Le Malade Imaginaire Et Imagination

autobiographie de 137 pages, a été écrit par Jean-Dominique BAUBY. C'est un ouvrage paru le 6 mars 1997, édité par Robert Laffont à Paris. Organisé en 29 paragraphes dont un prologue, cette accumulation de petites histoires nous décrit comment « de simple malade, (il) était devenu un handicapé »(p14 l.17) mêlant sentiment et réalité. Une adaptation cinématographique a été réalisée par Julian Schnabel en 2007 en conservant son titre symbolique. Jean-Dominique BAUBY est né à Paris le 23 Avril 1952 et décède

quotidien qui s’effrite peu à peu et finit par disparaître, le temps de parcourir quelques pages. Un texte court peut suffire à nous faire nous évader : le poème le « Bateau ivre » de Rimbaud nous fera ainsi voguer au grès des courants, sur une mer imaginaire, à la fois grandiose et dangereuse, où l’on croise les « léopards à peu d’homme » et, même si l’on en revient à l’ « Europe aux anciens parapets », c’est bien notre monde que l’on a laissé derrière nous pour parcourir l’imaginaire, celui du poète

du texte théâtral. Texte avant tout littéraire, voire poétique (versification, V. Hugo, Racine...) 2. Rôle des didascalies. Fonction informative des indications scéniques, au plus près de l'auteur, pas « perverties » par metteur en scène. 3. Imagination du lecteur. Travail de l'imaginaire, le lecteur devient metteur en scène (selon Musset, texte de théâtre = « spectacle dans un fauteuil »). II/ La représentation donne une autre vision de la pièce. 1. Le théâtre comme lieu de l'émotion. Mot

propension à suivre l’imagination. Péritoï = ce qui est génial. L’artiste reprend et refaçonne les images conservées en lui, il est transporté dans un autre état qui fonde la vérité de son œuvre = mélancolie = métaphore de l’imagination. (le sujet malade n’a pas de recul face à elle). Deux choses : soit mélancolie = torpeur : illusion et démence/ soit est capable de ne pas s’y enfermer et il peut toucher au génie. La frontière est ténue. Met sur le même plan héros mythiques littéraires et personnages

aussi s’élever socialement et impressionner ses interlocuteurs)X – Le Malade imaginaire de Molière (extrait acte 1 scène 1)Intro :· Molière (1622-1673) : classique, comédien et dramaturge, contre les médecins, mort après une représentation de cette pièce, comédie des mœurs (dénonce travers humains avec personnages caricaturaux, satyre sociale contre hypocrites et charlatans)· Extrait : 1673, début acte 1 scène 1du Malade imaginaire (=scène d’exposition), Argan est dans sa chambre et fait ses comptes

courant de vie qui se déploie à travers la matière en créant perpétuellement de nouvelles formes. * réalité : 1) Réalité: * Caractère de ce qui a une existence concrète, par opposition aux apparences, aux illusions ou aux fictions de notre imagination. * Ensemble des choses et des faits réels. 2) Réel: * Comme adjectif : qui existe effectivement, et pas seulement à titre d'idée, de représentation ou de mot (exemple : un pouvoir réel). * Comme nom : l'ensemble des choses qui existent, le monde

exercice d'imagination ou une évocation de la réalité ? Pour ce faire, nous allons tout d'abord étudier la poésie qui reflète la vérité dans laquelle vit le poète, puis dans un second temps, nous analyserons les poésies qui s'inspire d'un monde imaginaire, puis finalement, nous verrons que la poésie peut utilisé l'irréel pour commenter le réel. La poésie peut nous permettre de disposer d'une meilleure connaissance du monde qui nous entoure, par opposition à notre monde intérieur. Alors que ce

largement le reflet de l’auteur, dans sa recherche pour fonder un nouvel humanisme ("Le plus proche de moi, ce n’est pas Tarrou, le saint, c’est Rieux le médecin", déclarait-il en juin 1947). D’autre part, c’est lui le narrateur de cette chronique imaginaire, bien que celle-ci soit écrite à la 3e personne, et qu’il ne dévoile son identité qu’à la fin. Paradoxalement, ce souci de discrétion, ce désir de ne pas s’attribuer un rôle central dans le récit des événements, renforcent la présence de Rieux,

le mépris ou la moquerie. Elle fait passer l’apparence des choses pour les choses elles-mêmes et sa puissance est telle que même si la raison peut dénoncer ses ruses, elle est sans force de conviction par rapport à ses séductions. Cf. « Imagination. C’est cette partie dominante dans l’homme, cette maîtresse d’erreur et de fausseté, et d’autant plus fourbe qu’elle ne l’est pas toujours; car elle serait règle infaillible de vérité, si elle l’était infaillible du mensonge. Mais, étant le plus

n’est pas destiné à n’être que lu. Le vingtième siècle marque en plus le début de la mise en scène, l’épanouissement de l’art de la représentation. Mettre en scène est aussi un acte de création qui demande au metteur en scène d’employer son imagination et sa créativité. Ce n’est pas simplement de mettre en haute voix le texte, c’est un art qui diffère de la création littéraire. Ionesco écrit : « Je ne fais pas de littérature. Je fais une chose tout à fait différente ; je fais du théâtre. » Le