Le Nationalisme En France En 1930

vie »[3]. Le sentiment d'identité nationale de la plupart des citoyens d'un même pays, d'une même nation, tend à se renforcer lorsque celle-ci est menacée, militairement (guerre) ou économiquement (crise). Si la menace extérieure se précise, comme en France en 1914, la « nation » est exaltée (et cette exaltation prend alors un sens de moins en moins basé sur des valeurs universelles, et de plus en plus ethnique et territorial)[4]. L’autre référent identitaire transmis par l’école est celui de la République

différentes comparaisons seront néanmoins faîtes avec les autres pays de l’Afrique du Nord parmi lesquels je compte l’Egypte. Après avoir montré la radicalité de la rupture introduite par la colonisation et, plus exactement, par l’intrication du nationalisme et de la revendication démocratique, je m’attacherai à décrire l’adéquation des schèmes institutionnels aux situations politiques. Certes, il est indéniable que le constitutionnalisme français est la matrice des constitutions de l’Afrique du Nord

religion(chrétienne) un génocide est un massacre programmé d'un peuple à cause de ses origines ethnique ou religieuses. 21fevrier 1916 pendant 300 jours avec 2 millions d'obus tirée en un jour,elle fit 515 000 de morts et 2000 blessés,attaque allemande de la France sur le front de l'ouest. Verdun et le symbole de la guerre totale:guerre de tranchées,guerre industrielle,mobilisation de l’arrière,très lourd perte. 1917 la révolution russe : coup d'état bolchevique organisé par Lénine et Trotski et chasse le

celle de Russie en 1907 a été réussie (modèles dans beaucoup de pays avec plus ou moins de succès). La puissance du mythe est fort illustré par Che Guevara en Bolivie 1966/1967, par l’économie de la révolution culturelle en Chine, ou Mai 1968 en France. Mais l'implosion de URSS et son système de mise a mal des idées est un système qui ne survit plus que dans de rares pays. Le 20ème siècle a été marqué par 2 conflits qui par leur ampleur ont marqué les consciences collectives. Les 2 guerres ont

oppositions à l’expansion coloniale au nom de considérations morales et économiques existent mais sont minoritaires. 3) Les colonies, expression de la puissance nationale. La fin du XIX° siècle et surtout le début du XX° siècle voient les nationalismes être exacerbés en Europe. Dans ce contexte, les colonies sont présentées comme source de puissance ; en 1882, Leroy-Beaulieu dit ainsi qu’il s’agit d’ « une question de vie ou de mort ». On assiste donc à une véritable course aux colonies. II)

du traité de Versailles, conclu en 1919 sous la contrainte après la chute de l’Empire Allemand et la défaite de la première guerre mondiale. Ce traité obligeait l’Allemagne à de nombreuses concessions, tout d’abord territoriales. Principalement, la France récupérait l’Alsace et la Loraine ; l’Allemagne abandonnait toutes ses colonies ; la Tchécoslovaquie et la Pologne devenaient indépendantes ; d’autres frontières étaient remaniées également. De plus, l’Allemagne était sanctionnée économiquement et

l’échec du putsch de Munich le 8 novembre 1923, cette césure profite à Hitler dans un changement de conception et la réalisation que le pouvoir ne se prendra que par la voie légale, il refonde son parti en 1925, ainsi nous aborderons les années 1925 – 1930 qui représentent réellement le moment de montée fulgurante du parti , jusqu’à l’année 1933, apogée de la prise de pouvoir, où Hitler devient chancelier en janvier, puis obtient les pleins pouvoirs en mars 1933. Hitler adhère en 1919 au parti ouvrier

7.5 millions de personnes n’ont plus de toit en Allemagne. c) Les problèmes de ravitaillement Le ravitaillement est complètement désorganisé, ses circuits sont détruits. Partout, le rationnement est imposé, jusqu’en 1948 en France. Le marché noir se déchaîne et l’inflation grimpe. Les inégalités sociales et la misère s’accentuent. II. Un traumatisme moral sans précédent A. Les séquelles de la brutalisation a) Définition La Seconde Guerre

point de vue de la France, qui espérait assurer sa sécurité en « mettant l’Allemagne à genoux ». Les sanctions envers l’Allemagne sont de trois types (transparent traité de Versailles) : - militaires : suppression du service militaire, armée limitée à 100 000 soldats sans chars ni aviation, démilitarisation des régions frontalières de la France, de la Belgique et des Pays-Bas. - territoriales : les colonies allemandes reviennent au RU, à l’Afrique du Sud et à la France ; l’Allemagne perd 15

février 1657 que la compagnie délivra ainsi ses premières autorisations à neuf (ex-)employés pour s’établir librement le long de la rivière Liesbeek. Ceux-ci allaient créer une classe de propriétaire hollandais de fermiers libres (vrijburgher ou « francs-bourgeois ») appelés simplement burghers. En 1706, les colons néerlandais expriment leur défiance pour la première fois envers le gouvernement colonial. Le jeune Hendrik Bibault refuse notamment publiquement d’obéir aux injonctions d’un juge argüant