Le Malentendu Personnages

sans doute, est quelque chose de beau quand elle est bien touchée ; mais la comédie a ses charmes » A travers son personnage, le dramaturge reconnaît la beauté de la tragédie mais prend aussi la défense de la comédie et fait son éloge. Que fais la beauté et l’intérêt de ces deux genres littéraires opposés ? La comédie, contrairement à la tragédie, est portée sur le rire, ses personnages et son contexte grotesque rende la pièce divertissante tout en la rendant appréciable a voir ou même à lire par

elle-même. A. La double-énonciation Les personnages ont un rapport direct avec le public. (se sont des personnages de la vie quotidienne, pour que le public se reconnaisse dans les scènes jouées). Confiance entre les personnages et le public (ex : dans le mariage de Figaro, la comtesse et Suzanne en s’alliant contre le comte et le critiquant à tout point, créer une relation de confiance et de sympathie avec le public) Les dialogues entres les personnages permet à l’auteur de mieux s’impliquer dans

traits vivement accentués, la barbe, les cheveux et même les ornements de la coiffure. Suidas et Athénée nommèrent le poète Hœrile comme l’inventeur des masques. Le masque avait des fonctions diverses. Il servait à indiquer : Le sexe du personnage Sa fonction dans l’histoire Son caractère Son humeur Etc… Il y a 4 sortes de masques en Grèce antique: ceux de la tragédie qui inspiraient la terreur, ceux de la comédie qui accentuaient le ridicule, les drames satyriques représentaient

 En 1940, Albert Camus vient d’achever l’écriture de son romain, l’Etranger, prenant place dans la tétralogie « cycle de l’absurde ». Cette partie de son œuvre, comprenant Le Mythe de Sisyphe, Caligula et le Malentendu, représente sa réflexion sur l’aspect absurde qui définie la condition humaine et l’humanisme à atteindre lorsqu’on dépasse cette absurdité. Dans ce roman qui s’ajoute à cette idéologie, l'auteur cherche à nous faire appréhender la seule certitude

fait d’Arlequin un valet comique. Alequin fait donc rire et représente un personnage comique par sa vivacité, son excès et son impatience amoureuse mais également le fait qu’il soit déguisé. Et il ne joue pas parfaitement son rôle de maitre ce qui amuse le spectateur. Quand Arlequin se croit aimé d’une grande dame son comportement devient un peu insolant et s gène pas de se moque de son maitre Dorante. Les autres personnages ont un effet comique plus discret qu’Arlequin. La seconde forme de comique

Camus a expliqué qu'il souhaitait une renaissance de la tragédie . Ainsi, des auteurs du XXème siècle ont réussi à trouver une façon d'écrire des tragédies modernes. tragédies contemporaines se distinguent de leurs ancêtres grecques par leurs personnages plus « humanisés » et sensibles, ceux de Sophocle ou Eschyle ou n'importe qui étant dramatiques et, pour la plupart des demi-dieux. Le théâtre occidental du XXe siècle a désespérément tenté de ressusciter la tragédie et de la moderniser. On

dramatique un jeu burlesque ». D’abord, il est comique, grâce aux non-sens : les personnages sont en perpétuel quiproquo, malentendus, comme dans La Cantatrice Chauve (Ionesco) lors du face à face entre Mme Martin et M. Martin « Comme c’est curieux ! Ma place aussi était dans le wagon numéro 8 … ! ». Les deux personnages sont mariés et ne se reconnaissent même pas. Cela est dû à une difficulté de communication entre les personnages : la parole est futile car elle ne sert qu’à combler le silence, il n’y a

roman, L’Étranger, qui invite le lecteur à partager une expérience philosophique. En effet ce livre appartient à un ensemble d’œuvres avec l’essai philosophique Le mythe de Sisyphe, publié la même année, et les pièces de théâtre Caligula et Le malentendu, datant elles de 1944. Camus l’appelle le « cycle de l’absurde », L’Étranger raconte l’histoire de Meursault, un français d’Alger d’un milieu plutôt populaire, depuis l’annonce du décès de sa mère à sa condamnation à mort : en effet, au cœur du

quatre siècles après. Ces deux dramaturges critiquent les moeurs de leur ère, dénonçant l'hypocrisie des conventions sociales. On peut alors se demander comment le théâtre ridiculise cette hypocrisie. Premièrement, il s'agit d'étudier le type de personnages mis en scène dans les deux extraits. Dans le texte de Molière, Célimène dresse un portrait péjoratif de courtisans, en leur caractérisant de "gens extravagants"l.2, "toujours affairé" l. 19, "ennuyeux" l.29, " pauvre esprit" l. 40... Les quatre

ce ressort est moins développé chez Racine que chez Euripide. Quant à Oenone, son dévouement aveugle, excessif à sa maîtresse la conduit à la perdre en voulant la sauver. La notion de tragique fait également apparaître celle de fatalité. Les personnages sont entraînés dans une logique qui les dépasse. Pour Phèdre, la fatalité a le visage de Vénus, "tout entière à sa proie attachée", et prend la forme de la passion. Une malédiction héréditaire pèse sur l'héroïne. Le verbe latin patior, d'où nous