Le Mort Joyeux

 » Même le vent n’arrive pas à chasser l’odeur de la mort. Michel a vu des plaines magnifiques avec ses champs à perte de vue, plein de betteraves, parsemés de riche ferme et jalonnées de meules de blé. Quand il-y- retourne c’est « le pays de la mort » Il dit aussi à son ami ou il dort sois dans des trous creusée ou des tombeaux neuf. Il raconte ce qu’il voit dans des tranchées :  « l’autre jours dans les tranchées des Joyeux , les soldats avaient étayé leurs tranchées avec des morts

passé par une carrière au théâtre puis à la télévision avant d'arriver dans son domaine de prédilection, le cinéma. Arrivé devant la caméra, Guillaume Canet a joué dans de nombreux films à succès comme La Plage (2000), Jeux d'enfants (2003) ou encore Joyeux Noël (2005). Dès 1996, il se tourne vers l'écriture et la réalisation avec des courts métrages puis passe à la réalisation d'un long métrage avec Mon idole en 2002. En tant que réalisateur, il connaît la consécration avec Ne le dis à personne en 2006

nuit ; il est beau et joyeux, robuste et fort. Loué sois-tu, mon Seigneur, pour sœur notre mère la terre, qui nous soutient et nous nourrit, et produit divers fruits avec les fleurs aux mille couleurs et l'herbe. Loué sois-tu, mon Seigneur, pour ceux qui pardonnent pour l'amour de toi, et supportent douleur et tribulation ; bienheureux ceux qui persévèreront dans la paix, car par toi, Très-Haut, ils seront couronnés. Loué sois-tu, mon Seigneur, pour notre sœur la mort corporelle, à qui nul

malaise du narrateur se fait fortement ressentir depuis la mort de son père. En effet, un champ lexical de l'errance apparaît. De plus il a une certaine attirance pour la mort « l.23-26, 27-28). De même; les lecteurs plongent dans une tristesse et de mélancolie. Pour finir, les auteurs romantiques adopte une forme de nostalgie et de plainte qui agace fortement les lecteurs. Néanmoins, l'univers fantastique du romantisme rend le récit plus joyeux et plus distrayant. Donc, dans un deuxième temps, nous

naître chez le lecteur un sentiment de compassion avec des vers comme : « Sous leurs haillons » ; « Les pauvres Jésus pleins de givre » ; « Ils sont blottis, pas un ne bouge » etc. Dans ce dernier vers, les enfants semblent être entre la vie et la mort, car « pas un ne bouge ». De plus, pour accentuer ce sentiment de pitié, le poète insiste sur le froid mordant de l’hiver : « Ils sont blottis » devant cette boulangerie et « leur chemise tremblote / Au vent d'hiver ». Ces « effarés » font des prières

poursuit ses confidences sur « les sentiments secrets de son âme », aux deux vieillards. Délaissé par ses parents après une naissance douloureuse, René a accumulé les souffrances morales. Dans cet extrait, il décrit, d’une part son impression face à la mort de son père ; d’autre part, il s’interroge sur l’immortalité de l’âme. Le narrateur a assisté au décès de son père. La phase « il expira dans mes bras » exprime et surtout réveille plusieurs sentiments chez René. Cette dernière expiration

(l. 33, 35, 37,41…) anaphore (l. 14) « ton père qui t’aimait tant…ton père qui baisait ton petit cou blanc et parfumé » Argument 3 : le narrateur utilise le registre pathétique Ex : allusion à Dieu « Ah Grand Dieu » (l. 12), champs lexical de la mort « tuer » (l. 10), « crime » (l. 38), « mourir » (l. 40). Le narrateur s’exprime sous forme de lamentation : apostrophe « O ma pauvre petite fille » (l. 2), « O ma petite Marie bien aimée » (l. 36), « Oh ! si ses jurés l’avaient vu » (l. 28). Le narrateur

L’amour que Tristan et Iseut éprouvaient entre eux est inséparable de la passion. Effectivement, le sentiment de passion que tous les deux éprouvaient est si puissant qu’il ne pouvait se contrôler. Dans le récit, alors que Tristan et Iseut sont éloignés d’entre eux, Iseut devait feindre sa joie et son rire. De plus, elle domptait l’agitation des parties du corps du Roi Marc et les sursauts qui étaient dus à sa fièvre. Elle voulait à tout prix s’enfuir vers Tristan. On cite aussi : « L’amour les presse

Anthologie Poétique : La Mort | Sommaire * Ronsard – Je veux mourir pour tes beautés Maîtresse : extrait du Recueil : Premier livre des Amours * Du Bellay – Je hais plus que la mort un jeune Casanier : extrait du Recueil : Les Regrets * Sponde – Mais si faut-il mourir : Ronsard – Je veux mourir pour tes beautés Maîtresse Je veux mourir pour tes beautés, Maîtresse, Pour ce bel œil, qui me prit à son hain, Pour ce doux ris, pour ce baiser tout plein D'ambre et de musc, baiser

Emile Zola c’est amusé à décrire le dîner comme joyeux comme l’indique les citations : « les convives fêtaient le repas », « ces messieurs parlaient tous à la fois », « on trinqua à la gloire des Rougon », « la joie d’être sauvés, de ne plus trembler, de se retrouver dans ce salon jaune, autour d’une bonne table », « dans l’air chaud, leurs voix montaient grasses, plus louangeuse à chaque plat ». Or, on constate que ce dîner est encadré par la mort, ce qui fait un contraste avec la joie du dîner