Le Nu Au Xixème Siècle

De plus, la citation de Maurice Denis est une définition qui peut correspondre à d'autres démarches que celle des nabis. En effet, au début du XXème siècle la peinture renonce à l'impératif de la simulation figurative et exhibe ses moyens propres, on va vers la picturalité. Avec les fauves, premier mouvement d'avant-garde du XXème siècle, on retrouve les caractéristiques des nabis avec l'utilisation de couleurs saturés qui ne correspondent pas au modèle peint. Ils substituent l'expression par

indépendance et cette énergie quand l'abaissement des caractères et la conquête macédonienne livrent la Grèce aux étrangers. De même l'architecture gothique se développe avec l'établissement définitif du régime féodal dans la demi-renaissance du XIe siècle, au moment où la société, délivrée des Normands et des brigands, commence à s'asseoir; et on la voit disparaître au moment où ce régime militaire de petits barons indépendants avec l'ensemble des mœurs qui en dérivait se dissout vers la fin du XVe

bûcher que de finir sa vie avec des fers. Le bon sens de Jeanne « - Vous sentez-vous en grâce de Dieu ? - Si je n'y suis, Dieu m'y mette... Si j'y suis, Dieu m'y garde » « - Quel aspect avait saint Michel, quand il vous apparut ? (…) Etait-il nu ? - Pensez-vous que Dieu n'ait pas de quoi le vêtir ? - Avait-il des cheveux ? - Pourquoi les lui aurait-on coupés ? (…) - Avait-il une balance ? - Je n'en sais rien (…) J'ai grande joie quand je le vois… » Statue de Jeanne d'Arc, Place

Nana Friedensreich Hundertwasser (1928-2000) Le message d’Hundertwasser est profondément, viscéralement écologiste et essentiellement humaniste. L’artiste s'exprime, très tôt, par des performances remarquées, où il peint, nu, d’autres corps nus. Il écrit des manifestes écologiques, artistiques et architecturaux et s’exprime dans des réalisations multiformes: peintures, affiches, timbres, maisons, architectures.

qui se dégage quand une révolte approche, avec toute sa grandeur. Il y a également un sentiment fataliste qui s'en dégage, donnant une sensation électrique au poème. La révolte ( 1895 ) Vers une ville au loin d'émeute et de tocsin, Où luit le couteau nu des guillotines, En tout-à-coup de fou désir, s'en va mon cœur. Les sourds tambours de tant de jours De rage tue et de tempête, Battent la charge dans les têtes. Le cadran vieux d'un beffroi noir Darde son disque au fond du soir, Contre un ciel d'étoiles

ressorts de l’exercice : la réponse au sujet de dissertation s’enrichit bien du travail connexe qui aura été mené autour de l’œuvre inscrite au programme, notamment dans le cadre du parcours associé.] Objet d'étude : La poésie du XIXe siècle au XXIe siècle Sujet A Œuvre : Victor Hugo, Les Contemplations, livres I à IV Parcours : les mémoires d’une âme. Dans la préface des Contemplations, Victor Hugo décrit son recueil comme un miroir tendu aux lecteurs. En quoi cette image rend-elle compte

envisagé dans une fonction purement représentative de la réalité. o Le théâtre peut nous apprendre des choses sur une époque, une société, ses moeurs (ex Molière sur la bourgeoisie du dix-septième siècle, Racine sur les valeurs de son siècle, Zola dans une pièce naturaliste, un auteur du vingtième siècle dans une pièce sur un problème d'actualité) o On prend plaisir à croire à l'histoire, on entre plus facilement dedans, on a tout de même des situations, des personnages "possibles" qui suscitent l'attachement

Le poète a en effet été violemment traumatisé par les événements de 1848 auxquels il prit une part active. Il qualifia cet engagement soudain pour la république d’ « ivresse », de « fureur », et de « plaisir naturel de la démolition » (Mon cœur mis à nu). Cependant cette passion ne fut que passagère. Le coup d’Etat du deux décembre 1851 le traumatise plus brusquement encore que l’insurrection populaire de 1848. Il entraîne en effet chez lui une révision radicale de ses positions et de ses enthousiasmes

prouver l’innocence de ce dernier et ainsi démanteler la machination politique et judiciaire autour de cette affaire qui fut l’une des plus emblématiques de cette époque. Zola, réputé comme le chef de file du naturalisme, mouvement important du XIXème siècle comptant notamment Maupassant, Jules Vallès ou encore Alphonse Daudet, qui considère la nature de l’homme comme seule responsable de ses actes, ce qui va à l’encontre des anciens principes qui tenaient comptent de la raison, de l’imagination et

cernés, nous présenterons notre vision de la pièce et la manière dont nous l’exposerions scénographiquement. Précisons déjà qu’il s’agit d’une œuvre réalisée en plein cœur du Siècle d’Or. Nous y retrouvons d’ailleurs des traits caractéristiques de l’idéologie qui règne à l’époque, entre de XVI et le XVIIème siècle, à savoir la nature aristocratique et religieuse qui privilégie l’honneur, le service du roi et la référence constante au divin[1]. 2. Terminologie Nous nous intéresserons donc