Le Manuel D Epictete Resume

l’idée qu’exprime Schopenhauer : L’absence de tout but et de toute limite est […] essentielle à la volonté en soi, qui est un effort sans fin. […] Le but atteint n’est jamais que le point de départ d’une carrière nouvelle, et cela à l’infini. […] En résumé, la volonté sait toujours, quand la conscience l’éclaire, ce qu’elle veut à tel moment et à tel endroit ; ce qu’elle veut en général, elle ne le sait jamais. Schopenhauer, Le Monde comme volonté et comme représentation Dire que la volonté est

le Dieu des chrétiens) et citoyens du monde. Les honneurs sont à compter au nombre des choses indifférentes : ils ne dépendent pas entièrement de nous et de notre valeur réelle ; la mondanité et l’opinion en disposent. C’est pourquoi l’esclave Épictète a pu être admiré par l’empereur Marc Aurèle : par sa hauteur d’esprit, son courage, sa simplicité et son sang-froid, l’esclave montrait qu’il faisait parti des véritables maîtres, contrairement à ces personnages sinistres et creux qui singent dans

la distinction entre intérieur de l’extérieur (a notre pouvoir) Ce que l’homme doit faire pour être heureux c’est accepté l’univers tel qu’il est et sa place en son sein. (cf. mort d’un ami) Epictète « ce ne sont pas les événements qui attriste les hommes mais les jugements que l’on parte sur eux » (résume la théorie du stoïcisme ; Il faut arrêter de vouloir changer le monde. On un savoir vivre en 3 éléments : Ce qui dépend de moi / se qui ne dépend pas de moi : Ignoré les éléments qui ne

fatum n’implique-t-elle pas l’impossibilité pour l’homme d’agir ? Ne conduit-elle pas dès lors à la paresse et à l’immoralité ? À la paresse : tel est le sens du fameux argument paresseux (argos logos en grec ou ignaua ratio en latin), que Cicéron résume vigoureusement : « Si ton destin est de guérir de cette maladie, tu guériras que tu aies appelé ou non le médecin ; de même, si ton destin est de n'en pas guérir, tu ne guériras pas que tu aies appelé ou non le médecin ; or ton destin est l'un

Lois (résumé) Résumé de l’oeuvre De l’esprit des Lois de Montesquieu De l’esprit des Lois est un ouvrage du philosophe Montesquieu, publié à Genève en 1748, sans nom d’auteur. Read More » Marcuse : l’Homme Unidimensionnel (Commentaire) L’homme unidimensionnel est une oeuvre d’Herbert Marcuse, philosophe allemand de l’Ecole de Francfort (à laquelle ont également appartenu Habermas, Horkheimer ou encore Adorno). C’est une oeuvre Read More » Critique de la faculté de juger de Kant (Résumé) Emmanuel

ce que vous allez faire tout au long de l’année… Il y a plusieurs approches possibles : I / Des textes classiques de l’histoire de la philosophie Platon, l’apologie de socrate Descartes, Le discours de la méthode Epicure, La lettre à Ménécée Epictète, Manuel Sartre, L’existentialisme est un humanisme Les quatre premiers textes sont en accès libre dans leur intégralité sur le site. II / D’autres textesMais en philosophie, il s’agit avant tout de penser, de construire des raisonnements argumentés

disait Sénèque. Pour le stoïcien, le sage maîtrise le moindre de ses actes et il ne fait rien qui ne soit pensé et voulu. Épictète distingue les choses qui sont en notre pouvoir (« qui dépendent de nous » : nos jugements, nos tendances, nos désirs) et les choses qui ne dépendent pas de nous (le corps, la richesse, la réputation). L’unique souhait du désir, nous rappelle le Manuel, est d’atteindre l’objet désiré. Or, si nous investissons notre désir dans des objets qui ne dépendent pas de nous, il est

devoir, ou plutôt par pur devoir (et non pas simplement conformément au devoir, mais de manière intéressée), qui rend l'attitude morale. Pour la psychanalyse, il n'y a pas de bien et de mal. En effet considérant que les maladies mentales peuvent se résumer à trois grandes structures : la structure psychotique, la structure névrotique, puis la structure perverse, on comprend que la perversion, soit ce qu'on appelle communément le mal, n'est pas un péché comme pour les religions monothéistes mais seulement

menace de mort, dis-tu, on me contraint ? Ce n’est pas cette menace qui te contraint d’agir, c’est l’opinion que tel ou tel acte est préférable à la mort ; c’est donc bien encore ton jugement qui t’y oblige ; c’est la volonté qui oblige la volonté. Epictète, Entretiens, livre I, chap. 17 On ne décide pas des circonstances, mais la situation étant donnée on a toujours le choix. Pour être libre il suffit donc de savoir distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n'en dépend pas : Souviens-toi donc

objets fabriqués, mais nous sommes des vivants. On ne naît pas avec des instincts, tous les comportements sont appris. ★ Clivage entre intention morale et acte  contresens sur Kant. La question est autre chez Kant : est ce que l’intention peut se résumer au bénéfice que l’on attend de l’acte ? Tout l’intérêt de Kant montre que la conscience morale appartient à chaque homme, même aux criminels : chacun sait où est son devoir  certains l’accomplissent, d’autres non. Le fait d’accomplir fait en effet