Le Malade Imaginaire Acte Ii Scène 6

psychique, à savoir la conscience. Il devient une réalité psychique à part entière. L’inconscient est une zone du psychisme restant étrangère à la conscience, parce qu’une force de refoulement l’empêche de devenir consciente. II) Théorie freudienne du psychisme. Dans la deuxième topique, qu’il élabore dans les années 1920, Freud distingue trois instances de la personnalité psychique : le ça, le moi et le surmoi. 1) Le ça. Le ça

succès en 1659 et il obtint en suite la salle du petit bourbon à Paris. Il écrivit l’avare en 1668 mais ce ne fut pas un succès et la pièce fut rapidement retirée. Molière mourut le 17 février 1673 après la quatrième représentation du Malade imaginaire. L’œuvre L’Avare est une pièce en 5 actes et en prose, présentée la première fois au théâtre du Palais-Royal le 9 septembre 1668. Elle fut peu représentée, environ une quarantaine de fois entre 1668 et 1763. Elle n’eut pas le succès escompté

Séance 2 Étudier les caractéristiques du texte théâtral Séance 3 Étudier le comique de langage Séance 4 Étudier le comique de gestes et le comique de caractère Séance 5 Identifier et utiliser les mots interrogatifs Séance 6 Étudier la notion du temps dans la pièce Séance 7 Mémoriser et jouer une tirade de théâtre Séance 8 Étudier le genre de la farce moderne Séance 9 Étudier la satire de la société dans Monsieur Badin Séance 10 Je m’évalue

« Comment, disait M. le Duc de X., Molière est-il fou et nous prend-il pour des benêts de nous faire essuyer cinq actes en prose ? A-t-on jamais vu plus d'extravagance ? Le moyen d'être diverti par de la prose! » NOTE D’INTENTION DU METTEUR EN SCENE Certes l’avarice est un trait de caractère, dont la pièce de Molière fait avec « maestria » l’apologie sans scrupule, et l’œuvre n’est pas là pour nous dire ni pourquoi ni comment Harpagon est devenu avare. Et pourtant, c’est sur ces sortes de questions

grands traits de l'esthétique classique  - donner des repères dans l'histoire du genre. Textes étudiés : Phèdre OI : -ActeI, sc1 - ActeI, sc3 - II, 5 «PHÈDRE, à Œnone, dans le fond du théâtre. - Etude comparative ACTEIII, sc2 et 6 - Acte IV, scène 6  -Acte V, scène 6 Corpus comédie : - Tartuffe, (I, 1) du début, jusqu’à « voyez la langue ! » -Amphitryon Acte I, sc2 Perspectives complémentaires : les sources antiques : Euripide et Sénèque Lecture d’images La Mise en scène : interview JL Barrault DVD 

et auxquels les programmes réservent l’étude du théatre autour d’une pièce de ˆ L’Avare 81 Molière, une initiation aux différentes formes de dialogue ainsi qu’une approche du discours argumentatif, qui sera approfondie en classe de troisième. II. Objectifs de la séquence Une problématique générale articulera entre eux ces différents objets d’étude : Qu’est-ce que le théatre ? Cette question ˆ ambitieuse, à laquelle nous répondrons avec la modestie qu’imposent les limites d’une séquence pédagogique

parce que son rapport à la scientificité porte débat sur deux fronts : • La rigueur de la démarche clinique se construit dans la confrontation à des contraintes réelles qui viennent de la résistance propre de l'objet, avec la nécessité d'en prendre acte par une construction de la complexité et par la prise en compte de l'implication du chercheur. La psychologie clinique comporte une autre définition de la rigueur que celle qui prédomine dans les instances scientifiques officielles de la psychologie

direct ou indirect pour l’abolition de la peine de mort. Il voulait que son texte soit la plaidoirie générale et permanente pour tous les accusés présents et à venir. Il attend d’être reconnu pour avoir dénudé et posé la question de la peine de mort. II- Les arguments de Victor HugoIl veut faire connaître ses idées, il soutient la thèse de l’humanité. Il cherche à convaincre les juges de modifier leurs pensées et leurs comportements face aux crimes, de les éclairés, de les émouvoir. Il pose un argument

provocateur. ►La situation d’énonciation : Qui est le narrateur ? A qui s’adresse-t-il ? Dans cette tragédie (le poids de la guerre) comique (les vieillards ridicules, la scène de la gifle, ). Le narrateur interprète tous les personnages. C’est par leurs répliques et tirades qu’il s’adresse aux lecteurs. A la première scène, c’est lui qui, par Cassandre, tient le pari que la guerre aura lieu. Et c’est par ce même personnage qu’il clôt sa pièce dans un dernier clin d’œil : « La parole est au poète

face à leur devoir. Les républicains ne réussiront d'ailleurs pas à prendre le pouvoir après la mort du Duc. L'échec de l'acte de Lorenzo semblait prédestiné : en effet Lorenzo agit seul et personne n'a le courage de le croire et de se servir de son acte comme d'un tremplin pour instaurer une République. Le personnage éponyme sera assassiné par un homme quelque temps seulement après avoir tué le Duc car sa tête avait été mise à prix. Analyse | |