Le Mort Joyeux

59 quintils, « La Chanson du Mal-Aimé », qui fait partie du « cycle d’Annie » (Annie Playden est une jeune Anglaise rencontrée en 1901 dont Apollinaire est tombé amoureux) : il traduit la souffrance du poète rejeté par sa maîtresse. Seul intermède joyeux, cette « aubade » de trois quintils est une sorte de chanson campagnarde du matin, destinée à être chantée à l’aube, sous la fenêtre de la « belle », à une période où l’on commence à sentir les prémisses du printemps : Laertare est le quatrième dimanche

dans les lueurs musiciennes, Amour pâle, une aurore future ! Et mon âme et mon coeur en délires Ne sont plus qu'une espèce d'oeil double Où tremblote à travers un jour trouble L'ariette, hélas ! de toutes lyres ! O mourir de cette mort seulette Que s'en vont, cher amour qui t'épeures Balançant jeunes et vieilles heures ! O mourir de cette escarpolette ! III Il pleut doucement sur la ville. (ARTHUR RAIMBAUD.) Il pleure dans mon coeur Comme il pleut sur la ville

Les poètes ont souvent recourent à des allégories pour livrer leurs réflexions sur plusieurs sujets. Ainsi, des poètes romantiques comme Victor Hugo et Alfred de Vigny, ont écrits des poèmes intitulés « Soleils couchants » et « La mort du loup » : dans lesquels ils évoquent une réflexion morale sur la supériorité de la nature sur l’homme et cela chacun à leur manière. Dans un premier temps, Victor Hugo, par le biais du renouvellement, image le cycle de la vie et dans un deuxième temps, Alfred de

lyrique intitulé "Soleil couchants", Victor Hugo développe lui aussi ce thème de la fuite du temps qui épargne la nature mais accable l'homme. Sa méditation prend une tournure tragique et personnel, il y exprime sa révolte devant le problème de la mort et l'indifférence de la nature.   La fuite du temps est exprimée sur le plan lexical par un réseau très complexe de répétitions. La plupart des verbes appartiennent au même champs lexical qui est celui du mouvement: "s'est couché", "viendra", "s'enfuit"

L'enterrement, Verlaine, 1866 Paul Verlaine est un poète symboliste français de la seconde moitié du XIXe siècle, dont les contemporains ont salué le génie en le sacrant « prince des poètes » peu avant sa mort. En 1866, il publie son premier recueil, Poèmes saturniens. Placés sous le signe de Saturne, ces poèmes élégiaques célèbrent malheur, mélancolie et solitude.Le sonnet « Enterrement », qui a pu être rattaché abusivement à ce recueil sur les recommandations d’un ami du poète, Edmond Lepelletier

des voix anciennes Et dans les lueurs musiciennes, Amour pâle, une aurore future ! Et mon âme et mon cœur en délires Ne sont plus qu'une espèce d’œil double Où tremblote à travers un jour trouble L'ariette, hélas ! de toutes lyres ! O mourir de cette mort seulette Que s'en vont, - cher amour qui t'épeures, Balançant jeunes et vieilles heures ! O mourir de cette escarpolette ! III Il pleut doucement sur la ville (Arthur Rimbaud) Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville; Quelle est cette

étudié est la mort, physique ou spirituel L’époque : Ici, c’est l’époque romantique qui est étudié Préface Le Romantisme, grande époque de l’écriture français eu lieu, au XIX ème siècle. Mon thème est la mort, Physique ou spirituel. Dans les premiers poèmes étudiés, Bodelaire, vois un intérêt paradoxalement positif à la mort, une sorte de libération aux maux de la vie. Dans, « La mort des amants » le poète dis « divans profonds comme des tombeaux », en quelques sortes la mort serait plus

 LE CHEVALIER AU BOUCLIER VERT Odile Weulersse Chapitre 1 : Un départ précipité Personnages : Thibault de Sauvigny, 15 ans, écuyer, puis il devient chevalier. Fils du cousin du seigneur de Montcornet, son père est plutôt pauvre Courageux, joyeux, amusant Physique : Cheveux blonds bouclés jusqu’aux épaules PERSONNAGE PRINCIPAL Eléonore, on ne précise pas son âge mais on la qualifie de « jeune fille » Fille du Compte de Blois Coquette, belle, noble, gracieuse, généreuse Physique : « son visage

cette cérémonie d’enterrement. C’est un sujet qui, normalement, n’est pas joyeux mais au contraire dans ce poème tout est plaisant, toutes les caractéristique d’un enterrement ordinaire comme sombre, triste mais ici tout est traité de façon gaie. Verlaine y ajoute même une satire des personnages. Dès le premier vers, le on sait immédiatement le ton du poème avec une provocation “ je ne sais rien de gai qu’un enterrement”. La mort est assimilée à un sommeil agréable, “édredon du défunt, heureux drille”

a froid.Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. 5/ Argumenter ce choix Ce poème m'a beaucoup plu car au départ, on pense que c'est un poème joyeux, on nous parle d'une nature omniprésente et bucolique. On la trouve dans tout le premier quatrain et ainsi que dans le dernier tercet. Elle nous donne l'illusion de la vie et du bonheur qui éveille tous nos sens. "Verdure" vers 1 est repris au vers