Le Moribond

nous ont conduits tout près de la conclusion d’un nouvel accord de l'Union. Tous ces changements ont provoqué une énorme tension. Ils se sont produits dans des conditions de lutte féroce, sur un fond d'opposition croissante des forces du passé moribond et réactionnaire, des anciennes structures du parti, et de l'État et de l'appareil économique, ainsi que de nos habitudes, de nos préjugés idéologiques, de notre psychologie de nivellement et parasitaire. Ils se sont heurtés à notre intolérance

occidentale. Les vers 7 et 8 constituent une unité poétique car ils sont structurés par un parallélisme « des… dont… » et par la métonymie. Dans la première métonymie, les hommes « vigoureux » sont associés à la force et s’oppose implicitement au corps moribond du bourgeois. Au vers 8, la métonymie se concentre sur le regard des femmes. Il suppose l’idée que l’œil de ces femmes idéalisées est franc et n’a rien à cacher contrairement aux regard hypocrites des femmes occidentales. A RETENIR – TRANSITION Après

l’esprit, ce qu’on appelle un libertinage de tête. Affirmation de sa puissance et de sa supériorité mais elle a besoin de Valmont, d’un témoin pour exister en tant que ce qu’elle est d’où lettre – confidence qui la dévoile. Autopsie de aristocratie moribonde de son siècle : société de conformisme, de dissimulation qui mutile individu, l’oblige à dissocier être et paraître. Questions sur prétendue souveraineté des 2 libertins : sont-ils aussi maîtres du jeu qu’ils le croient ? Jouent des rôles dans société

décalage en lui conférant une dimension absurde : absurde de la condition d’un condamné, absurde de l’indifférence générale, « le directeur m’a pris affectueusement » // « a renforcé mon escorte de quatre vétérans » (quelle affection !), « un vieillard moribond m’a crié : Au revoir ! » (ils ne se reverront jamais !), « Déjà la foule », « qui durera plus que moi », « J’ai eu plaisir à voir cette foule dans cette boue » (= c‘est bien fait !) (renforcé par la répétition de l’adjectif démonstratif « cette »

viendra jamais... La relation des deux personnages est plus compliquée que celle, classique, du maître et du domestique, car ici le domestique semble être un fils adopté, car Hamm raconte qu'un homme affamé a frappé à sa porte accompagné de son fils moribond, et qu'il lui aurait demandé de garder et soigner son fils. Or cette histoire père fils mêlée à une relation d'esclave rappelle une autre histoire, qui part du nom même de Hamm, qui ressemble à s'y méprendre au nom de « Cham », Fils d'un Noé furieux

lettre une affirmation de sa puissance et de sa supériorité sur le Vicomte mais elle a besoin de Valmont, qui joue le rôle du témoin qui lui sert à exister en tant que telle, d’où cette confidence qui la dévoile. Cette autopsie de l'aristocratie moribonde de son siècle : société conformisme, de dissimulation qui mutile les individus, les oblige à dissocier être et paraître. On peut alors se poser la question de la prétendue souveraineté des deux libertins : sont-ils aussi maîtres du jeu qu’ils le

l'apaisement total et la nuit en est une sorte d’avant-goût. Ce thème est déjà observé au début du premier tercet avec «les Années défuntes», ou « sur les balcons du ciel » faisant allusion par là à la vue du paradis. Cette mort est douce car :« le Soleil moribond » qui est un symbole d’espérance, lui s’endort ne meurt pas «sous une arche» symbole d’alliance avec Dieu et le « linceul » de la nuit est magnifique, ce champ lexical n’a rien d’angoissant, il invite le poète à se rejoindre dans un apaisement éternel

lorsque Ibrahim menace la capitale et lorsque les puissances négocient le traité de Paris, et c’est aussi le cas pour la constitution de 1876, qui est promulguée après la crise des Balkans. En 1875, malgré les apparences, l’Empire ottoman n’est pas moribond, dans les faits ce n’est pas « l’Homme malade » dont parle le tsar Nicolas I. Son délabrement n’est pas fonction de ses pertes territoriales. Les efforts effectués par l’Empire ont malgré tout permis de moderniser son armée et sa flotte. Toutefois

l’auteur utilise d’autres comparaisons pour montrer le piteux état dans lequel Emma se trouve « elle allongea le cou comme quelqu’un qui a soif… comme quelqu’un qui se réveille d’un songe… comme un cadavre que l’on galvanise » . La périphrase « la moribonde » qui désigne Emma insiste sur con mal physique provoqué par l’arsenic, tout comme les adjectifs qualifiant l’héroïne « pâle… trop faible ». L’accumulation «  les cheveux dénoués, la prunelle fixe, béante » montre Emma à bout de souffle, agonisant

voulaient rester en Pologne). L'administration entretenait les rivalités entre les polonais qui soutenaient des groupes politiques différents afin de diviser pour mieux régner. Détenus russes et tziganes : Des russes envoyé de Lambsdorf, presque moribonds, la seule qui les intéressait était de manger même si leurs organismes ne digéraient plus la nourriture, ils s'entretuaient et il y avait même des cas de cannibalisme. Les tziganes avaient été emprisonnés à moins d'appartenir à une des deux tribus