Le Monde Sauvage

CANDIDE: LE PAYS DES OREILLONS (Chapitre 16) Le mythe du bon sauvage: Pendant le XVI de nombreux récits de découverte apparaissent : Amérique -> Christophe Colomb, Brésil -> Jean Léry XVII : Pacifique et Polynésie -> Bougainville Tous ces voyageurs font la description d’un être naturel, de pays idylliques fonctionnant sur les règles de partage et de solidarité, contrairement aux sociétés européennes. Tous ces récits présentent le sauvage comme un être naturellement bon et déplacent la sauvagerie

« Il n’était qu’austérité et colère. » Cette phrase de Marin Marais, extraite de l’ouverture du film de Corneau Tous les Matins du Monde, présente d’emblée le musicien Sainte Colombe comme un homme à part, en proie à l’isolement et aux accès de fureur. Telle est la description qu’en fait son ancien élève, et elle s’avère être fidèle au personnage, dans une certaine mesure du moins. En effet, qu’en est-il de Sainte Colombe, le père et l’époux ? Qu’en est-il du musicien sensible et profondément humain

FIN AU COMMERCE D ESPECE SAUVAGE La demande en produits dérivés d’espèces sauvages amène certaines espèces au bord de l’extinction, rien que pour des bibelots, de ‘soit-disant’ remèdes et des articles de mode. nous appelons les consommateurs à s’abstenir d’acheter des produits dérivés d’espèces sauvages. ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,, A travers le monde, on compte de plus en plus

l'Enfer (1956) II. Analyse du livre 1)a) L’auteur a choisi ce titre pour montrer a quoi ressemblerai le « meilleur des mondes » dans l’absolue mais en pratique l’on remarque très vite que ce monde n’est pas parfait. L’auteur souhaite mettre l’accent sur toutes les dérives effectuées par les dirigeants de ce monde pour qu’il soit le plus stable possible et agréable pour ses habitants mais ils sont en fait formatés pour aimer leur vie et non pour qu’il choisisse la vie qu’ils aimeraient avoir. b) Le

a ainsi composé le premier ouvrage du genre de l’époque moderne. Il y propose ses réflexions humanistes sur le choc des cultures découlant de la découverte du Nouveau Monde, et inspirées de sa propre existence (il a lui-même rencontré des cannibales). A travers cet ouvrage, il livre une véritable critique de l’Ancien Monde et de sa colonisation. Le texte étudié permet de mieux cerner la position du penseur, et de voir comment il construit sa critique. I) Critique du comportement

I/ La mise en place du mythe du bon sauvage 1) Un éloge de la vie sauvage + Champs lexical de l’honneur jalonne le texte (victoire, vertu, conquêtes, courage…) + Ce peuple vie en harmonie avec la nature Verbes jouir : idée de bonheur, plaisir au sein de cette nature) + La nature s’offre d’elle-même personnification + Cette description revient a l’âge d’or : parallèle avec le Jardin D’Eden + Répétition encore (l.5-6) : crée un

1580-1595 Texte étudié Montaigne s’intéresse avec curiosité à la découverte de l’Amérique. Il se passionne pour les récits des colons ou des missionnaires et les témoignages directs : inaugurant un discours d’anthropologue, il décrit la vie des sauvages en s’efforçant de dépasser les préjugés. Non seulement leur civilisation soutient la comparaison avec la nôtre, mais elle remet en question la notion même de civilisation : les plus barbares ne sont pas ceux que l’on croit ! L’examen de la vie de

L’histoire se déroule en 632 de N.F. (Notre Forderie qui est le Dieu), dans une société dictatorial ou les devises sont «Communauté, Identité, Stabilité»ou encore «Chacun appartient à tous les autres».Ce monde utiliserait la génétique pour le «conditionnement» et le contrôle des individus pour qui tout est planifié et régulé. Les enfants sont conçus dans des éprouvettes au Centre d'Incubation et de Conditionnement. Ils y sont conditionnés c’est-à-dire qu’un certain nombre d’informations concernant

des images stéréotypées sont présentes. Ces livres étaient populaires donc ils continuaient à les forger. Les personnes de couleurs noires pouvaient être vues comme des personnes simples et naïfs : de “bons sauvages” ou comme des “sauvages” êtres primitifs et violents. Le côté “bon sauvage” vient du fait que les amérindiens étaient quasiment nus quand les européens sont venus. Après une première surprise, certains ont vu cette nudité innocente et naïve. Elle leur rappelait Adam et Ève, pour eux

point qui séduit l’imaginaire du XVIIIème siècle par rapport au monde sauvage. C’est le problème du libertinage amoureux, qui s’est également posé dans la littérature avec des œuvres comme Les égarements du cœur et de l’esprit de Crébillon ou Les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos. Le discours d’Orou est d’ailleurs lancé par le mot « libertin ». Diderot s’inspire donc d’un sujet traditionnel du discours sur les mœurs sauvages : la sexualité. Mais son approche est originale : il n’y a pas