Le Mort Joyeux

Sur l'absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J'écris ton nom Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l'espoir sans souvenir J'écris ton nom Et par le pouvoir d'un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer Liberté Paul Eluard (1895 - 1952) Poésies et vérités, 1942  Oceano nox Oh ! combien de marins, combien de capitaines
Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines,
Dans ce morne horizon se sont évanouis

bonheur de vivre.” Camus, qui est une personne optimiste, veut que l’absurde mène au bonheur, et que la personne ait envie de vivre et même de revivre. Camus nous présenre Meursaut, étant joueux pendant toute sa vie, et pendant tout le roman il est joyeux, it sort, court, erre (flanner, marcher sans but). It est content de sa vie. Il rit même a l’entenement de sa mére, et n’a pas pleuré. Il a fume des cigarettes, a bu du café. Ce qui est étonnant, il dort le jour de l’enterrement, il sort le jour après

1ER AXE : CHOC DE LA MORT DU SOLDAT · Douceur de la nature Dès les premiers vers du poème, l'auteur nous parle principalement de la nature et de sa beauté. On peut en déduire qu'il cherche à nous disperser en adoucissant le poème, en le rendant joyeux et tranquille pour que le choc soit d'autant plus grand. En effet, on peut aisément remarquer que la beauté de la nature est mise en avant avec le champ lexical de la nature : verdure, herbes, rivière, glaïeuls, etc. La joie, la douceur, lharmonie

Ce poème est composé de plusieurs champs lexicaux : celui de la mort, de la charogne et de la répugnance mais aussi ceux du charnel, de l’idyllique et du mélioratif. Dans ce poème, il compare une carcasse en état de décomposition à une femme courtisée en utilisant le memento mori. Il réussit à faire une telle métaphore

beauté, comme « joyeux » « superbe » « jouissez ». Mais lors de la chute, d=s deux derniers vers, « s= change, mais toi même avec cela, en terre, ombre, fumée, poud=e, néant», cette idée de vie est opposée à celle de la mort. Car en effet, il=y a bien l’image de la mort qui se créer par le mot «ombre», produisant une opposition avec le soleil, qui est l'un des symbole de la vie. Mais également le mot «néant» insiste sur le fait qu’il n’y a plus aucune trace de notre existence une fois mort. Pour conclure

matin du 16 avril, le docteur Rieux sortis de son cabinet et buta sur un rat mort, au milieu du palier .sur le moment, il écarta la bête sans y prendre garde et descendit l’escalier. >>Ses phrases sont simple et structuré sens superflu. A la fin du deuxième chapitre et début du troisième <<Le lendemain du 30 avril, une brise déjà tiède soufflait dans le ciel bleuet humide. >>ce passage est consacré a la mort du concierge .L’intérêt de sa chronique dans les dates, la description de

Duval, il a entretenu une longue relation tumultueuse, résolument charnelle 1) Pour l’ennemi : les trois âges de la vie et la mort, peinture de Hans Baldung 2) Pour le serpent qui danse : Lilith, peinture de John Collier 3) Le Vampire : Le Vampire, peinture de Edvard Munch 4) Causerie : La Maitresse de Baudelaire, de Edouard Manet 5) Le mort joyeux : Le jardin des morts, Hugo Simberg

Texte « Dieu est mort ! » de Nietzsche Dissertation L’expression « dieu est mort » permet une série de questions : « si dieu est mort, qui l’a tué ? De quoi est-il mort ? Comment est-il né ? Qu’est ce qu’il l’a remplacé ? » La phrase de Nietzsche « Dieu est mort » est provocante. Cela parait absurde dieu est un être divin, comment pourrait-il être mort ? Nietzsche n’implique t-il pas que dieu n’est pas, n’a jamais été qu’une illusion rassurante ? Si dieu se définit par sa fonction sociale,

triste et dur, Reculé brusquement ma chaise jusqu'au mur, Et, vous jetant ces noms dont l'envieux vous nomme, J'ai dit : - Allez-vous-en ! laissez-moi seul ! - Pauvre homme ! Seul ! le beau résultat ! le beau triomphe ! seul ! Comme on oublie un mort roulé dans son linceul, Vous m'avez laissé là, l'oeil fixé sur ma porte, Hautain, grave et puni. - Mais vous, que vous importe ! Vous avez retrouvé dehors la liberté, Le grand air, le beau parc, le gazon souhaité, L'eau courante où l'on jette

reconnu comme l’initiateur de la modernité en poésie. Ces Œuvres les plus célèbres sont Mme Bovary, le recueil les fleurs du mal, les épaves ou encore le Spleen de Paris. Ce dernier est un recueil de poèmes en prose paru en 1869, deux ans après la mort du poète. Il rassemble des poèmes variés attachés au langage métaphorique et imagé. Ce poème de Baudelaire est un portrait d’un vieux Saltimbanque construit en opposition avec la foule de la fête foraine mais il présente également la vision du monde