Le Modèle Harrod Domar

clé des pionniers du développement était l'industrie. Les politiques de développement prônées dans cette période d'après-guerre s'évertuaient à lancer l'industrialisation des PED sur l'exemple de l'industrialisation des pays avancés. Le modèle de Harrod-Domar mettait en lumière le besoin de capitaux des PED. Le taux de croissance dépendait du taux d'épargne ; le niveau bas de ce dernier dans les PED devait être compensé par l'aide étrangère. Rosenstein-Rodan allait dans le même sens. Du fait de

deux mécanismes. L’objectif de cet article est de faire ressortir l’impact de l’aide publique au développement sur la croissance économique du Niger, condition indispensable à la réduction de la pauvreté, (Datt et Raballion, 2002). Au moyen d’un modèle à correction d’erreur, l’article montre que l’aide publique au développement, mieux que les variables scolaires, a un impact positif et significatif sur le PIB réel en longue période. Impact of ODA on economic growth in Niger Abstract: International

moindre emphase sur la flexibilité (ce n'était pas le problème dans ce pays) et une plus grande place faite à l'incertitude. À l'automne 1934, il a fini le premier jet de la Théorie générale et commence à la soumettre à des lecteurs comme Roy Forbes Harrod, Ralph George Hawtrey ou Dennis Robertson. Cet ouvrage paraît en 1936 et vaut à Keynes d'être considéré comme une figure majeure de l'économie (certains vont jusqu'à dire qu'il est la « figure tutélaire » de la macroéconomie moderne). Retour au Trésor

l’épargne. Le keynésianisme : Constitue un courant loin d’être homogène qui regroupe des auteurs qui ont adoptés les préconisations de Keynes. Hicks (1937 : « Mr. Keynes and the Classics : a suggestes interpretation ») et Hansen : à l’origine du modèle IS-LM. Initié à la fin des années 30, et popularisé à la fin de la WW2. Il étudie les conditions d’efficacité de la politique économique, que ce soit la politique budgétaire et la politique monétaire. On peut distinguer plusieurs types de policy mix

dans l’analyse économique traditionnelle si l’on veut formaliser de façon réaliste. Mais il reste des éléments qualitatifs irréductibles, de facteurs institutionnels complexes, qui sont de très grandes importances et marquent d’emblée la limite des modèles trop exclusivement économiques. d. Analyse macro ou micro économique Une autre option est celle de savoir s’il faut orienter l’analyse plutôt vers la macro-économie ou plutôt vers la micro-économie. Certes le choix dépend de l’objet de la recherche

moindre emphase sur la flexibilité (ce n'était pas le problème dans ce pays) et une plus grande place faite à l'incertitudeS 14. À l'automne 1934, il a fini le premier jet de la Théorie générale et commence à la soumettre à des lecteurs comme Roy Forbes Harrod, Ralph George Hawtrey ou Dennis RobertsonDP 5. Cet ouvrage paraît en 1936 et vaut à Keynes d'être considéré comme une figure majeure de l'économie (certains vont jusqu'à dire qu'il est la « figure tutélaire16 » de la macroéconomie moderne). Retour

politique budgétaire et la croissance économique revue des travaux théorique1.2. Théories qui soutiennent que la politique budgétaire contribue à la promotion de la croissance2.1. Les théories keynésiennesRobert EISNER1.3. Les dépenses publiques dans le modèle de Barro 2. Théorie qui conteste l’impact positif de la politique budgétaire sur la croissance2.1. Théorie ricardienne2.2. Les théories Néoclassiques Section 2:  la relation entre la politique budgétaire

s’accroît. . . . . 5 5 6 6 7 3 Croissance et accumulation du capital : le modèle de Solow 3.1 Le contexte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2 Le modèle simple . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3 Le fonction de production agrégée . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3.1 Les propriétés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.4 Résolution du modèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.5 Introduction du progrès technique exogène

les économistes classiques pondèrent leur analyse en y incluant la notion de progrès technique, qui pourrait permettre des gains de productivité. Ces effets sont appréhendés a court terme. Selon Harrod et Domar (reprise de l’analyse keynésienne à long terme) la croissance est déséquilibrée. Leur modèle permet de mettre en évidence l’aspect instable de la croissance, car les conditions pour que la croissance soit équilibrée repose sur des hypothèses restrictives. La croissance économique mesurée

des années 90. La nouvelle économie : croissance soutenue d'une durée sans précédent, quasi plein-emploi, pas d'inflation, envolée des cours boursiers... (Nouveau paradigme technologique fondée sur les TIC. cf FREEMAN). D'où volonté d'un nouveau modèle d'organisation productive. Mais : quatre phases : 1) profits réalisés par un petit nombre de producteurs (start up) valident la croyance en la nouvelle économie. 2) afflux des nouveaux entrepreneurs vers ce secteur, et de nouveaux épargnants qui