Le Matin de Paris

quotidienne Je commence ma journée à six heures tous les matins. Je prépare le petit déjeuner pour toute la famille. Puis, j’habille ma petite fille. Après avoir fini de manger, je l’emmène à la garderie d’enfants. Ensuite, je me dépêche pour ne pas être en retard au travail. J’enseigne l’anglais aux étudiants universitaires. J’aime mon travail. Je suis contente des grands progrès que mes étudiants font. Généralement, J’ai deux cours tous les matins, ensuite, j’ai du travail administratif à faire. Heureusement

neiges monotones, Je fermerai partout portières et volets Pour bâtir dans la nuit mes féeriques palais. Alors je rêverai des horizons bleuâtres, Des jardins, des jets d'eau pleurant dans les albâtres, Des baisers, des oiseaux chantant soir et matin, Et tout ce que l'Idylle a de plus enfantin. L'Emeute, tempêtant vainement à ma vitre, Ne fera pas lever mon front de mon pupitre; Car je serai plongé dans cette volupté D'évoquer le Printemps avec ma volonté, De tirer un soleil de mon coeur

Emile Zola est né à Paris le 2 avril 1840 et il y est décédé le 29 septembre 1902. Ecrivain, journaiste et homme public français, il est considéré comme le chef de file du naturalisme. Outre les Rougon-Macquart, en vingt volumes fresque romanesque qui dépeint la soiété française sous le second empire, Zola a écrit de nombreuses nouvelles dont La mort d'Olivier Bécaille. France, 1919. Olivier Bécaille est en pleine crise de catalepsie. L'extrait proposé constitue l'incipit de cette nouvelle. C'est

-roman autobiographique de Jules Vallès ( 1832-1885) -dédié "A tous ceux qui crevèrent d'ennui au collège ou qu'on fit pleurer dans la famille, qui, pendant leur enfance, furent tyrannisés par leurs maîtres ou rossés par leurs parents...." -publié à Paris en feuilleton sous le titre de Jacques Vingtras et sous La Chaussade (1878) dans Le Siècle. -le sous-titre l'Enfant et le nom de Vallès apparaîtront dans la troisième édition, en 1881. -premier volet de la trilogie de Jacques Vingtras -deux autres

parachuter sur la Normandie et plus précisément a proximité de Carentan . Nous avions embarquer dans d’énorme planeurs en Angleterre et a vers 3h30 du matin nous avons été largués . nos homme se faisaient massacrés la plus part mouraient noyés dans les marais inondés volontairement . c’était un désastre mais au petit matin malgré les morts nous avions ateint tout les objectifs ,nous avons libéré st Mère l’église et nous avons réussi a prendre plusieurs ponts. Après

1ère SITUATION OU ACTIVITÉ Lieu : La situation que j’ai rencontrée, s’est passée au collège Georges Braque (Paris 13ième), dans la salle d’attente de l’infirmerie. Situation vue : Dans le cadre du dispositif de socialisation et d’apprentissage (DSA), l’infirmière scolaire préparait des élèves de 4ième au PSC1 (prévention au secours civiques de niveau 1). En abordant le thème des saignements abondants un élève fit un malaise vagal. Á la vue du sang bien évidemment faux et de l’imagination débordante

réel c’est-à-dire de procéder par petites touches, comme l’indique l’ouverture du poème qui isole trois monostiches. Les trois premiers vers, en effet, insèrent une vision enthousiaste du monde moderne, symbolisée par la Tour Eiffel et les ponts de Paris, au centre de deux vers qui sont des constats faits en son nom par le lecteur : « tu es las », « tu en as assez ». Ce choc entre le rejet et l’enthousiasme étonne parce qu’il ouvre directement le poème (on sent un besoin de remise en cause) et aussi

évidemment traiterons tous du même thème : L'Éveil … Premier poème sur l'éveil : Français Des troubadours à Apollinaire, petite anthologie poétique. (Annie Colognat-Barrès) Gérard de Nerval Gérard de Nerval est un écrivain français né à Paris en 1808 de son vrai nom, Gérard Labrunie, il est orphelin dès son plus jeune âge, élevé à Mortefontaine au clos de Nerval , qui lui donnera son nom d'artiste et dont les paysages deviendront les inspirations et lieux de ses œuvres. Il se lit d'amitié

18.43 18.45 18.46 18.47 18.49 18.54 18.55 18.59 19.00 19.10 FREISTROFF ANZELING HESTROFF PIBLANGE GONDREVILLE Horaires valables au 1er SEPTEMBRE 2014 RENVOIS À CONSULTER CORRESPONDANCE POSSIBLE À METZ (GARE ROUTIÈRE) AVEC LE TGV EN DIRECTION DE PARIS. BOUZONVILLE (PLACE DU MARCHE) VAUDRECHING (BERNANOS) REMELFANG (GIRATOIRE) FREISTROFF (PASSAGE A NIVEAU) ANZELING (SNCF) HESTROFF (CROISEMENT) PIBLANGE (CARREFOUR) BURTONCOURT (CROISEMENT) CHARLEVILLE SOUS BOIS (MAISON DE CONVALESCENCE) VRY (GONDREVILLE)

qualifications. « Page d’écriture » (p.155) Même esprit que le « cancre ». Il ne reste que l’oiseau et l’enfant. L’univers de la classe s’écroule et on revient au naturel, d’où une liberté. Le professeur est austère. « Déjeuner du matin » (p.157) C’est l’habitude du matin, peut-être une séparation de couple, ou une mère et son fils qui quitte la maison. « Pour faire le portrait d’un oiseau » (p.164) Cage symbole de l’enfermement. Il y’a une idée de liberté, lorsque l’ oiseau entre, s’il chante