Le Marché De La Monnaie Chez Les Classiques

économique. Restitution d’un rapporteur et synthèse de l’animateur Pause 1h 0 h 15 Activité 2 Travail en sous-groupes Les économistes classiques Distinguer les principaux éléments de la pensée économique classique. Restitution d’un rapporteur et apports collectifs Activité 3 Travail en ateliers Distinguer les principaux éléments de la pensée économique classique. Restitution des rapporteurs et apports collectifs 0 h 40 0 h 25 0 h 30 Déjeuner Activité 4 0 h 10 Travail en sous-groupes Les néoclassiques

l'économiste britannique John Maynard Keynes. Pour les keynésiens, les marchés laissés à eux-mêmes ne conduisent pas forcément à l'optimum économique. En outre, l’État a un rôle à jouer dans le domaine économique notamment dans le cadre de politique de relance. Toutefois, l'importance de ce rôle varie avec les courants keynésiens et avec les traditions étatiques des différents pays. Les courants dominants actuels sont la synthèse néo-classique nommée aussi néo-keynésianisme et la nouvelle économie keynésienne

I. L’école classique : 1) Adam Smith : La division du travail : Adam Smith met en évidence le rôle de la division du travail comme facteur de croissance intensive, elle permet de réaliser des gains de productivité, parce qu’elle développe l’habilité du travailleur, par la répétition des tâches et les effets d’apprentissage qui lui sont associés. La main invisible : l’économie de marché est régie par une main invisible, la course après l’intérêt personnel mène directement vers l’intérêt

représentation importante de l'école classique française. L'apport principal de Say est constitué par la loi des débouchés. Pour lui,  « l’offre crée sa propre demande », car dès que le producteur a terminé un produit, son premier souci est de le vendre pour sa valeur et de se défaire du revenu ainsi acquis, afin de se procurer d'autres produits de valeur équivalente. Ainsi, il n'y a pas de problème de débouchés. Au final, les produits s'échangent contre des produits, et la monnaie n'est qu'un instrument facilitant

est susceptible de satisfaire Les propriétés attribuées aux biens La rareté ou disponibilité relative du bien La mise en œuvre d’une production (reproductibilité des biens) Existence d’un marché Si un bien est abondant, accessible, sans coût, sans travail et s’il n’y a pas de marché pour l’échanger, ce n’est pas un bien éco. On parle de bien libre. Ex : le soleil, l’air… Mais c’est ces biens qui peuvent devenir éco s’ils se raréfient (eau pour le désert….) Les biens comme les

dans le court terme, car les prix réagissent lentement aux changements de l'offre de monnaie . Selon ce point de vue, si l'offre de monnaie tombe, les gens dépensent moins d'argent et la demande de biens diminue. Parce que les prix et les salaires sont rigides et ne tombent pas immédiatement, la diminution des dépenses entraîne une baisse de la production et des licenciements de travailleurs. Nouveaux classiques critiqué cette tradition, car il lui manque une explication cohérente théoriques pour

- On rémunère le travail par l’achat d’un bien pour s’éviter la pénibilité de le fabriquer soi-même ou face à l’incompétence que l’on a de le produire. Les deux accep7ons de la valeur travail chez Smith permePent de concevoir une société où les individus sont complémentaires les uns par rapport aux autres dans un cadre harmonieux puisque chacun en fonc7on de ses compétences, de sa « dextérité » va pouvoir trouver une place dans cePe société

................................................................................................ 16 LES CATEGORIES ECONOMIQUES : CIRCUITS ET EXCEDENT FINAL ................................................................................. 18 LA MONNAIE CHEZ LES MERCANTILISTES ..................................................................................................................... 19 LOCKE ET LA BALANCE DU COMMERCE .......................................................................

Analyse du marché des biens. Point de l'analyse microéconomique : Grandeurs locales En microéconomie : Les agents sont tous rationnels et libres. Ils font donc des choix cohérents. Il n'y pas a pas de monnaie , elle a un rôle secondaire. Donc de monnaie voile. Il n'y a pas de temps. En macroéconomie : L'économie est un tout ; Les agents ne sont pas important en eux même mais globalement. Leur place globale qu'ils ont dans le système. En revanche en macroéconomie la monnaie a un rôle fondamentale

théories monétaires dominantes perçoivent le rôle de la monnaie dans l’activité économique et comment elles fournissent un cadre théorique aux pratiques monétaires. Le choix se porte arbitrairement sur les principaux courants de pensée économiques (classique, keynésien, néoclassique, et marxiste), sachant qu’une stylisation et même une simplification est nécessaire. Section I – La théorie classique (18è siècle à 1936) Pour les classiques, la monnaie est un voile, en ce sens que les forces monétaires