Le Malade Imaginaire Dialogue

(Argan se croit malade. Sa servante Toinette se déguise en médecin et fait semblant de l'examiner.) TOINETTE […] C'est du poumon que vous êtes malade. ARGAN Du poumon ? TOINETTE Oui, que sentez-vous ? ARGAN Je sens de temps en temps des douleurs de tête. TOINETTE Justement, le poumon. ARGAN Il me semble parfois que j'ai un voile devant les yeux. TOINETTE Le poumon. ARGAN J'ai quelquefois des maux de cœur. TOINETTE Le poumon. » MOLIÈRE, Le Malade imaginaire tragédie, nom féminin

le vœu de réussite adressé à Dieu souligné par « toujours » et l’adverbe « bien » devant « prospérer » : soumission servile et hypocrite des conseillers. Mais on peut se demander s’ils ne finissent pas par croire eux-mêmes à leurs conquêtes imaginaires, à la manière d’enfants jouant aux conquérants. En réalité Picrochole se paye de mots et paye en mots ses conseillers qui s’enivrent eux aussi de ces folles illusions… 3 2 ème mouvement : Intervention d’un personnage nouveau, silencieux jusque-là

spectacles dans lesquels des acteurs, mis dans les circonstances et les situations créées par un texte et la vision d'un metteur en scène/réalisateur, incarnent des personnages pour un regard extérieur (le public), dans un temps et un espace limités. Les dialogues écrits sont appelés pièces de théâtre, mais il peut y avoir également du théâtre sans texte écrit ou même sans aucune parole. Dans la création contemporaine, les frontières entre les différents arts de la scène (théâtre, mime, cirque, danse...) sont

dramatique comporte parfois aussi des danses qu’on ne peut pas non plus découvrir en lisant une pièce. Molière qui mélange le ballet et la comédie dans “le malade imaginaire” n’écrit pas son oeuvre pour qu’elle soit lue mais pour la mise en scène qui se sert des différents moyens pour exprimer l’action. Ainsi, la pièce incarne une cohésion du dialogue et de la danse afin de représenter une cérémonie burlesque d’Argan qui devient médecin. La danse et le chant sont des éléments qu’on voit mais qu’on

des descriptions du personnage, mais celles-ci sont faites pour l’adaptation au théâtre de l’œuvre. En effet, les effets spéciaux, durant le dénouement de Dom Juan, prennent toute leur ampleur avec les jeux de lumières ; le jeu des dialogues, dans le malade imaginaire par exemple, ou les personnages se coupent la parole, parlent en même temps. Cette cacophonie, à l’image des éclairs ou des mouvements des personnages, est difficile à visualiser par le lecteur, et nécessite une mise en scène pour faciliter

reproduisant avec sa femme la même relation qu'avec sa mère, préférant toujours la fuite et le compromis que la confrontation, subissant ainsi tout sans jamais s'affirmer)Ça nous rappelle la scène d'exposition du Malade Imaginaire avec le long monologue d'Argan qui met en scène à lui tout seul un dialogue avec son médecin et son apothicaire. A la fois remarquable par la performance du comédien, et par le comique de situation, de mots, de gestes que cela engendre, cette scène permet de révéler le caractère

"une description Balzacienne". L'étude des grands classiques de la littérature permet donc aux élèves de comprendre tous les sous entendu et l'origine des expressions quotidiennes, et de pouvoir desceller la présence d'allusion dans des discours, dialogues... L'études des grands classiques de la littératures ne permettent pas seulement un apport en culture général aux élèves contemporains, en effet dans la plupart des grandes oeuvres classiques nous pouvons remarquer des critiques de la société mais

de spectacles dans lesquels des acteurs, mis dans les circonstances et les situations créées par un texte et la vision d'un metteur en scène/réalisateur, incarnent des personnages pour un regard extérieur (le public), dans un temps et un espace limités. Les dialogues écrits sont appelés pièces de théâtre, mais il peut y avoir également du théâtre sans texte écrit ou même sans aucune parole. Dans la création contemporaine, les frontières entre les différents arts de la scène (théâtre, mime, cirque, danse...) sont

l’a vu l’an dernier : ce n’est pas un roman. C’est une démonstration, un essai ? Le lecteur est un peu perdu. Le père demande des nouvelles d’un des patients, méchant homme qui est accusé de « friponneries ». Le médecin répond qu’il est très malade mais qu’il essaie de le guérir. Les réponses du père et du philosophe s’enchaînent rapidement et violement (phrases courtes): ils ne sont pas d’accord avec le médecin : «  C'est un très mauvais service, une très mauvaise action » Ils sont

utilisés dans le but de créer ou d'habiller un lieu décrit par l'auteur qui laisse fréquemment des indications très vagues. Molière dans l'Avare qui nous fait savoir que l'action se passe dans la maison d'Harpagon ou bien encore un palais dans Le Malade Imaginaire. On dit souvent que « quatre planches, quatre tréteaux, deux acteurs, une passion » suffisent à faire une pièce de théâtre. Cette abstraction presque totale donne bien souvent au metteur en scène la possibilité de nous montrer son imagination