Le Mot Chien Ne Mord Pas

les tableaux ne sont pas des illustrations des titres » R.Magritte Beaucoup de réaction : Effectivement, l’image d’un objet n’est pas l’objet lui-même. Comme disait le sémiologue américain de la fin du 19e siècle, William James: « Le mot « chien » ne mord pas. » Magritte, lui, a travaillé sur ce paradoxe de 1928 à 1966. Même devant la nature, disait Delacroix, "c'est notre imagination qui fait le tableau" En intitulant une de ces toiles qui montre apparemment une pipe, Ceci n'est pas une

verra. Qui dort dîne.Qui a bu boira. Qui a faim mange tout pain.Qui ne risque rien n’a rien.Qui s’aime se taquine.Qui va à la chasse perd sa place.Qui vole un œuf vole un bœuf.Dis-moi qui tu aimes, je te dirai qui tu es.Qui veut tuer son chien, l’accuse de la rage.Qui aime bien châtie bien.Qui veut aller loin ménage sa monture.Qui mal cherche mal trouve.Qui cherche trouve.Qui va lentement va loin.Qui rit vendredi dimanche pleurera.Dans les proverbes ci-dessus, qui a la valeur de celui qui

moquez, et... DOM JUAN.- Non, non, je sais ce que je vous dois, et je ne veux point qu’on mette de différence entre nous deux. M. DIMANCHE.- Monsieur... DOM JUAN.- Allons, asseyez-vous. M. DIMANCHE.- Il n’est pas besoin, Monsieur, et je n’ai qu’un mot à vous dire. J’étais... DOM JUAN.- Mettez-vous là, vous dis-je. M. DIMANCHE.- Non, Monsieur, je suis bien, je viens pour... DOM JUAN.- Non, je ne vous écoute point si vous n’êtes assis. M. DIMANCHE.- Monsieur, je fais ce que vous voulez. Je... DOM JUAN

Écoutant la mort de la ville, Écoutant le monde mourir en moi Et mourant cette agonie du monde. T.2 : « J’écris dans un pays dévasté par la peste » J’écris dans un pays dévasté par la peste Qui semble un cauchemar attardé de Goya Où les chiens n’ont d’espoir que la manne céleste Et des squelettes blancs cultivent le soya Un pays en tous sens parcouru d’escogriffes À coups de fouet chassant le bétail devant eux Un pays disputé par l’ongle et par la griffe Sous le ciel sans pitié des

: la poésie lyrique découvre son terrain propre, son essence. Madame Bovary : pour la première fois, un roman est prêt à assumer les plus hautes exigences de la poésie (lʼintention de «chercher par dessus-tout la beauté» ; lʼimportance de chaque mot particulier ; lʼintense mélodie du texte, lʼimpératif de lʼoriginalité sʼappliquant à chaque détail). À partir de 1857, lʼhistoire du roman sera celle du roman devenu poésie. LE ROMAN : CITATIONS PÊLE-MÊLE - Flaubert : «Madame Bovary cʼest moi»

vous moquez, et… Dom Juan Non, non, je sais ce que je vous dois, et je ne veux point qu’on mette de différence entre nous deux. M. Dimanche Monsieur… Dom Juan Allons, asseyez-vous. M. Dimanche Il n’est pas besoin, Monsieur, et je n’ai qu’un mot à vous dire. J’étais… Dom Juan Mettez-vous là, vous dis-je. M. Dimanche Non, Monsieur, je suis bien. Je viens pour… Dom Juan Non, je ne vous écoute point si vous n’êtes assis. M. Dimanche Monsieur, je fais ce que vous voulez. Je… Dom Juan

pour boire un verre quand un petit type minable entre et demande à qui appartient le pitbull qui est dehors. Le camionneur gueule : - C'est MON chien ! T'as un problème ? Le petit mec répond : - Non, il n'y a rien mais je crois que mon chien vient de tuer le vôtre... Le camionneur se lève d'un coup et dit : - QUOI ! Mais qu'avez-vous donc comme chien ? L'autre type répond : - Un caniche nain - Un caniche ! Hurle le camionneur, Putain comment un caniche peut-il tuer un pitbull ? - Eh bien

vous moquez, et.

DOM JUAN: Non, non, je sais ce que je vous dois, et je ne veux point qu'on mette de différence entre nous deux.

M. DIMANCHE: Monsieur.

DOM JUAN: Allons, asseyez-vous.

M. DIMANCHE: Il n'est pas besoin, Monsieur, et je n'ai qu'un mot à vous dire. J'étais.

DOM JUAN: Mettez-vous là, vous dis-je.

M. DIMANCHE: Non, Monsieur, je suis bien. Je viens pour...

DOM JUAN: Non, je ne vous écoute point si vous n'êtes assis.

M. DIMANCHE: Monsieur, je fais ce que vous voulez. Je...

DOM JUAN:

vous moquez, et. DOM JUAN: Non, non, je sais ce que je vous dois, et je ne veux point qu'on mette de différence entre nous deux. M. DIMANCHE: Monsieur. DOM JUAN: Allons, asseyez-vous. M. DIMANCHE: Il n'est pas besoin, Monsieur, et je n'ai qu'un mot à vous dire. J'étais. DOM JUAN: Mettez-vous là, vous dis-je. M. DIMANCHE: Non, Monsieur, je suis bien. Je viens pour... DOM JUAN: Non, je ne vous écoute point si vous n'êtes assis. M. DIMANCHE: Monsieur, je fais ce que vous voulez. Je... DOM JUAN:

moquez, et... DOM JUAN.- Non, non, je sais ce que je vous dois, et je ne veux point qu’on mette de différence entre nous deux. M. DIMANCHE.- Monsieur... DOM JUAN.- Allons, asseyez-vous. M. DIMANCHE.- Il n’est pas besoin, Monsieur, et je n’ai qu’un mot à vous dire. J’étais... DOM JUAN.- Mettez-vous là, vous dis-je. M. DIMANCHE.- Non, Monsieur, je suis bien, je viens pour... DOM JUAN.- Non, je ne vous écoute point si vous n’êtes assis. M. DIMANCHE.- Monsieur, je fais ce que vous voulez. Je... DOM JUAN