Le Mendiant

« Dumm » est griffonné ce qui signifie « idiots ». On remarque des couleurs vives qu'on aperçoit au premier plan (bleu du veston du personnage au premier plan, rose de la dame traversant la rue) et ocres pour les personnages en arrière-plan (le mendiant, l'enfant...).

pointue, un œil prend la forme d'une larme), prend la liberté d'allonger un cou, d'agrandir une main ou un genou. Ce qui lui permet de renforcer ce qu'il veut montrer : la souffrance de corps malmenés par la guerre. Poème engagé : Le Mendiant Le Mendiant Le pauvre homme passait dans le givre et le vent. Je cognai sur ma vitre ; il s'arrêta devant Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile. Les ânes revenaient du marché de la ville, Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.  C'était

des corsets et des prothèses. 2) Couleurs Les couleurs présentent des couleurs vives pour les premiers plans (bleu du veston du personnage au premier plan, robe rose de la dame traversant la rue) et ocres pour les personnages en arrière-plan (le mendiant, l’enfant…) 3) Composition Cécile Arnal Histoire des Arts pour l’Histoire Géographie Thématique : Art, Etat et pouvoir On ne retrouve aucune ligne permettant de trouver le point de fuite, ce qui interdit toute impression de stabilité. Tout le

courais comme un mendiant » antithétique, un mendiant ne court pas, mais attend. C’est donc qu’il est à sa poursuite pour mendier sa présence. - « En haut de la route, près d’un bois de laurier, je l’ai entourée » a une forte symbolique laurier = victoire haut de la route = dur à gravir. > Il l’a attrapée, c’est une victoire mais elle a été difficile à obtenir. [u]III) Récit de rêve.[/u]- à l’intérieur du poème le rêve est remarquable par l’utilisation d’oxymore tels que le mendiant qui court sur

sapins : à la cime argentée je reconnus la déesse.

Alors je levai un à un les voiles. Dans l'allée, en agitant les bras. Par la plaine, où je l'ai dénoncée au coq. A la grand'ville elle fuyait parmi les clochers et les dômes, et courant comme un mendiant sur les quais de marbre, je la chassais.

En haut de la route, près d'un bois de lauriers, je l'ai entourée avec ses voiles amassés, et j'ai senti un peu son immense corps. L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois.

Au réveil il était midi.


Etude

les pays africains... mais ne fermons pas les yeux, même si elle est moins apparente, elle est aussi présente en France . Le drame voyez vous, c'est que cette faim tue tous les jours ! N'avez vous jamais vu des hommes, des femmes et des enfants mendiant dans la rue pour pouvoir se nourrir ? N'êtes vous pas choqués par celà ? Vous qui ne connaissez même pas cette sensation de manque !Pas la faim que vous connaissez et que vous savez que vous allez pouvoir rassasier en sortant quelques euros de

relation avec le contexte historique | Personnages | L’homme au chapeau :-bien habillé (chapeau-costume)=homme riche(bourg)-allure vaillant -décoration de guerre -tronçonner=mutilations extrême | -ancien combattant(mutilé)-bourgeoisie | | Le mendiant :-3prothése en bois=mutilé-mains mendie(basse, bras arraché)-pauvre :-vêtement déchirés, haillons -canotier(chapeau)=milieu populaire -position :-recroquevillé -difformité(dos, épaule)=pantin - visage=tristesse/ surdimensionné défigure

canne. Peut être est ce des profiteurs de guerre. Il y a un mépris envers le mendiant car il lui donne un timbre au lieu d'une pièce 6 Une enfant (peut être une orpheline car elle est seule et pieds nues) dessine sur le mur 7 La petite fille se trouve devant la vitrine d'un magasin de prothèses, se qui accentue l'infirmité des deux personnages. Les prothèses sont très élaborées par rapport à celles du mendiant 8 Dans la vitrine d'à côté des perruques et des objets liés à la beauté symbolisent

poème de Victor Hugo intitulé « Le mendiant », extrait des Contemplations de 1856. Enfin ledernier document est une nouvelle de guy de Maupassant : « Le Gueux » paru en 1884. Ces trois documents mettent en évidence la misère humaine par le biais d’un mendiant. Cependant se pose la questiondes similitudes que présentent ces documents, ainsi que les effets qu’ils peuvent produire sur le lecteur. Tout d’abord les personnages souffrent physiquement : le mendiant de Victor Hugo« grelotte de froid

considérer comme pauvre. Cette notion de pauvreté recouvre des réalités si disparates qu’il est difficile de définir ce qu’est un pauvre. Dans les sources, écrites par des auteurs extérieurs à ce milieu, les expressions « pauvres », « gueux », « mendiants » sont utilisées sans distinction claire. Les contemporains semblent donner deux sens au mot « pauvre ». En 1790, le Comité de Mendicité de l’Assemblée Constituante détermine qu’une famille de cinq personnes est considérée comme pauvre si elle dispose