Le miroir se brisa

rationnelle. On lui doit la théorie du levier, et la découverte de ce principe d'hydrostatique, qu'un corps, placé dans un corps fluide, perd une portion de son poids égale à celui de la masse qu'il a déplacée. La vis qui porte son nom, ses miroirs ardents, les prodiges du siège de Syracuse, attestent ses talents dans la science des machines, que les savants avaient négligée, parce que les principes de théorie, connus jusqu'alors, ne pouvaient y atteindre encore. Ces grandes découvertes, ces

plus qu’un tas de chair, une nature morte. Je l’avais allongée sur le sol et j’avais pratiqué sur elle toutes sortes d’exercices pour la ranimer. À bout, usé et terrifié, je m’étais replié dans un coin et je l’avais contemplée à travers une sorte de miroir sans tain. J’ignore combien de temps j’étais 35/689 resté prostré, hagard, anéanti par le malheur qui venait de me frapper. Les policiers se retirèrent enfin de la salle de bains, après avoir remballé leur arsenal professionnel. Ils avaient pris

l’armoire me montrait un homme d’indéniable ascendance hindoue qui ne paraissait pas ses quarante ans, au tronc bien moulé, vêtu d’un pyjama de la même soie que les draps. Et qui était seul dans la chambre. J’ai tourné mon regard vers la gauche. Le miroir ne mentait pas. Sheyla avait disparu. Et, bien que Sheyla soit mon épouse légitime, impossible de ne pas entendre la chanson que fredonnait toujours ma grand-mère : Seigneur, aie pitié de moi J’ai pris la femme d’un autre, la plus belle Maintenant

t'ai épousée ? continua son mari sans jamais dérougir. Bonne à rien ! Elle ne sut jamais où elle trouva le courage de le regarder en face, mais elle finit par lever les yeux pour les planter directement dans les siens. On dit que les yeux sont le miroir de l'âme… Il dut à ce moment lire directement la sienne, parce que le coup partit si vite qu'elle se retrouva couchée sur le plancher avant même d'entendre le bruit de son poing qui s'abattait sur son visage. Elle tentait de respirer à nouveau quand

Marie est courageuse autant que fille riche et à la tête d’un gros travail puisse l’être. Elle ne reste pas un instant les bras croisés et, quand nous n’avons pas d’ouvrage, elle nettoie et frotte nos pauvres meubles qu’elle rend clairs comme des miroirs. C’est une enfant qui vaut son pesant d’or et j’aurais bien mieux aimé qu’elle entrât chez vous comme bergère que d’aller si loin chez des gens que je ne connais pas. Vous l’auriez prise à la SaintJean, si nous avions su nous décider ; mais à présent

peux-tu dire une chose pareille, Lawrence ? Tu ne comprends donc pas que j’ai tenté tout ce qui était en mon pouvoir pour faire fléchir ton père ? Lawrence, buté, mortifié, la considérait à présent d’un œil noir. C’est alors que quelque chose se brisa en Emma. Elle eut l’impression, pour la première fois, de le voir sous son vrai jour. Ce jeune et beau garçon, avec ses mèches blondes et ses yeux bleus, n’avait manifestement pas réussi à franchir la frontière qui sépare les enfants, capricieux et

survivait, jamais, jamais plus je ne cacherais quoi que ce soit à Katerina. Car tout était suspendu à ces trois petits mots : « Si elle survivait. » Chapitre 2 La semi Katerina hurla. C’était un cri tellement désespéré, tellement perdu que mon cœur se brisa. Comme cravachée par le son, Annabelle redoubla de vitesse, au point que May Ling eut du mal à la suivre. Mes vêtements de commando, pourtant solides, commençaient à se déchirer sous la puissance du vent et je comprenais à présent pourquoi les vampires

voir comment, en un clin d’œil, je dissipe toutes ces difficultés et remédie à tous ces défauts qui vous embarrassent, dites-vous, et vous effrayent au point de vous faire renoncer à mettre 10 au jour l’histoire de votre fameux don Quichotte, miroir et lumière de toute la chevalerie errante. – Voyons, répliquai-je à son offre ; de quelle manière pensez-vous remplir le vide qui fait mon effroi, et tirer à clair le chaos de ma confusion ? » Il me répondit : « À la première chose qui vous chagrine

lorsqu'ils voient un éléphant qui s'apprête à sniffer une ligne de coke. Le lapin s'approche de l’éléphant et lui dit : "Ami éléphant, arrête de sniffer de la coke et viens courir avec nous pour maintenir ta forme. " Ni une, ni deux, l’éléphant balance son miroir et sa paille et suit les deux autres. En route, les trois animaux rencontrent un lion prêt a s'injecter de l’héroïne. Et le lapin :" Lion, compagnon, ne te pique plus. Viens plutôt courir avec nous. Tu vas voir que ça fait du bien. " Le lion s'approche

pour la plupart par des auteurs masculins, il y a aussi des exemples de production féminine ; songeons aux Mémoires du sérail (1713) de Mme de Villedieu, aux Anecdotes persanes (1727) de Mme de Gomez, aux Contes du sérail (1753) de Mlle Fauque, au Miroir des princesses orientales (1755) de Mme Fagnan, et à Zamor et Almanzine (1755) de Mme de Puisieux. Parmi les œuvres orientalisantes de femmes auteurs, je retiens le conte Nourmahal (1806) de Mme de Genlis parce qu’il présente une situation analogue