Le Marché De La Monnaie Chez Les Classiques

Sujet : Analyser les conséquences de la décroissance de la propension marginale à consommer sur le niveau de l’emploi chez Keynes. Keynes (1883-1946) a publié en 1936 un ouvrage majeur intitulé « La théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie ». son oeuvre a révolutionné la théorie économique, de 1945 à1975 les pays de l’OCDE ont menés des politiques économiques partiellement fondées sur le Keynésianisme. Ce dernier forge un modèle d’analyse global des relations économiques qui

fonctionnement de l'économie dans son ensemble. Agrégats monétaires : ensemble des moyens de paiement dans une nation. On distingue plusieurs agrégats en fonction du degré de liquidité de leurs composants. Les agrégats retenus sont : M1 = Billets et monnaie divisonnaire (pièces) + dépôts à vue. M2 = M1 + placements à vue (comptes sur livret + comptes d'épargne logement, CODEVI). M3 = M2 + placements à forte liquidité (comptes à terme, certificats de dépôts, bons des institutions financières, titre

la monnaie n'est qu'un intermédiaire des échanges, en elle-même elle n'est pas source de richesse. La plus grande source de richesse reste les produits issus de l'agriculture. - L'erreur des physiocrates est de surestimer l'importance de l'activité agricole, et de négliger celle de l'industrie. - Si Marx critiquera l'idée de lois naturelles dans l'économie, il s'inspirera du tableau économique. L'influence de Quesnay sera en revanche très forte sur les Classiques. L'école classique :

des règles de conduite des activités domestiques. Aristote condamne l’activité économique lorsqu’elle s’écarte de la satisfaction des besoins familiaux. Il oppose la chrémastique naturelle à la chrémastique mercantile. Exemple : accumulation de monnaie. B. La pensée médiévale Moyen Age : renouveau des échanges commerciaux et multiplication des opportunités de profit. Les penseurs de l’époque ne s’attachent pas à décrire des mécanismes économiques mais cherchent à définir leur moralité

L’analyse monétaire chez J.M. Keynes et M. Friedman La monnaie est une source de réflexion et d’interrogations multiples pour les économistes et ce depuis le 16ème, celle-ci se poursuit au 20ème siècle. Deux questions se posent et vont être à l’origine de clivages: - quel est le rôle de la monnaie dans l’économie - la monnaie peut-elle avoir des conséquences sur l’activité économique ? Si on admet que la monnaie est « déconnectée » du monde réel on adopte alors une position dichotomique

POLITIQUES ECONOMIQUES ET SOCIALES: RELANCE ET STABILISATION   I.  Comment justifier l’intervention de l’Etat ? L’Etat intervient pour compenser les déséquilibres du marché. Il sert d’amortisseur aux crises économiques (c’est la théorie keynésienne : c’est à dire que l’Etat fait en sorte à ce qu’il y ait plein emploi, il régule le marché pour réduire le chômage). Il intervient aussi pour corriger la répartition des richesses. On entend par "intervention" une régulation concernant: * l’affectation

certain nombre de problématiques à caractère économique sont soulevées par les philosophes. A l'époque, les grecs et les romains préfèrent pratiquer, bâtir l'économie plutôt que la penser. Globalement, on fait du commerce (c'est le début des premiers marchés). Ces deux peuples prospèrent grâce à la guerre et à l'esclavage mais ne s'intéressent pas encore à la question de la production et de la répartition des richesses. Xenophon est l'inventeur du terme « économie », oikonomia en grec, ce qui se décompose

entre réalistes et nominalistes (12ème et 13ème siècle) Partie I : Les controverses fondatrices de la pensée monétaire classique 1. La controverse Bodin / Malestroit et la théorie quantitative de la monnaie 1.1 La thèse de Malestroit 1.2 La réplique de Jean Bodin 1.3 Bodin, précurseur de la théorie quantitative de la monnaie 2. Des controverses autour de la valeur de la monnaie 2.1 La controverse bullioniste 2.1.1 Le contexte 2.1.2 L’enjeu et les arguments 2.1.3 Fin de la controverse 2.2 Le principe

précurseurs de l'économie (les mercantilistes et les physiocrates) puis avec les Classiques. Dans leur pensée économique, ils expliquent d'où provient la croissance. Nous allons donc nous poser la question suivante: comment ces différents courants de pensées expliquent-ils la croissance? Nous expliquerons dans un premier temps la croissance selon les précurseurs de l'économie puis selon les classiques. I La Croissance chez les Précurseurs de l'économie: Mercantilistes et Physiocrates Premièrement

Et contrairement à la microéconomie, qui analyse le comportement et l’évolution des éléments de base de l’économie (entreprise, consommateur, marché) la macroéconomie s’intéresse elle, aux mécanismes économiques à l’échelle globale essentiellement nationale. La macroéconomie permet de comprendre les mécanismes économiques et de déterminer l’origine des évolutions positives ou négatives de l’activité économique. Elle sert de base à l’adoption des politiques économiques. La politique économique est