Le Mort Joyeux

très vivement la toromachie. Le narrateur est le taureau qui découvre avec horreur le spectacle de la corrida, sa corrida où il sera mis à mort. 2- Analyse Dans le premier couplet, le taureau s'impatiente dans un endroit sombre: «  une chambre noire » avec un « verrou » et du bruit «  au bout du couloir » . On pense immédiatement au couloir de la mort avant une execution pourtant, ce sont des chants que l'on entend au bout du couloir. Donc à ce moment là on ne sait pas trop qui parle ici

cite à tout propos/Ses moindres actions lui semblent des miracles… L’ombre croît, le jour meurt, tout s’efface et tout fuit. Les vieux ne meurent pas, ils s’endorment un jour et ne se réveillent pas. Nous troublons la vie par le soin de la mort, et la mort par le soin de la vie. La mère de l’amour eut la mer pour berceau. Et l’ont voit de la flamme aux yeux des jeunes gens/Mais dans l’œil du vieillard on voit la lumière. Le siècle des lumières fut celui de la Révolution française. Les arbres

vin pur qui rendit joyeux tous les convives. Sans arrêt, les serviteurs entretinrent les feux et les braises ne cessèrent de réchauffer les broches qui tournaient sans relâche. Les tables fléchirent et craquèrent sous le poids des plats chargés de nourriture, tout le palais bourdonna comme une ruche et, jour et nuit, les flûtes et les lyres accompagnèrent les chants joyeux qui traversaient les murs du palais. Le onzième jour, le roi organisa une procession avec les joyeux convives. Il proposa

de tous les mouvements, De tous les sacrifices et de toutes les conquêtes Dort. Il dort, il dort, il dort. Il raye de ses soupirs la nuit minuscule, invisible. Il n’a ni froid, ni chaud. Son prisonnier s’est évadé — pour dormir. Il n’est pas mort, il dort. Quand il s’est endormi Tout l’étonnait, Il jouait avec ardeur, Il regardait, Il entendait. Sa dernière parole : « Si c’était à recommencer, je te rencontrerais sans te chercher. » Il dort, il dort, il dort. L’aube a eu beau lever

Juliette de William Shakespeare. Roméo et Juliette est une pièce écrite par William Shakespeare. Cet auteur est un célèbre dramaturge, poète et écrivain anglais du XVI siècle, il est né le 23 avril 1564 dans la ville de Stratford-upon-Avon et il est mort le 23 avril 1616 dans la même ville. William Shakespeare fréquente l'école secondaire de Stratford où il étudiait notamment le latin et les littératures latines, cependant durant l'année 1577 Shakespeare quitte l'école pour aider son père. A l'âge

Ma1-4 Commentaire composé Le 09.11.10 La mort des amants Charle Baudelaire est l'un des poètes les plus célèbres du XIX siècle. Il va rompre avec l'esthétique classique de la poésie en proposant des thèmes tels que la drogue, le remord, l'enfer, tout en reprenant certains éléments de l'héritage classique comme l'alexandrin, le quatrain et le sonnet. Le poème analysé s'intitule "la mort des amants" et est tiré du livre "Les fleurs du mal" publié en 1857. Ce recueil de poèmes est divisé en six

est surement « Le dormeur du Val ». C’est un sonnet extrait du recueil Poésies, d’Arthur Rimbaud. Ce poème parle d’un jeune soldat mort pendant la guerre, sans que l’on connaisse les circonstances exactes de sa mort. Dans ce sonnet l’apparition de la mort est brutale, sous forme d’une chute au dernier vers, qui s’oppose au reste du poème dont le thème est jusque là joyeux et harmonieux. Le sonnet est donc entièrement construit sur une fausse idée qui incite le lecteur à sa relecture. Dans un premier

l’homme car il veut avant tout évoluer et il le trouve en se cultivant en désirant découvrir de nouvelles choses. Le désir peut être considéré comme une souffrance qui ne s'achève que provisoirement. On ne peut donc se libérer du désir que par la mort. Dans le texte1 le désir peut être considéré comme une souffrance qui ne s’achèvent qu’un court instant car lorsque l’on va désirer quelque chose même pendant un cours instant et qu’ensuite on ne pourra pas l’avoir si l’on est raisonnable on va se

de champs lexicaux « contraires » : celui de la vie qualifié par les mots « sourit », « la mer si bleue, si tranquille, si belle » … et celui de la mort par les mots « cercueil de chêne », « morte », « tousse », « fatiguée ».Le champ lexical de la vie est une sorte de lueur d’espoir au triste sort qui attend la jeune femme. Le champ lexical de la mort oblige un retour à la réalité tout en rendant l’histoire plus triste. On constate à première vue que les mots surlignés en rose sont

source de vie pour virevolter dans les airs avant de doucement atterrir sur le trottoir. Parfois, il m’arrive de marcher sur des feuilles mortes, ces dernières toute recroquevillées craquent toute leur fatigue sous mes pas. Ce bruit me rappelle que la fin est triste, les feuilles sèches sont comme les rides de vieillesses qu’ont les humains. À ces stades là, la mort n’est plus qu’une question de temps. Lorsque j’atteins l’intersection, il y a toujours une dame qui est à l’arrêt de bus. Elle regarde