Le Misanthrope Scène Du Sonnet

Etudes transversales et thématiques : - Le drame romantique - Ruy Blas : une interrogation sur l’identité  5 – Acte 1, scène 1 6 – Acte III, scène 2, vers 1058 à 1467a : « Bon appétit ! Messieurs [...] Ah ! J’ai honte pour vous ! » 7 – Acte III, scène 5, vers 1408b à 1467a : « Ah ça, mais – vous rêvez ! [...] Il vient un froid par là » 8 - Acte V, scène 4 Textes complémentaires : Extraits de : la Préface de Cromwell, 1827 L’Homme qui rit, « le discours de Gwynplaine à

Deloffre, on tire aujourd’hui un bilan contrasté. Par un recours complaisant au vocable « marivaudage », elle légitime la lecture, de nos jours contestée, selon laquelle les intrigues marivaudiennes se réduisent à un plaisant badinage, mettant en scène des figures évanescentes vouées au culte gratuit de l’élégance creuse et du raffinement superficiel. Par réaction, d’autres lectures parlèrent, à l’inverse, du « réalisme » du théâtre de Marivaux et insistèrent sur la consistance charnelle des personnages

épicurien. Jusqu’à la fin de sa vie, il refuse d’établir sa poésie selon des règles préétablie comme celle de Malherbe. Pour Malherbe, la liberté passe avant tout, idée qu’il va défendre jusqu’à sa mort en 1626. Sa principale œuvre est un recueil de sonnets, d’odes, de satires. Tous avaient pour but d’exprimer sa liberté de mœurs et d’expression. Recueil qui regroupe des poèmes tels que : * L’Elégie à une Dame. * Prière de Théophile aux poètes de son temps. 2) La Préciosité. La Préciosité

trouvais/L’homme égaré qui ne sait où il va. » Aussi est-ce tout naturellement qu’il réaffirme son malheur dans l’envoi, en reprenant l’image de l’« égaré » : « C’est grand pitié qu’il faille que je sois/L’homme égaré qui ne sait où il va. » La mise en scène allégorique semble peut-être aujourd’hui peu compatible avec l’expression du sentiment amoureux, mais le poème offre une vision très haute de l’amour, défini comme ce qui sauve l’homme d’une condition misérable. 22 © Groupe Eyrolles « Encore

difficiles, il a la chance de jouer devant le roi Louis XIV. En 1665, ses comédiens et lui forment la « Troupe du roi ». Il a écrit une trentaine de pièces, parmi lesquelles : Les Précieuses ridicules (1659), Tartuffe (1664), Don Juan (1665), Le Misanthrope (1666), Le Bourgeois gentilhomme (1670), Le Malade imaginaire (1673). Il meurt le 17 février 1673, à la quatrième représentation du Malade imaginaire, alors qu’il en était l’acteur principal. Acte I 7 Pour comprendre l’Acte I . . . . . .

difficiles, il a la chance de jouer devant le roi Louis XIV. En 1665, ses comédiens et lui forment la « Troupe du roi ». Il a écrit une trentaine de pièces, parmi lesquelles : Les Précieuses ridicules (1659), Tartuffe (1664), Don Juan (1665), Le Misanthrope (1666), Le Bourgeois gentilhomme (1670), Le Malade imaginaire (1673). Il meurt le 17 février 1673, à la quatrième représentation du Malade imaginaire, alors qu’il en était l’acteur principal. © CLE International 3 4 30/09/04 14:51

épicurisme et scepticisme) et se serait plus particulièrement intéressé à la doctrine d'Épicure, exprimée sous sa forme la plus poétique, mais aussi la plus radicale, par Lucrèce, qu'il aurait alors traduit et dont il reprendra quelques vers dans Le Misanthrope[7]. À sa sortie du collège, selon un contemporain bien renseigné, Le Boulanger de Chalussay, qui publie en 1670 une comédie satirique contre Molière, « en quarante (en 1640 Molière a dix-huit ans), ou fort peu de temps auparavant,/ Il sortit

Reluise encor ; Que des nœuds mal attachés Dévoilent pour nos péchés Tes deux beaux seins, radieux Comme des yeux ; Que pour te déshabiller Tes bras se fassent prier Et chassent à coups mutins Les doigts lutins, Perles de la plus belle eau, Sonnets de maître Belleau Par tes galants mis aux fers Sans cesse offerts, Valetaille de rimeurs Te dédiant leurs primeurs Et contemplant ton soulier Sous l’escalier, Maint page épris du hasard, Maint seigneur et maint Ronsard Épieraient pour

qu'un modeste emploi... Le Vieux et la Vieille se retournent en même temps et en s'écartant un peu pour laisser la place, entre eux, à l'invitée. Celle-ci est invisible. Le Vieux et la Vieille avancent, maintenant, de face, vers le devant de la scène; ils parlent à la Dame invisible qui avance entre eux deux. LE VIEUX, à la Dame invisible : Vous avez eu beau temps? LA VIEILLE, à elle-même : Vous n'êtes pas trop fatiguée?... Si, un peu. LE VIEUX, à la même : Au bord de l'eau... LA VIEILLE, à la

siècle. - Les Mystères : au XVe siècle, ce sont des pièces très longues[20] et à grand spectacle qui se jouent lors des fêtes religieuses parfois pendant plusieurs journées. Les acteurs sont des amateurs groupés en confrérie. La mise en scène est très couteuse et est possible grâce à la munificence des princes, des communes ou du clergé : elle est fort réaliste et destinée à amuser le peuple[21]. Au XVIe siècle, comme les protestants critiquaient la représentation profane des choses religieuses