Le Mensonge Freud

Sigmund Freud 1 Sigmund Freud Sigmund Freud Sigmund Freud en 1911 Biographie Naissance : Décès : Nationalité : 6 mai 1856 23 septembre 1939 autrichienne Vie universitaire Formation : Titres : Approche disciplinaire : Médecine (neurologie) Professeur Psychanalytique Auteurs associés Détracteurs : Pierre Janet — Ludwig Wittgenstein Lev Vygotski — Carl Gustav Jung Karl Abraham — Donald Winnicott Mélanie Klein — Sándor Ferenczi Principaux travaux Psychanalyse - Sexualité infantile - Inconscient

la liberté de la volonté (Kant)→La volonté générale est une volonté collective qui vise l’intérêt de la société (Rousseau)LA VÉRITÉ :La vérité est la qualité qui fait que les choses apparaissent telles qu’elles sont. Elle s’oppose à l’erreur, au mensonge et à l’illusion.1) Les critères de la véritéa) Sortir du monde des apparencesSuivant Platon, l’homme doit s’efforcer de se défaire des opinions, illusions et désirs qui l’empêchent d’apercevoir la vérité, but ultime de la vie humaine. L’allégorie

c’est être obligé de faire des choix( l’homme se définit par ses choix dans le cadre d’un projet. -Il n’est pas croyant -Les farceurs et les gens qui nient leur liberté sont des lâches pour lui. -Psychanalyse( mauvaise foi, Sartre trouve que Freud nous donne une façon « trop simple » d’analyser nos rêves et de les comprendre. Libre n’est pas = au déterminisme : -biologique (génétique) -sociale (religion, éducation = aliénation par les discours dominants)

religieux apparaît donc comme rassurant pour l homme il semble être la réponse qu’ il attend. Il serait donc bien difficile de s en passer . Pour Karl Marx la religion devient nécessite pour autant que la société a besoin de mensonge et d illusion pour se rassurer. Pour Freud c’ est une illusion rassurante ,elle endort les hommes ,ils deviennent incapables de faire face à la réalité sans s’y référer 2-Transition aspects pervers Malgré cette nécessité l’histoire nous montre

tous les poulets seraient libres de traverser la route sans avoir à justifier leur acte. MOISE : Et Dieu descendit du paradis et Il dit au poulet : " Tu dois traverser la route". Et le poulet traversa la route et Dieu vit que cela était bon. SIGMUND FREUD : Le fait que vous vous préoccupiez du fait que le poulet ait traversé la route révèle votre fort sentiment d'insécurité sexuelle latente. BILL GATES : Nous venons justement de mettre au point le nouveau « Poulet Office 2006 », qui ne se contentera

dans le monde. Par Cide. La magie et la religion. Quelques réflexions sur la pensée magique dans les religions et dans les croyances. Par Gral. Dieu et ses prophètes. Quelques réflexions sur l'incohérence des livres saints, par LJ. Les mensonges de l'Eglise : les religions se mettent en place en récupérant divers matériaux des religions précédentes; par Gral. La femme et la religion : la création, le péché originel, le mariage des prêtres, les femmes et l'Eglise... par Gral. Les enfers

répète, le poulet n’a JAMAIS traverse la route. NICOLAS MACHIAVEL : L’événement important c’est que le poulet ait traverse la route. Qui se fiche de savoir pourquoi ? La fin en soi de traverser la route justifie tout motif quel qu’il soit. SIGMUND FREUD : Le fait que vous vous préoccupiez du fait que le poulet ait traverse la route révèle votre fort sentiment d’insécurité sexuelle latente. BILL GATES : Nous venons justement de mettre au point le nouveau "Poulet Office 2003", qui ne se contentera

inaccessible que la conscience, est bien plus riche et élaboré. Il enrichit la vie alors que la conscience la mutile en limitant nos forces instinctives. L'Homme pense agir en toute conscience et semble conduit par des mobiles qu'il ignore. C'est pour ça que Freud écrit "le moi n'est pas maître dans sa propre maison". La conscience immédiate est investie par des affects, des désirs, des intérêts sensibles. Ses représentations sont construites sur d'autres exigences que le soucis de la vérité. D'où les images

religions païennes et polythéistes de l’antiquité. Ce type de religion est éminemment favorable à la cité, à l’Etat. On croit en des Dieux propres à la cité, ce qui donne consistance au patriotisme. Mais une telle religion repose sur l’erreur et les mensonges que recouvrent les mythes et les faux-dieux. Les contenus sont par trop absurdes pour la raison. De plus, en liant l’homme à la particularité de son groupe, elle le sépare de l’universalité du genre humain, elle rend les peuples intolérants entre

satisfaire que la réalité donnée, c’est précisément une manière de ne pas quitter la réalité. Grâce à l’art, il échappe à la folie. C’est en ce sens que Freud établit les limites de la comparaison entre le névropathe et l’artiste : “ à l’inverse du névropathe, l’artiste s’entendait à trouver le chemin du retour et à reprendre pied dans la réalité ” (Freud, Ma vie et la psychanalyse). Ainsi la création artistique trouve sa source dans la sublimation, c’est-àdire dans la satisfaction substitutive indirecte