Le Malade Imaginaire Acte Iii Scène 13

DOSSIER PEDAGOGIQUE Hernani de Victor Hugo mise en scène Christine Berg du vendredi 27 janvier au samedi 4 février 2012 Dossier pédagogique réalisé par Rénilde Gérardin, p rofesseur du service éducatif : r.gerardin@lacomediedereims.fr , Contacts relations publiques : Margot Linard : m.linard@lacomediedereims.fr J érôme Pique : j.pique@lacomediedereims.fr 1 texte Victor Hugo mise en scène Christine Berg scénographie et costumes Pierre-André Weitz lumières Elie Romero régie

j’ai entamé des études d’art-thérapie au centre PROFAC dirigé par Jean-Pierre ROYOL psychologue clinicien issu de FPP Lyon 2 et art-thérapeute. J’exerce en cabinet et dans le cadre d’une maison de retraite médicalisée dans le Gard, accueillant des malades atteints de la maladie d’Alzheimer. Je ne sais quel hasard a fait que je sois en même temps confrontée à la démence de mon propre père. En institution j’ai vécu celle des autres. Je vis de prés cette maladie qui est une longue descente vers la déchéance

Introduction 1. Alfred de Musset, biographie 2. Lire – Écrire : la genèse d’une œuvre 3. Écrire – Publier  : un spectacle dans un fauteuil, une œuvre au genre  mal défini 4.  ublier – Lire : les interprétations des critiques et des metteurs en P scène Séquence 3 – FR01 1 © Cned - Académie en ligne I ntroduction A Édition recommandée L’édition que vous devez vous procurer est celle des éditions GF : Musset, Lorenzaccio, présentation par Florence Naugrette, GF Flammarion, Paris

un projet au service d’une idéologie II-1 Texte, histoire et idéologie……………………………………………….. II-2 Roman et idéologie ………………………………………………………. II-3 Ambiguïté et projet idéologique CHAPITRE III III-1 : Le narrateur, porteur du projet idéologique ………………………………… III-1-1 Le personnage comme acteur social …………………………………… III-1-2 Le personnage du docteur Rieux ……………………………………. CHAPITRE IV IV-1 De l’implicite en général au silence en particulier TROISIÈME PARTIE : Analyse de l’œuvre à partir de son projet idéologique

. Phèdre : les derniers feux de la tragédie Un monstre esthétique La démolition du modèle héroïque traditionnel Une nouvelle métaphysique héroïque Du texte à la scène : l’œuvre et ses représentations 5 5 9 18 23 26 ■ Chronologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31 Phèdre ACTE PREMIER ACTE II ACTE III ACTE IV ACTE V 49 73 95 111 131 ■ Dossier. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Biographie de Racine Questionnaire sur l’œuvre Microlectures Débats contradictoires

Sommaire Introduction 1. Alfred de Musset, biographie 2. Lire – Écrire : la genèse d’une œuvre 3. Écrire – Publier  : un spectacle dans un fauteuil, une œuvre au genre mal défini 4. Publier – Lire : les interprétations des critiques et des metteurs en scène Séquence 3 – FR01 1 © Cned - Académie en ligne I ntroduction A Édition recommandée L’édition que vous devez vous procurer est celle des éditions GF : Musset, Lorenzaccio, présentation par Florence Naugrette, GF Flammarion, Paris 2008

exemple. Prémisses : sert de point de départ à un raisonnement Répétition : redondance, plusieurs fois le même terme donc mise en valeur de celui-ci Tirade : longue suite de phrases récitées au théâtre par un personnage sans pause Utopie : pays imaginaire et idéal mais qui n’existe pas. Conception du bonheur. Les différents registres (impression ressentie par le lecteur fasse au texte, ne dépend pas du genre littéraire) Lyrique : fait ressentir les sentiments du narrateur, caractérisé par un

relèverait, dans la conception freudienne, une sexualité « déculturée » car non marquée par le refoulement comme dans la névrose, où la sexualité est « névrotisée par l’éducation et la culture ». Ainsi, « le névrosé refoule ce que le pervers met en acte »[3]. La perversion sexuelle est une conduite qui dévie la pulsion sexuelle soit de son objet (pédophilie, inceste, zoophilie, nécrophilie…), c’est alors une situation ou une personne qui provoque l’attirance sexuelle ; soit de son but (exhibitionnisme

1re Lexique de français © rue des écoles, 2012 acte (au théâtre) ■ Dans la dramaturgie classique, une pièce de théâtre est divisée en actes. Au XVIIe siècle, on descendait, entre chaque acte, les lustres qui éclairaient la scène afin de renouveler les chandelles : par conséquent, un acte dure le temps qu’il faut pour brûler une chandelle, soit trois quarts d’heure. De nos jours, on baisse le rideau à la fin d’un acte pour le relever ensuite. ■ Une pièce de théâtre classique comporte

| | |La régression du patient |p.9 | |L’incapacité du malade qui ne contrôle plus ses troubles |p.10 | |Un danger potentiel : la domination par le soignant et la maltraitance |p.10 | |