Sonnet de luis de gongora y argote

402 mots 2 pages
Luis de Gongora est un chapelain de la cour de Philippe III d'Espagne. En 1582, il écrit un sonnet exprimant les sentiments d'un homme amoureux, à travers le portrait d'une femme aimée. Dans ce poème, nous allons tout d'abord étudier le rôle et l'importance de la nature et puis ceux de la vie.
Tout d'abord, on observe que de nombreuse parties du visage, comme les cheveux, les lèvres, le cou ou le front, sont comparés à des éléments de la nature, plus précisément aux fleurs, comme dans l'exemple suivant : « Ton front candide nargue le superbe lis». Ce qui confirme le fait que l'homme est amoureux, car tout lui semble merveilleux, il trouve que cette femme est bien plus belle que la nature. On peut ainsi faire un rapprochement avec le proverbe « l'amour rend aveugle ». Mais ce visage est aussi opposé à la nature, notamment par le champs lexical du combat; « dédain, nargue, triomphe, brillant ». On perçoit donc que la nature repousse cette femme, qu'il y a une lutte. On est rappeler au fait que la femme est mortelle, et que nous aussi nous somme mortels.
Puis, par l'emploi de deux lexicaux, le poète nous transmet l'idée de la vie. Le premier est celui abordant le thème des couleurs, par exemple «or», «bruni», «argent» et «viole=te» , et le second est celui rapportant au plaisir et à la beauté, comme « joyeux » « superbe » « jouissez ». Mais lors de la chute, d=s deux derniers vers, « s= change, mais toi même avec cela, en terre, ombre, fumée, poud=e, néant», cette idée de vie est opposée à celle de la mort. Car en effet, il=y a bien l’image de la mort qui se créer par le mot «ombre», produisant une opposition avec le soleil, qui est l'un des symbole de la vie. Mais également le mot «néant» insiste sur le fait qu’il n’y a plus aucune trace de notre existence une fois mort.

Pour conclure, on peut dire que par l'utilisation de l'image de la nature et de la vie, le poète souhaite nous transmette une idée sur la vie, qu'elle n'est qu'illusion, et qu'elle est courte

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