Le Masque Rouge

Le role des masques Dans le théatre grec Tous les rôles, y compris féminins, étaient joués par des hommes. Les acteurs étaient perchés sur des chaussures à semelle épaisse, les cothurnes, et portaient des masques qui servaient à amplifier leur voix, permettaient à un même acteur d'incarner différents personnages et au public d'identifier l'âge, le statut social, l'origine ou l'état d'esprit de ceux-ci. Les costumes de scène de couleurs vives et différents accessoires (couronnes, sceptres, bâtons

et qui désigne de son doigt la mort et la barbarie qui s'entassent plus bas. A gauche de l'image un unique survivant assiste à la scène, statufié par sa cape qui le prive de ses bras (et donc de toute action), visage et regard dissimulés sous son masque c'est un personnage passif et sans identité, pétrifié par l'inhumanité dont il est le spectateur, il est à son tour comme privé de son humanité. Panneau de droite : Ce panneau contient un autoportrait, Otto DIX se représente en sauveur transportant

sous son masque. Il est pétrifié par l'inhumanité dont il est le spectateur, il est à son tour comme privé de son humanité. Panneau de droite : Otto DIX se représente en sauveur transportant dans ses bras un soldat blessé. C'est le seul qui fait face au spectateur et qui avance vers le premier plan. C’est aussi le seul qui possède la capacité de voir. Enfin il est également l'unique personnage de cette scène qui ne porte pas l'uniforme complet du soldat : ni casque, ni masque, ni arme

son doigt la mort et la barbarie qui s'entassent plus bas. Quasiment invisible, à gauche de l'image un unique survivant assiste à la scène, statufié par sa cape qui le prive de ses bras (et donc de toute action), visage et regard dissimulés sous son masque c'est un personnage passif et sans identité, pétrifié par l'inhumanité dont il est le spectateur, il est à son tour comme privé de son humanité. Panneau de droite :Ce panneau contient un autoportrait, Otto DIX se représente en sauveur transportant

XVIIe siècle, les gouvernements d’Espagne et de France cherchèrent à censurer et à réglementer cette forme théâtrale.Au XVIIIe siècle, Carlo Goldoni donne un nouveau souffle à la commedia dell’arte en écrivant en prose, en éliminant peu à peu les masques et en donnant aux personnages une individualité toujours plus marquée. Il fait évoluer ce genre théâtral vers la comédie de caractère, tandis que son "rival" Carlo Gozzi reste dans la tradition. 2) Ses caractéristiques Une troupe compte alors

son doigt la mort et la barbarie qui s'entassent plus bas. Quasiment invisible, à gauche de l'image un unique survivant assiste à la scène, statufié par sa cape qui le prive de ses bras (et donc de toute action), visage et regard dissimulés sous son masque c'est un personnage passif et sans identité, pétrifié par l'inhumanité dont il est le spectateur, il est à son tour comme privé de son humanité. Panneau de droite : Ce panneau contient un autoportrait, Otto DIX se représente en sauveur transportant

œuvres vont se métamorphoser et s’inspirer de beaucoup de ses influences, et notamment de l’art Africain. En effet, la découverte au Louvres de sculptures ibères antiques, puis de la sculpture Africaine, marque profondément Picasso. Il dit : « Les masques n’étaient pas seulement des sculptures comme les autres. Pas du tout. C’était des objets magiques. » Le tableau de Picasso, Les Demoiselles d’Avigon, est une véritable révolution artistique car le peintre rompt avec la représentation vraisemblable

son doigt la mort et la barbarie qui s'entassent plus bas. Quasiment invisible, à gauche de l'image un unique survivant assiste à la scène, statufié par sa cape qui le prive de ses bras (et donc de toute action), visage et regard dissimulés sous son masque c'est un personnage passif et sans identité, pétrifié par l'inhumanité dont il est le spectateur, il est à son tour comme privé de son humanité.

 Panneau de droite : Ce panneau contient un autoportrait, Otto DIX se représente en sauveur transportant

front, dans un nuage de brouillard. Le ciel est rouge, comme en feu. Panneau du milieu: la scène est extrêmement macabre. Elle représente un soldat avec un masque à gaz au milieu de cadavre pourrissant, une tranchée ravagée. Le paysage à l'horizon est désolé, vide. Panneau de droite: il y a un soldat entièrement blanc, dont le visage est teinté d'horreur. Il porte un camarade blessé a la tète. Il y a des cadavres autour d'eux. Le ciel est rouge. Prédelle: deux soldats sont allongé dans ce qui

joli masque. Ah ! la belle robe ! Hélas ! tout cela coûte très cher, et nous sommes bien pauvres, à la maison. (Ils sortent.) 9. UN SOLDAT, au marchand. Gare ! canaille ! laisse passer les chevaux. 10. LE MARCHAND. Canaille toi-même, Allemand du diable ! (Le soldat le frappe de sa pique.) 11. LE MARCHAND, se retirant. Voilà comme on suit la Capitulation ! Ces gredins-là maltraitent les citoyens. (Il rentre chez lui.) 12. L'ECOLIER, à son camarade. Vois-tu celui-là qui ôte son masque ? C'est