Le miroir se brisa

que leurs shakos ne passassent point. Le vaillant colonel Monteynard admirait cette barricade avec un frémissement.— Comme c'est bâti! disait-il à un représentant. Pas un pavé ne déborde de l'autre. C'est de la porcelaine.—En ce moment une balle lui brisa sa croix sur sa poitrine, et il tomba. —Les lâches! disait-on. Mais qu'ils se montrent donc! qu'on les voie! ils n'osent pas! ils se cachent!—La barricade du faubourg du Temple, défendue par quatre-vingts hommes, attaquée par dix mille, tint trois

leurs shakos ne passassent point. Le vaillant colonel Monteynard admirait cette barricade avec un frémissement. – Comme c’est bâti ! disait-il à un représentant. Pas un pavé ne déborde de l’autre. C’est de la porcelaine. – En ce moment une balle lui brisa sa croix sur sa poitrine, et il tomba. – Les lâches ! disait-on. Mais qu’ils se montrent donc ! qu’on les voie ! ils n’osent pas ! ils se cachent ! – La barricade du faubourg du Temple, défendue par quatrevingts hommes, attaquée par dix mille, tint

Jevoudrais quand même savoir à quoi ils ressemblent. »Incapable de tenir en place, elle se leva et se mit à arpenterla pièce. • 25. – 25 –Une chambre parfaite, à la décoration entièrementmoderne. Tapis écrus sur un parquet comme un miroir, murs decouleur claire, long miroir encadré d’ampoules. Sur lacheminée, aucun ornement à part un énorme bloc de marbreblanc en forme d’ours, sculpture moderne dans laquelle étaitencastrée une pendule. Au-dessus, dans un étincelant cadrechromé, il y avait une grande

Harlan au bout du comptoir, assis côte à côte sur de hauts tabourets devant deux bières. Ils ne remarquèrent pas immédiatement son arrivée parce qu’ils étaient en grande conversation. Comme elle s’approchait, son père vit son reflet dans le grand miroir mural. Il se redressa aussitôt en chuchotant quelque chose à l’oreille de son frère pour l’avertir de sa présence. Ce dernier se retourna pour adresser un sourire à sa nièce mais les deux hommes semblaient nerveux. Manifestement, elle les dérangeait

Harlan au bout du comptoir, assis côte à côte sur de hauts tabourets devant deux bières. Ils ne remarquèrent pas immédiatement son arrivée parce qu’ils étaient en grande conversation. Comme elle s’approchait, son père vit son reflet dans le grand miroir mural. Il se redressa aussitôt en chuchotant quelque chose à l’oreille de son frère pour l’avertir de sa présence. Ce dernier se retourna pour adresser un sourire à sa nièce mais les deux hommes semblaient nerveux. Manifestement, elle les dérangeait

baraque foraine minable, une femme belle comme une bayadère, un homme la retrouve telle qu'elle est dans la vie de tous les jours : «Ô vision de la bien-aimée ! quelles vérités tu faisais dire à ces yeux grands ouverts ! Ils étaient les vrais miroirs d'amour, miroirs où la grâce de la femme se reflétait en une lueur louche où la luxure s'étalait dans la bêtise.» Commentaire Dans cette nouvelle qui prenait pour cadre une réalité contemporaine, Zola donnait le spectacle de la misère sociale et humaine

Son uniforme était suffisamment éloquent. « Allons dans mon bureau, reprit Crawley avec un geste du bras. Prenons l'ascenseur. » Si Alex ne vit pas la quatrième caméra installée dans l'ascenseur, c'est parce qu'elle était dissimulée derrière le miroir sans tain du fond. Il ne vit pas davantage l'amplificateur thermique placé à côté de la caméra. Cet appareil non seulement l'observait, mais observait à travers lui, et le décomposait en un ensemble de différentes couleurs, dont aucune ne traduisit

répondre. Son uniforme était suffisamment éloquent. « Al ons dans mon bureau, reprit Crawley avec un geste du bras. Prenons l'ascenseur. » Si Alex ne vit pas la quatrième caméra instal ée dans l'ascenseur, c'est parce qu'el e était dissimulée derrière le miroir sans tain du fond. Il ne vit pas davantage 34 l'amplificateur thermique placé à côté de la caméra. Cet appareil non seulement l'observait, mais observait à travers lui, et le décomposait en un ensemble de différentes couleurs, dont aucune ne traduisit

l’époque des Royaumes Combattants et à l’époque han appa raissent et se multiplient les miroirs de bronze, de destination magique autant qu’ut ilitaire, avec le décor caractéristique pour ces deux époques. Les miroirs proprement han présentent ainsi la simplicité géométrique des vases de bronze contemporains, simplicité qui n’exclut nullement l’arrière -fonds d’idées taoïques sur « la puissance magique du miroir ». René GROUSSET — Histoire de la Chine 63 Le même décor élégant d’entrelacs

un trench Burberry beige, un sac Birkin – un vrai ! – un jean Notify... Dans le tiroir à chaussures coulissant, elle trouva carrément le Saint Graal : une paire d'escarpins signée Christian Louboutin. Miracle : ils étaient à sa taille. Devant le miroir, elle ne put s'empêcher de les Billie au clair de lune 96 Guillaume Musso La fille de papier essayer, s'offrant un quart d'heure Cendrillon, avec un jean clair et un top en satin. Elle termina sa visite de la maison en pénétrant dans la