Le Masque Rouge

par douze personnages portant des masques. Ces personnages semblent irréels et sordides pour quelques raisons. Premièrement, il est difficile de remarquer la différence entre les hommes et les femmes. En outre, les masques représentent des têtes hermaphrodites. Ce premier élément est troublant et instaure le trouble car il suscite une cassure avec la réalité. De plus, de nombreuses personnes se demandent si ces personnages représentent des hommes masqués, des marionnettes, ou pire, une

couleurs dominantes sont le rouge et le brun : Le rouge pour le ciel, pour signifier un ciel sanglant ou encore les incendies. La brume autour des soldats n’est pas naturelle. Le brun pour la couleur de la terre, des tranchés. Enfin il n’y a pas de visages. Le milieu : Au 1er plan, on voit énormément de cadavres, démontrant le nombre de soldats déjà mort. Les corps sont en voit de décomposition, une marrée rouge s’évade d’eux. Au 2nd plan, on voit un homme avec un masque et un casque, mais on ne

 Le palais resplendissait de mille feux et la luminosité qui en sortait se reflétait sur les eaux. Le ciel dégagé permettait de voir au loin les multiples lueurs qui s’échappaient du bal masqué. Les murs étaient tapissés de somptueux tableaux qui montraient l’attraction que cette ville exerçait sur le monde extérieur. On pouvait aussi bien y trouver du Torner que du Picasso mais de nombreuses fissures ne pouvaient échapper à l’œil du visiteur, même si celles-ci finissaient par être oubliées au

communistes soviétiques -Le costume de Captain America nous montre bien qu’il incarne les valeurs des Etats-Unis : tout rappelle le drapeau américain : les couleurs (bleu, blanc, rouge), les étoiles (costume et bouclier), les bandes blanches et rouges. Sur son masque, le « A » rappelle « America ». Les ailes sur les côtés de son masque rappellent le dieu Mercure (le dieu messager). -L’ennemi soulevé par le héros est caricatural : son air est cruel, inquiétant. Il porte sur son épaule le symbole de l’URSS

mon corps dépouillé…» «Harlem Harlem ! Voici ce que j’ai vu Harlem Harlem ! Une brise verte de blés sourdre des pavés labourés par les pieds nus de danseurs Dans croupes ondes de soie et seins de fers de lance, ballets de nénuphars et de masques fabuleux…» VERS «LA CIVILISATION DE L’UNIVERSEL» «Nous avons voulu aider au grand projet exprimé par Pierre Teilhard de Chardin, au projet de bâtir une civilisation de l’Universel, où tous les continents, toutes les races, toutes les nations

tranchée recouvert de cadavres et une main tendu par un homme qui essaye d'obtenir de l'aide. Au dessus de tout ces cadavres il y a un squelette embroché et qui désigne de son doigt l'entassement des mort. A gauche de l'image un survivant portant un masque à gaz et une cape regarde la scène. -Sur le panneau inférieure Otto dix à représenté des dormeur ou des cadavres allongés sous une toile de tente entre des planches de bois ce qui renvoi a une tranquillité contrairement aux autres panneaux. -Sur

pâle à l'ocre rouge, dominent, notamment dans les corps des femmes. Cependant, des couleurs froides, blancs, gris, bleus, qui composent l'essentiel des rideaux et autres tissus créent un contraste. On peut aussi remarquer un contraste avec l'ensemble du tableau dans l'espace en haut à droite. Le fond duquel sort la femme au visage étrange est très sombre, comme si elle sortait d'un espace où le mal s'y passe, les ténèbres ou le péché. Ces masques pourraient être associés à des masques africains avec

Un soir, lorqu'il ruine un étudiant au travers de sa tricherie au jeu, un homme caché intervient et le dénonce aux autres. Il doit alors fuir à nouveau et va vers l'Europe, seulement son clone le rejoint et anéantit à nouveau sa vie. Lors d'un bal masqué sur Rome, le narrateur retrouve son double et lui plante son épée. Il n'y prête pas attention tout de suite mais finit par se rendre compte qu'il se reconnaît pâle et barbouillé de sang. Cette image de son double agonisant lui dit alors, sans chuchoter

rituel de la croisée des points cardinaux, qui est le centre d’harmonie, le chemin blanc a la responsabilité de préserver le feu, le chemin noir a la responsabilité de faire attention a l’eau, le chemin jaune a la responsabilité de l’air et le chemin rouge a la responsabilité de préserver la terre https://www.youtube.com/watch?v=Pf2BrR4El8c III) La littérature Indienne La littérature indienne est riche mais demeure encore mal connu, malgré que certains écrivains soient

son doigt la mort et la barbarie qui s'entassent plus bas. Quasiment invisible, à gauche de l'image un unique survivant assiste à la scène, statufié par sa cape qui le prive de ses bras (et donc de toute action), visage et regard dissimulés sous son masque c'est un personnage passif et sans identité, pétrifié par l'inhumanité dont il est le spectateur. Panneau de droite : Beaucoup disent que ce panneau contient en faite un autoportrait, Otto DIX se représente en sauveur transportant dans ses bras