Le miroir se brisa

sur le foin.— Dans le doux rêve où s'agite Ma vie endormie encor... —Vite, vite, Car voici le soleil d'or.— VI La lune blanche Luit dans les bois; De chaque branche Part une voix Sous la ramée... O bien-aimée. L'étang reflète, Profond miroir, La silhouette Du saule noir Où le vent pleure... Rêvons, c'est l'heure. Un vaste et tendre Apaisement Semble descendre Du firmament Que l'astre irise... C'est l'heure exquise. VII Le paysage dans le cadre des portières Court furieusement

du bois dont on fait les grands hommes, puisque je crains que huit années passées à me procurer du pain ne m’enlèvent cette énergie sublime qui fait faire les choses extraordinaires. – 90 – Chapitre XIII. Les Bas à jour Un roman : c’est un miroir qu’on promène le long d’un chemin. SAINT-REAL. Quand Julien aperçut les ruines pittoresques de l’ancienne église de Vergy, il remarqua que depuis l’avant-veille il n’avait pas pensé une seule fois à Mme de Rênal. L’autre jour en partant, cette

multipliés et les sinuosités nombreuses produisaient les effets les plus pittoresques. L'inconnu compara d'abord ces trois salles gorgées de civilisation, de cultes, de divinités, de chefs-d'oeuvre, de royautés, de débauches, de raison et de folie, à un miroir plein de facettes dont chacune représentait un monde. Après cette impression brumeuse, il voulut choisir ses jouissances ; mais à force de regarder, de penser, de rêver, il tomba sous la puissance d'une fièvre due peut-être à la faim qui rugissait

pas du bois dont on fait les grands hommes, puisque je crains que huit années 182 passées à me procurer du pain ne m’enlèvent cette énergie sublime qui fait faire les choses extraordinaires. 183 XIII Les bas à jour Un roman : c’est un miroir qu’on promène le long d’un chemin. SAINT-RÉAL. Quand Julien aperçut les ruines pittoresques de l’ancienne église de Vergy, il remarqua que depuis l’avant-veille il n’avait pas pensé une seule fois à madame de Rênal. L’autre jour en partant, cette

du bois dont on fait les grands hommes, puisque je crains que huit années passées à me procurer du pain ne m’enlèvent cette énergie sublime qui fait faire les choses extraordinaires. 69 Chapitre 13 Les Bas à jour Un roman : c’est un miroir qu’on promène le long d’un chemin. SAINT-REAL. Quand Julien aperçut les ruines pittoresques de l’ancienne église de Vergy, il remarqua que depuis l’avant-veille il n’avait pas pensé une seule fois à Mme de Rênal. L’autre jour en partant, cette femme

grands hommes, puisque je crains que huit années passées à me procurer du pain ne m'enlèvent cette énergie sublime qui fait faire les choses extraordinaires. CHAPITRE XII - UN VOYAGE 74 CHAPITRE XIII - LES BAS A JOUR Un roman : c'est un miroir qu'on promène le long d'un chemin. SAINT REAL Quand Julien aperçut les ruines pittoresques de l'ancienne église de Vergy, il remarqua que, depuis l'avant-veille, il n'avait pas pensé une seule fois à Mme de Rênal. L'autre jour en partant, cette

ne suis pas du bois dont on fait les grands hommes, puisque je crains que huit années 182 passées à me procurer du pain ne m’enlèvent cette énergie sublime qui fait faire les choses extraordinaires. 183 XIII Les bas à jour Un roman : c’est un miroir qu’on promène le long d’un chemin. SAINT-RÉAL. Quand Julien aperçut les ruines pittoresques de l’ancienne église de Vergy, il remarqua que depuis l’avant-veille il n’avait pas pensé une seule fois à madame de Rênal. L’autre jour en partant, cette

multipliés et les sinuosités nombreuses produisaient les effets les plus pittoresques. L'inconnu compara d'abord ces trois salles gorgées de civilisation, de cultes, de divinités, de chefs−d'oeuvre, de royautés, de débauches, de raison et de folie, à un miroir plein de facettes dont chacune représentait un monde. Après cette impression brumeuse, il voulut choisir ses jouissances ; mais à force de regarder, de penser, de rêver, il tomba sous la puissance d'une fièvre due peut−être à la faim qui rugissait

grands hommes, puisque je crains que huit années passées à me procurer du pain ne m'enlèvent cette énergie sublime qui fait faire les choses extraordinaires. CHAPITRE XII - UN VOYAGE  CHAPITRE XIII - LES BAS A JOUR Un roman : c'est un miroir qu'on promène le long d'un chemin. SAINT REAL Quand Julien aperçut les ruines pittoresques de l'ancienne église de Vergy, il remarqua que, depuis l'avant-veille, il n'avait pas pensé une seule fois à Mme de Rênal. L'autre jour en partant

s’appelle le Hodna, baptisée alors par le lac salé de Msila. Je regardais avec une stupéfaction émerveillée l’immense nappe de sel étincelant sous le soleil enragé de ces contrées. Toute cette surface, plane et cristallisée, luisait comme un miroir démesuré, comme une plaque d’acier ; et les yeux brûlés ne pouvaient supporter l’éclat de ce lac étrange, bien qu’il fût encore à vingt kilomètres de nous, ce que j’avais peine à croire, tant il me paraissait proche. Nous finissions de descendre