Le Multipartisme

lequel le pouvoir est détenu par le peuple (principe de la souveraineté), sans qu’il y ait de distinctions dues à la naissance, à la richesse et à la compétence (principe d’égalité). L’installation d’un système démocratique suppose le respect du multipartisme, l’organisation des élections libres, transparentes et périodiques, la possibilité d’une alternance, le respect des droits de l’opposition et des libertés individuelles etc. En d’autres termes, on peut dire que ces principes se résument en la

marxiste-léniniste et à accepter l’instauration d’une Conférence nationale, réunissant les représentants des différents mouvements politiques. Un gouvernement de transition, mis en place en 1990, ouvrit la voie au retour de la démocratie et du multipartisme. Le premier ministre, Nicéphore Soglo, battit Kérékou à l’élection présidentielle de mars 1991. Cependant, les ajustement structurels et la compression des dépenses publiques recommandées par le FMI ravivèrent le mécontentement de la population

partie du pouvoir au peuple et qui garantisse les droits et libertés de ce dernier. La Démocratie Populaire n’est qu’une dictature d’un parti unique (le parti communiste bien entendu) caractérisée par l’absence d’élections libres et régulières, de multipartisme et de contrôle populaire des dirigeants de l’Etat et de l’économie. Cependant l’ère Rákosi se termine avec la mort le 5 mars 1953 de Staline et l’arrivée au pouvoir de Nikita Khrouchtchev. • La rupture avec le stalinisme

sept ans. Le début de l'année 1990 est marqué par les premières vagues de contestation du gouvernement par les étudiants et les premières revendications démocratiques. Les tensions sociales s'exacerbent et conduisent à réclamer l'instauration du multipartisme. Une conférence nationale se déroule de juillet à novembre 1991 et dénonce le régime en place et le programme d'ajustement structurel. La démocratisation est désormais en marche. Le Niger contemporain Depuis son indépendance, le Niger a été marqué

musique et un concept, qui la caractérise. C’est la fin des rythmes tradi-modernes. Alors, le nouveau concept, presque révolutionnaire qui vient est : le ZOUGLOU. Son avènement est accompagné de grands bouleversements politique (apparition du multipartisme), social (changement des mentalités) et culturel (naissance d’une nouvelle forme de musique et de danse). Le Zouglou, tout comme le Ziguehi ou l’Agnangnan, rompt également avec les habitudes musicales ivoiriennes. Les artistes zouglou , loin d’être

sur une économie planifiée et qui tend à l’égalité des classes sociales. Ces deux grandes puissances opposent également quant à leur conception de la démocratie. En effet, pour les américains, la démocratie connote la liberté d'expression et le multipartisme. Pour les soviétiques, la démocratie consiste à vivre librement dans un pays communiste. Pour rallier les pays de l'Europe de l'ouest à leur cause, les américains utilisent par exemple le plan Marshall, évoqué précédemment. Dans un deuxième

suffrages qui tend vers le réalisme II- Influence des modes de scrutin sur la stabilité gvtale du pays A- modes de scrutins majoritaires ou la stabilité gvernementale favorisée B- représentation à la proportionnelle et le multipartisme assuré ATTENTION à mettre les TITRES dans la rédaction de la dissertation. Et souligner, expliciter le contenu des parties dans les titres. Ex : ne pas mettre « scrutin majoritaire » // « scrutin à la proportionnelle » MAIS : « scrutin majoritaire

parti pourtant associé au gouvernement. Il arrive même que des gouvernements démissionnent après avoir obtenu un vote de confiance. Mais il existe des causes plus profondes, politiques et non pas institutionnelles. On peut les trouver dans le multipartisme, dans l’hétérogénéité des « combinaisons » ministérielles, dans leur fragilité, dans la pluralité des majorités de rechange, elle-même liée à la traditionnelle politique de conjonction des centres. Il suffit de la défection de quelques voix, de

jusqu'en Hongrie où elles deviennent très importantes du 23 octobre au 8 novembre. Là aussi un nouveau gouvernement est formé avec à sa tête J.Nagy, un "communiste libéral". Il décide alors de proclamer l'indépendance de son pays et il promet le multipartisme. Cependant, l'URSS ne peut tolérer cela, et envoie l'Armée Rouge à Budapest. Malgré les critiques de la presse internationale, l'Armée Rouge intervient très violemment : le bilan est de plus de 20 000 morts. Nagy est remplacé par Kadar, un stalinien

Front démocratique social (FDS), parti d'opposition illégal. Au début des années 1990, la pression de l'opposition et de l'opinion publique amena le président Biya à une certaine libéralisation (abandon du régime du parti unique et instauration du multipartisme, amnistie des prisonniers politiques) et à accepter la tenue d'une conférence réunissant le gouvernement, l'opposition et la société civile, pour étudier une réforme constitutionnelle. Les élections législatives de 1992 furent néanmoins boycottées