Le Nucléaire Iranien

et Russie, puissances émergentes concurrentes / Corée du Nord = cyberpuissance (soupçon d’avoir diffusé wannacry dans le but de se procurer des ressources pour financer son programme d’armement nucléaire) / EU également auteur de cyberattaques (stuxnet en 2013 pour détruire programme nucléaire iranien) et espionnage généralisé (affaire Snowden en 2013). III) Le cyberespace : les difficultés de la cybersécurité et de la cyberdéfense a) Les défaillances et les insuffisances de la cybersécurité

destructions massives ne se trouvent sur le territoire iraquien. Seules ont été collectées quelques centaines de munitions abandonnées et inutilisables datant de la guerre d'Irak. Image divulguée par les Etats-Unis comme preuve de la présence d'armes nucléaires en Irak • De plus, on note une volonté des Etats-Unis d'instaurer une démocratie en Irak par l'arrestation de Saddam Hussein. De plus, de nombreux enjeux ont été relatés lors de discours de représentants, ceux ci ayant été relayés par la

l’essence même de vie de l’humanité, au même titre que l’eau et l’air. Le nucléaire, qui fournit près d’un sixième de l’énergie de la planète, se place en tête des énergies du futur. Depuis la seconde guerre mondiale, l’interdépendance énergétique est devenue un sujet prioritaire dans la plupart des pays du globe. Cela étant évidemment renforcé, de nos jours, par l’explosion des tarifs du marché pétrolier. En matière d’énergie nucléaire, la France fait figure de précurseur et ceci depuis la mise en place

des candidats : LA SECURITE Barack Obama : « Le plus grand danger auquel sont confrontés les américains, c’est la menace d’un attentat terroriste mené avec une arme nucléaire, ainsi que la prolifération d’armes atomiques . » Les priorités d’Obama sont donc de s’occuper des menaces terroristes et diminuer l’armement nucléaire. John Mac Cain : « Dans un monde dangereux, la protection de la sécurité de l’Amérique nécessite une armée forte . » Mc Cain se place pour le port d’armes de la part des

liées à l’antagonisme de deux modèles qui se veulent universels (« paix impossible ») mais elles ne dégénèrent pas en un affrontement militaire directe en raison de la puissance de feu des deux principaux acteurs (notamment la possession de l’arme nucléaire : 1945 pour les EU ; 1949 pour l’URSS). La guerre est « improbable ». 2° point important : il faut connaître les différentes phases de la GF pour organiser son devoir 1947/1953 : bras de fer 1953/1962 : coexistence pacifique 1962 milieu des

pourrait aboutir à un plan en trois parties. I. Les civils sont des cibles pour les nouveaux belligérants – Cas d’épuration ethnique ou de génocide : Sarajevo, Rwanda... – Terrorisme de masse : le 11 septembre 2001. – Le danger de prolifération nucléaire. II. Les forces militaires classiques sont rarement opérantes face à des adversaires insaisissables – La guerre du Golfe, une exception ? – Les difficultés des forces multinationales : en Bosnie, en Afghanistan, etc. – L’hyperpuissance enlisée :

d’alliance et se termine en 1991 année de l’éclatement de l’URSS. Raymond Aron: ‘‘paix impossible, guerre improbable’’. Ronald Reagan: ‘‘jai gagné la guerre froide’’. On assiste à une modification des rapports de force avec la dissuasion nucléaire. Certains espaces représentent des enjeux stratégiques, Berlin, Cuba, Corée, Angola, Nicaragua La fin de la guerre froide est une victoire du libéralisme par la mondialisation. Mars 1946, discours de Churchill à Furlton sur le rideau de fer

concerne particulièrement le nucléaire notamment sous l’impulsion de l’AIEA (on peut citer en exemple les nombreuses polémiques nées de l’obtention de l’arme atomique par l’Iran). En ce qui concerne cette question du nucléaire, de nombreux acteurs non institutionnels jouent aussi un rôle important. Dans la formation d’un nouvel ordre international post-guerre froide, de nombreux acteurs non institutionnels jouissent d’un rôle non négligeable : pour reprendre l’exemple du nucléaire, de nombreuses ONG comme

détermination des cours, retirant ainsi du pouvoir à l'OPEP. L'Iran a établi un contre-pouvoir à ces marchés en ouvrant, en février 2008, sa Bourse internationale iranienne du pétrole, où s'échangent dans un premier temps des dérivés du pétrole. Ces transactions ne s'effectuent plus en dollars mais en diverses autres monnaies (le rial iranien principalement). Jusqu'à la Guerre du Golfe de 1990-1991, le président irakien Saddam Hussein demandait à l'OPEP d'augmenter les cours du pétrole afin d'aider

la ville de Berlin entre 1947 et 1989 est emblématique de la confrontation Est-Ouest. Mais un conflit direct est également « improbable » car les États-Unis et l'URSS se sont lancés dans une course effrénée à l'armement et se sont dotés de l'arme nucléaire qui a déjà montré son potentiel destructeur à Hiroshima et Nagasaki.  L'attitude des deux superpuissances lors de la crise des missiles de Cuba en 1962 est caractéristique de leurs relations : ils sont tentés par la confrontation directe, mais sont