Le Marché De La Monnaie Chez Les Classiques

Chapitre 2 : La monnaie, variable clé de l’économie ? Fort clivage théorique : Ceux qui considèrent la monnaie comme « voile » : monnaie dichotomique, elle n’intervient pas dans l’allocation des ressources. Elle ne sert qu’à fixer les prix absolus, les prix relatifs sont fixés par le marché Ceux qui considèrent la monnaie active : elle est intégrée au raisonnement parce qu’elle agit sur les comportements  politiques monétaires possibles I)Le quantitativisme monétaire A)Les prémices de la

Théorie de disparition de la monnaie (chez Marx mais dans une société d'abondance), du crédit gratuit (chez Gisell et Proudhon), de la monnaie à usage unique (pour éviter l'accumulation)... Le mercantilismeJean Bodin, Thomas Mun, Richard Cantillon.Bodin est le père fondateur de la théorie quantitative de la monnaie : tous les auteurs qui vont suivre vont s'inscrire dans cette problématique : quels sont les différents effets économique d'une variation de la quantité de monnaie en circulation dans l'économie

2.5 Les idées économiques : du mercantilisme aux néoclassiques 16°s et 17°s : apparition de l’éco politique (meilleures moyens d’accumuler de la richesse) : mercantilistes, classiques, néoclassiques se succèdent. I) La naissance de l’économie politique : les mercantilistes A) Aux origines de la pensée mercantiliste Fruit de la réflexion d’un gpe non homogène. Intérêt pour les rapports entre le mondé éco et politique. Epoque de transition ou s’affirment les grandes puissances. B)

italien Adam Smith : « le mercantilisme n’est pas autre chose qu’un tissu de sophisme protectionniste imposé à un parlement vénal par marchands entrepreneurs. » « Les sophistes sont fondés sur la croyance pop que la richesse régit uniquement dans la monnaie. » Pour beaucoup de mercantilistes espagnols et portugais, les métaux précieux constituent selon eux une richesse. Un partie des mercantilistes est victime de l’illusion mon ou encore ce que l’on appel le chrysohedonisme (croyance à ce que le bonheur

pour les juger. L’homme s’intéresse à l’économie depuis qu’il y a des pratiques économique : produire des richesse , les accumuler , les échanger . Le premier ouvrage traite d’économie politique de 1615 . L’idée de science apparaît au 18 éme siècle chez des auteurs français puis avec Adam Smith 1776 ( dates de naissance de la science économique ) « cause de la richesse des nations » . A la fin 19 s début de la science économique actuel . Avant on jugée avec une question morale sur des problème économique

LES ANALYSES NEO-CLASSIQUES ET AUTRICHIENNES ET LES POLITIQUES LIBERALES 2013 Edwige Hewlett-Packard 08/02/2013 Travail de Mlle SANOGO Mariame Professeur M.ECHIMANE TITRE : LES ANALYSES NEO-CLASSIQUES ET AUTRICHIENNES ET LES POLITIQUES LIBERALES……………………………………………………………………………………………………..………………………3 I –LE NEO CLASSIQUE…………………………………………………………………………………………3 1-Historique …………………………………………………...................................................3 2-L'analyse néoclassique……………………………………………………………………

politique Le terme économie politique apparait au XVIIIème siècle avec les Pères de l’économie politique ou science économique (Aristote), économique ( à partir du XXème siècle Machall), dont l’économiste Britannique Adam Smith (économiste classique). Economie : Satisfaire un certain nombre de besoins en fonction de ressources rares (approche Néoclassique). Créer et répartir les richesses (approche Keynésienne). L’économie comme toutes les sciences humaines et sociales a pour objectif d’étudier

Cours d’Economie EAR 002 Geneviève SCHMÉDER Professeur des Universités LA MONNAIE La monnaie est l’ensemble des moyens de paiement utilisables et acceptés par tous dans une communauté ou un espace donnés. Résultant d’une convention sociale et matérialisée dans un support n’ayant généralement aucune valeur intrinsèque (papier par exemple), la monnaie ne vaut que par son acceptation par les utilisateurs (monnaie fiduciaire, de fides : foi, confiance). Sa valeur est celle qu’on lui prête, comme

manufacturier à partir de la fin du XVIIIe siècle s'accompagne de l'émergence de la première école de pensée. L'école classique dont Ricardo est le principal théoricien c'est également dans le cadre de l'explosion de ce capitalisme industriel à la fin du XIXe siècle que Marx élabore son discours économique social et politique, il est d'ailleurs considéré comme le dernier des classiques. P2 La doctrine mercantiliste C'est une approche nouvelle qui s'oppose au discours économique dominant hérité

non normative. Elle possède une position dominante. L’économie à un mode de pensé universel contesté par des hétérodoxes. Cette discipline légitime et égoïste est préférée de l’intérêt général. Les néo-libéralismes sont favorables à une société de marché. L’économie est une science automatique, elle s’auto régule. Les chercheurs et les économistes estiment que l’économie apporte énormément à la société. C’est un processus d’expression des libertés des individus. BARTOLI, propose une notion économique :