmique régulier. "Le paysage" exprime tout du long l'amour à travers l'évocation d'un paysage. Il s'agit de voir comment se développe le thème traditionnel de l'amour, dans ce sonnet du XX°s. Dans un premier temps nous mettrons en évidence un sonnet lyrique avant de nous demander en quoi ce lyrisme est renouvelé ? Tout d'abord ce poème se lit comme un sonnet lyrique car il traduit l'expression personnelle des sentiments de Robert Desnos. Premièrement c'est bien le

répugnante, ensuite la promenade de l’amour et de la mort, pour nous interroger enfin sur la place que Baudelaire, romantique contrarié, assigne à l’art. 1. Une description répugnant : a. Un cadre idyllique : la nature, cadre poétique riant et traditionnel prépare un contraste, des antithèses… Mais le champ lexical est souvent ironique (« fleur s’épanouir »). b. Les cinq sens offusqués : odorat (« exhalaisons », « puanteur »), goût (« cuire », mangera »), ouïe (« pétillant », « bourdonnaient »)

partie de ces poètes qui choisissent de s'engager dans leur poème. Ainsi, dans « Le Musée Grévin », paru clandestinement pendant la guerre, Aragon exprime son patriotisme et la foi dans l'avenir. Dans une partie de ce long poème de facture assez traditionnelle, composé de dix quatrains, d'alexandrins aux rimes croisées, il imagine l'accueil que recevront les survivants de la déportation à leur retour et il fait un portrait de la France qu'il aime. Nous verrons comment l'Histoire vient s'inscrire dans

l’écriture du « Pont Mirabeau » : liaison avec Marie Laurencin du 1907-1912, qui a un appartement près du pont Mirabeau, donc Apollinaire devait traverser souvent ce pont pour aller la voir. Le thème : l’amour enfui, le chagrin d’amour tradition du lyrisme intime et amoureux Forme du poème : - 7 strophes - 4 Quatrains de 4 vers chacun - La métrique des quatrains est identique : 10/4/6/10 (Un décasyllabe, un tétrasyllabe, un hexasyllabes et un décasyllabe) - Refrain de 2 vers qui revient

LectureComment Beaumarchais arrive-t-il à transformer une simple scène d'exposition en un exercice de virtuosité ?Nous verrons premièrement que la scène est une scène d'exposition traditionnelle, puis que Beaumarchais arrive à la rendre originaleI) Une scène d'exposition traditionnelle : Beaumarchais respecte le principe traditionnel de la scène d'expositiona) placement des éléments du décor et de l'espace scénique : La scène d'exposition sert à présenter le cadre spatio-temporel, ainsi on apprend que

vivants, Orphée pris de doute, se retourna, vit une dernière fois sa jeune épouse qui disparut à jamais dans les Enfers. Après la mort d'Orphée, les dieux placèrent sa lyre au ciel où elle devient une constellation. C'est de la "lyre" que vient le mot lyrisme qui désigne un type de poésie privilégiant l'expression des sentiments, l'amour, la douleur du temps qui passe... Apollon, dieu de la musique et de la poésie, charmait aussi les dieux de l'Olympe quand il jouait de la lyre, son instrument favori.

l’Autre Pour parvenir à l’expression des sentiments les auteurs ont recours au lyrisme ou au symbolisme. Le lyrisme est le registre le plus ancien, il remonte à l’antiquité avec des poètes comme Virgile, poète latin qui a écrit Les Bucoliques . Ce genre, transmis de siècles en siècles est reproduit avec des clichés. Souvent ils reprenaient de vieux thèmes pour les renouveler, voir même pour faire évoluer le lyrisme « classique » comme le fait Rimbaud dans « Vénus anadyomène ». Les poètes utilisent

la structure du sonnet : 2 quatrains 2 tercets 2 mouvements : 2premiers quatrains, état psychologique de la poetesse sans que le lecteur sache de quoi on parle, 2 deniers tercets, explication logique, introduit par le mot outil «ainsi » (v.9) Le lyrisme, le JE (exprime sa passion à la premier personne du singulier) Présence de la poétesse à tous les vers Expression de la sensibilité (sentiments de joie, malheur, l'amour de manière allégorique qui devient un «personnage » indépendant) L'auteur expose