Le Mendiant

comme un mendiant » antithétique, un mendiant ne court pas, mais attend. C’est donc qu’il est à sa poursuite pour mendier sa présence.- « En haut de la route, près d’un bois de laurier, je l’ai entourée » a une forte symboliquelaurier = victoirehaut de la route = dur à gravir. => Il l’a attrapée, c’est une victoire mais elle a été difficile à obtenir. III) Récit de rêve - à l’intérieur du poème le rêve est remarquable par l’utilisation d’oxymore tels que le mendiant qui court

quête amoureuse qui semble inaccessible où une femme mystérieuse, fée ou sorcière L’aspect fantastique de ce poème nous entraîne, et après le "front des palais" nous nous retrouvons sur les "quais de marbre" où Rimbaud tel un vagabond, se fait le mendiant de l’amour de cette femme, mais également chasseur, cherchant à obtenir l’objet de son désir. L’allitération en "m" souligne l’accélération du rythme, image de cette course du poète. Cette "danse" du lever du jour n’'est pas sans rappeler les grandes

prothèses, corsets… Et l’autre boutique qui vend des perruques. Les personnages : Au centre du tableau on peut voir un mendiant affreusement mutilé assis sur le trottoir. Il a des prothèses aux bras, aux jambes. Ses vêtements sont tout abimés. Sa tête est déformée, ce qui rappelle les « gueules cassées ». Il a les yeux vides et mendie pour survivre. A l’arrière-plan, derrière le mendiant, on peut voir une petite fille qui dessine a la craie sur les murs, les pieds nus, mal habillés. Cette petite fille

méprise le mendiant en lui donnant un timbre à la place d'une pièce. 6 Une enfant (peut être une orpheline car elle est seule et pieds nues) dessine sur le mur. 7 La petite fille se trouve devant la vitrine d'un magasin de prothèses, ce qui accentue l'infirmité des deux personnages. Les prothèses sont très élaborées par rapport à celles du mendiant.

Marcel était en train de se balader mais il s’est fait attaquer. Une bande de jeunes voulaient le voler, heureusement ils ne l’ont pas attrapé. Alors Marcel s’est entraîné, il a appris à boxer, c’est ainsi qu’il a changé de métier. Il est passé de mendiant déprimé à voleur endiablé. C’est comme ça qu’il a rencontré Didier, son compagnon préféré. Didi et Mama se font beaucoup de blé grâce aux maisons qu’ils ont cambriolées. Malheureusement Marcel s’est fâché ! Tout ça parce que Didier lui a vidé,

ses crocs sont en carton, il n'existe pas. (Au loup.) Loup, n'existe plus! (Au Roi.) Ne crains pas non plus les rats. Ils ne peuvent pas mordre tes orteils. (Aux rats.) Rats et vipères, n'existez plus! (Au Roi.) Ne te laisse pas apitoyer par le mendiant qui te tend la main... Attention à la vieille femme qui vient vers toi... Ne prends pas le verre d'eau qu'elle te tend. Tu n'as pas soif. (A la vieille femme imaginaire.) Il n'a pas besoin d'être désaltéré, bonne femme, il n'a pas soif. N'encombrez

en 1856. La plupart des poèmes ont été écrits entre 1841 et 1855. Le recueil a pour thème le souvenir, l’amour, la joie, la mort, le deuil et le mystique. • Le mendiant appartient au livre I, le livre du souvenir. Ce court poème dépourvu d’emphase dans lequel ne s’exprime aucune vue philosophique de l’auteur a quelque chose d’exemplaire dans sa simplicité. L’idée que développe l’auteur est belle, mais banale, et

vides, ses membres inférieurs et son bras gauche ne sont fait que de bois. Il y a également un femme en robe rose moulante qui semblerait contrainte à la prostitution. Ainsi que deux bourgeois, surement profiteur de la guerre, un d’eux méprise le mendiant en lui donnant un timbre. Les invalides sont amoindris au même niveau que le chat et le chien (qui montre les crocs). L’agitation de la ville est pressante et nul ne fais attention à eux. En arrière plan on voit une petite fille, peut-être orpheline

Charles BAUDELAIRE (1821-1867) Don Juan aux enfers Quand Don Juan descendit vers l'onde souterraine Et lorsqu'il eut donné son obole à Charon, Un sombre mendiant, l'oeil fier comme Antisthène, D'un bras vengeur et fort saisit chaque aviron. Montrant leurs seins pendants et leurs robes ouvertes, Des femmes se tordaient sous le noir firmament, Et, comme un grand troupeau de victimes offertes, Derrière lui traînaient un long mugissement. Sganarelle en riant

de la chute d’eau en femme à la chevelure blonde qui s’échevelle. - « Je levai un à un les voiles » = métaphore. R. déshabille en réalité la déesse, la femme. - « Je la chassai » = La femme est son gibier - « Je courais comme un mendiant » antithétique, un mendiant ne court pas, mais attend. C’est donc qu’il est à sa poursuite pour mendier sa présence. - « En haut de la route, près d’un bois de laurier, je l’ai entourée » a une forte symbolique laurier = victoire haut de la route = dur à gravir