Le Mort Joyeux

Victor Hugo commence sa défense de ces enfant abandonné en allant contre les idée reçue du XIX s. En effet alors que les enfants abandonné était présenté comme des bandit illettré mal-polie et méchant Victor Hugo les pressente comme des enfant enfant joyeux ,joueur et pardessus tout comme des être innocent2. Et même lorsque ces enfants volent il justifie cela par le fait qu'il doivent se nourrir. Victor Hugo va plus loin encore avec le personnages de Gavroche il nous montre un gamin capable de générosité

stéréotypé sur le plan physique… « maigre, poissé de sang (référence à l’expression : une faim de loup) » …et morale : « cruel, assassin » ce jugement moral est péjoratif. Référence à la fable « Le loup et l’Agneau » ~ Le loup est héroïque 2e vers => mort du loup Il y a un jeu de mot entre « poissé de sang » et « pissant de sang » Poissé et pissant est une paronomase , elle permet de passé du mythe cruel au mythe héroïque ~ On reconnaît le mythe du chasseur les mots « chasseur » ou « chasse » sont

redoutable des a.rmes: le rire et la joie de vivre ' ' de Ravensbrùck a écrit en uauteur, Germaine Tillion, miraculée du camp f a .l944, la camps de lr=rur" la plus iingulière et la plus étonnante qui soit sur les dans l'univers jOyeux mort. Elle plonge le spectateur de manière inattendue noir. Nous ne d,une opérette, sorte de revtje conférence remplie d'humour pas d'une il sommes pas loin de l'esprit dë La vie est bellet mais ici, ne -s'agit fiçtion: le ton est léger mais la réalité

beaucoup de description de couleurs et de matières : Hugo crée un environnement : « paillètes d’azur », « grands yeux noirs », « tuniques de soie », « manteau de satin », « épaule nue », une atmosphère irréelle : « la fête enchantée ». Le début est joyeux. Dans la première strophe, il y a une allitération en « i », au vers 12, nous avons des verbes de mouvements : « volait, et revenait », au vers 20, la ponctuation exclamative qui renforce la métaphore qui décrit sa façon de tourner : « un flot tournoyant

image abstraite : « l’or ». Pour illustrer cet argument on peut prendre pour exemple un poème extrait des Fleurs du mal intitulé « Le mort joyeux ». Dans ce poème, Baudelaire donne sa propre vision de la mort. Il exprime son mal-être et la mort comme en étant une délivrance. Ici, l’idée concrète du poème est la mort, et l’image abstraite qu’en donne Baudelaire est la liberté. Ainsi Baudelaire, par l’alchimie poétique change la boue en or.

veulent faire passés les auteurs. Marceline Desborde-Valmore dans son poème intitulé « Quand le fil de ma vie »,nous incites a ressentir le froid et de la douleur à travers son poème sur une mort lente mais certaine. Arsène Houssaye ,démontre dans son poème « le chemin de la vie » que la vie se confond a la mort , par le passage de se chemin de la vie plein de mystère et de tristesse. Dans « la vie idéale » , Charles Cross ,nous présente une vie heureuse et joyeuse autour du printemps et de la fête

claire, toute brillante, douce et bénie ». Cependant, on voit la mort ce qui fait disparaître le merveilleux joyeux qui devient une sorte de romantisme noire, par le champ lexical de la froideur et de l’horreur « froid », « affreusement », « bleus de froid », « gelée ».Le ciel étoilé agit comme une prédiction de la mort de la fillette, en effet le proverbe « Quand une étoile tombe, c’est une âme qui monte vers Dieu » annonce la mort de la fillette ; on ne sait pas encore qu’elle est morte mais on

cadavre, le peuple étaient joyeux à l’idée du spectacle qui se préparait. Il était jeune, la trentaine tous comme moi. Marié un enfant, Il semblait de bonne famille et avait surement une bonne éducation. Probablement un bon père de famille. Il était là, assis sur ce banc, seul face à son destin. A aucun moment il n’a nié sa culpabilité. Face à lui se tenait une nuée de personnage qui allait décider de son avenir. Quand le juge lui annonça que la sentence était la mort, je ressentis de la tristesse

Tchékhov avait une conscience aiguë du non-sens et de l’absurdité de l’existence. Monseigneur est donc un récit sur la solitude et sur la mort – récit d’autant plus poignant que Tchékhov malade s’y met lui-même en scène. Cependant, le pathétisme ne constitue pas la seule tonalité de cette nouvelle où la solitude et la mort même semblent s’effacer devant une poésie du quotidien. Du reste, les incursions lyriques dans une trame réaliste sont fréquentes chez Tchékhov, particulièrement

AVANT APRES Son œuvre multiple comprend aussi des discours politiques, notamment sur la peine de mort (En 1829, la publication du livre de Victor Hugo, Le Dernier Jour d'un condamné relance le débat. L'abolition de la peine de mort est débattue, puis rejetée par les parlementaires français qui discutent régulièrement de la question depuis 1791, mais ne mettent jamais l'abolition en pratique), l’école ou l’Europe, des récits de voyages et une correspondance abondante