Le Masque Rouge

centre du dessin, au premier plan donc il paraît grand et sa stature est imposante car il est proche du spectateur. Son corps musclé est mis en valeur par son costume moulant, aux couleurs du drapeau américain, le bleu, le rouge, les bandes blanches et l’étoile sur le torse. Son masque présente un « A » signifiant « America ». Son bouclier, pendant par une sangle sur son bras est assorti à son costume de super-héros. Il dégage de la force et une puissance surhumaine par sa position, bras levés, portant

ce panneau, on discerne trois personnages : un soldat à gauche, le corps en décomposition à droite, et le cadavre suspendu au centre. Le soldat de gauche est la seule personne encore vivantes dans ce panneau. Il est représenté avec un casque et un masque à gaz et fait référence à la déshumanisation des poilu en effet aucune partie de son corps n’est visible, il assiste à la guerre sans bouger, surement sous le choc de ce qui se déroule sous ses yeux. Le corps de droites, les pieds en avant vers les

l’angelot semble ici joué par un cadavre lourdement suspendu à une poutre métallique ; il porte un linge grisâtre et en lambeaux. Il pointe d’un doigt raidi le passage obligé, la mort cruelle et douloureuse. Dans la partie centrale, un soldat avec son masque à gaz et de son casque lourd, est une figure symbolique de la première guerre mondiale, ainsi qu’une dépouille criblée de balles et rongée par la vermine. Enfin, le monde terrestre n’est qu’un charnier de boyaux disséminés sur toute la largeur du

On parle alors de décalage vers le bleu ou de bleuissement. Inversement, si l’étoile s’éloigne, la fréquence est plus basse, les raies se décalent vers de plus grandes longueurs d’onde et on parle de décalage vers le rouge ou de rougissement. Ces décalages sont des marqueurs de la présence d’une exoplanète et les mesurer permet de calculer la vitesse radiale de l’étoile, au m/s voir moins, puis la masse de la planète.Cette méthode a bien sûr des inconvénients. Le plus

revendique le procédé cinématographique comme un moyen de nourrir l'étrangeté, créer l'illusion? → Construction du film fondée sur l'illusion → L'art de l'imitation, bon nombre d'images se font écho et nourrissent l'illusion du personnage. → Le jeu de masque : la thématique du regard crée l'atmosphère surnaturelle du film. La construction 1) La structure du film : en trois partie : l'illusion du personnage, aveuglé par son acrophobie. La première partie se poursuit du générique jusqu'à la scène

pistes qu’on croit qu’il nous donne. Mais nous pouvons retrouver une voie par la poésie. Rimbaud décrit des matières (l’acier), des couleurs (le rouge, le noir, l’argent). Plombés, blêmis, incendiés… Les participes passés adjectivés signalent eux aussi la triple répartition des couleurs : l’argent (« plombés »), le blanc (« blêmis »), le rouge et le noir, voire l’or (« incendiés »). Ces couleurs baroques et le fait d’assister à une alchimie inversée (on passe des « étoiles d’or » aux « faciès

première compagne : Fernande Olivier. C'est le début de la période rose. Comme précédemment, c'est l'utilisation des teintes « rougées » qui explique cette dénomination. Les thèmes abordés sont la joie et l'inquiétude existentielle. Il reste mélancolique et dominé par l'amour ; on y trouve aussi de nombreuses références au monde du zoo et du cirque. Il peint des masques, arlequins, dompteurs et clowns. Picasso privilégia pendant cette période le travail sur le trait, le dessin, plutôt que sur la

America à été créé par Jack Kirby (1917-1994) et Joe Simon (1913-2011). -Dimensions : 17x26 cm. 2-Description de l'oeuvre : -Au premier plan, on reconnaît Captain America à sa tenue, son bouclier aux couleurs du drapeau américain. Son visage est masqué ; il porte sur le front la lettre A (Amérique) et de chaque côté de la tête de petites ailes comme le dieu Hermès, messager des dieux, sur le torse une étoile renvoie à la bannière étoilée (drapeau américain). Le héros tient un a bouts de bras un

criblés de balles : c’est l’enfer. Au-dessus de cet amas de cadavre et de corps, flotte un squelette. A gauche de la scène, l’unique survivant assiste à la scène dissimulé sous un masque à gaz. _ Sur le panneau de droite, un personnage se distingue de tous les autres soldats : un soldat sans casques, sans masque, sans arme, sans uniforme, figure fantomatique. Il secourt un soldat blessé, la tête ensanglantée. Le regard fixe, il scrute le spectateur. Otto Dix souligne le sentiment de fraternité

l’effroi lui parcourir le corps elle avança lentement vers le seuil de sa chambre , le terrible bruit de combats se rapprochait. Elle entrouvrit légèrement la porte et vit les soldats impériaux se faisant massacrer par des hommes vêtus de noir et de rouge à l'apparence de démons il portaient tous des capuchons cachant leur visage. La princesse refermât immédiatement la porte et la verrouilla, elle tira sur le pied d'un tabouret fixé au sol pour dévoilé un passage dans le mur et une foie de l'autre côté