Le Malade Imaginaire Conclusion

.....................................................................................................16 5. La méthodologie...................................................................................................................16 6. Conclusion............................................................................................................................18 ANNEXE...............................................................................................................

de nouvelles façons de vivre et de penser » Corps : Intro 3 Arguments donc 6 exemples Conclusion I - La littérature est un outil qui permet de transmettre des idées et de s’évader CAR elle permet aux auteurs de mettre en avant des valeurs morales humaines dans des critiques sociales. Elle incite donc le lecteur à y réfléchir et à se remettre en question. - Fable de la Fontaine : Les animaux malades de la peste ou le lion et le rat ou …. Dans la fable Le Corbeau et le Renard de Jean de

Jean-Baptiste Poquelin, surnommé Molière, fut l’auteur de plusieurs comédies connues du 17e siècle, dont : le Tartuffe, L’Avoire, Le Misanthrope et Le Malade Imaginaire. En 1665, Molière écrivit la comédie Dom Juan, une œuvre classique aux influences baroques qui dénonce l’absolutisme royal de son époque. Dans ce livre, le personnage principal, Dom Juan, est présenté d’une manière qui montre que ce personnage est un exemple parfait du libertin de l’époque de Molière. L’auteur décrit Dom Juan comme

Mais l'ironie est également obtenue dans les titres ronflants qui accompagnent les noms des savants : ''autre savant'', ''autre grand homme'' et par la latinisation des noms propres ( noms en -us ), procédé qu'avait déjà utilisé Molière dans Le malade imaginaire. Remarquons que la raillerie atteint tous les savants en particulier Hortsius, auteur d'un subtil ''distinguo'' par lequel ''il prétendit que la dent ''était en partie naturelle, en partie miraculeuse'' ( remarquons l'emploi du verbe prétendre

privation 44 Le conflit entre le moi et la libido 44 La formation des symptômes 46 Le rôle des fantasmes relatifs à l’enfance 46 L’angoisse 47 La fuite dans la maladie 49 Principaux types de névroses 49 7. – La cure psychanalytique 51 Le transfert 51 Conclusion : Quelques aspects de la pensée de Freud 53 Esprit scientifique et croyance au déterminisme 53 Critique de la morale sexuelle 54 Pessimisme (relatif) au sujet de l’homme et optimisme (absolu) au sujet de la vérité 55 Bibliographie 57 1. – Œuvres

France comme d'autres mères parlent de Blanche-Neige et du Chat Botté. » (p.51) La France était un conte qu’il a entendu durant sa jeunesse. C’est une légende que l’on peut raconter à tous les âges. Ce pays était pour lui un endroit magique et imaginaire mais il se rendra compte que ce n’est qu’un pays ordinaire au fil des années. 3. La France et les étrangers Romain et sa mère viennent d’arriver en France. Ils ont de l’argenterie à vendre mais ils tombent que sur des immigrés qui

Fables de La Fontaine, plus particulièrement « le Loup et l’Agneau » racontent des histoires plaisantes en montrant des principes fondamentaux comme l'éducation, ainsi que la présence de morale à chacunes de ses fables. Ainsi que Molière, Le Malade Imaginaire où il présente une critique de lui-même (maladie) mais aussi des médecins de son époque. Également dans L’école des femmes où cette fois, il présente une critique du mariage forcé. De façon plus évidente encore, des auteurs ont utilisé la

après des études sur les singes rhésus en laboratoire, montre la nécessité d’un lien d’attachement entre le bébé rhésus et la mère et toutes les implications qu’entraîneraient ce manque d’attachement. Au regard de ces résultats, sa conclusion fut la suivante : “ Toucher ne suffit pas. Il faut être touché pour construire un être social ”. Pour lui, un substitut tactile n’a pas d’effet sur la sociabilité du petit, il a besoin d’une véritable interaction pour acquérir

la conscience sont extrêmement lacunaires ; aussi bien chez l'homme sain que chez le malade, il se produit des actes psychiques qui, pour être expliqués, présupposent d'autres actes qui, eux, ne bénéficient pas du témoignage de la conscience. Ces actes ne sont pas seulement les actes manqués et les rêves, chez l'homme sain, et tout ce qu'on appelle symptômes psychiques et phénomènes compulsionnels chez le malade ; notre expérience quotidienne la plus personnelle nous met en présence d'idées qui nous

réussi à ce passer de logement, d’habits, … pendant bien longtemps, pourquoi eut-il besoin soudainement de celles-ci ? Enfin, Rousseau pense que le progrès rend l’homme malade. La société a apporté les vices et le mal moral à l’homme ce qui a entrainé le mal physique, l’homme en étant malheureux tombera plus rapidement malade. L’homme mène une vie déréglée ce qui peut précipiter sa mort. Sa devise est la suivante : « Qui ne sait pas supporter un peu de souffrance doit s’attendre à beaucoup souffrir