Le Nucléaire Iranien

au plus bas. Pour retourner la situation en son avantage, le dictateur irakien finira par s’embarquer dans une aventure bien trop risquée : il envahit le petit émirat du Koweït (voulant rétablir la situation financière du pays). Quant au régime iranien lui, est ressortit largement renforcer de la guerre. Non seulement il y a gagné une légitimé aux yeux de sa propre population mais auprès de régimes et de groupes politico-militaires favorables à ses thèse. Ce fut une guerre sans vainqueur et sans

Irak poussé par les Russe, car conflit en Afghanistan pour les Russes. Armement fourni par les Russes + Français. Guerre qui a duré 10 ans : + d’1 million de morts. La présomption de culpabilité du régime irakien. 90 : Attaque de la centrale nucléaire Irakienne. + Réunion des chefs d’Etats arabes : Hussein veut être remboursé par les Etats arabes pour retrouver un équilibre monétaire. Koweït envahi par l’Irak : britanniques qui avait partagé le Koweït de l’Irak à la fin de la décolonisation

Présentation La guerre Iran contre l’Irak se déroule durant la Guerre Froide du 17 Septembre 1980 à Août 1988. On appelle aussi cette guerre la Guerre du Golfe Persique. Les belligérants sont l’Irak, l’Organisation des moudjahidines du peuple iranien, les Volontaires de la Ligue Arabe, d’un côté, et de l’autre, l’Iran, l’Union patriotique du Kurdistan, le Parti démocratique du Kurdistan, le Mouvement islamique du Kurdistan et le Conseil suprême islamique irakien. Cette guerre est motivée par

semble-t-il 2008, contient dans son programme l'exploitation d’au moins 4 failles informatiques de Windows et des systèmes SCADA. Les systèmes Scada sont les logiciels de contrôle des procédés industriels dans les domaines de l'eau, du gaz et du nucléaire. JAMAIS, jusqu’alors, les sociétés de protection n’ont vu de virus aussi impressionnant par sa technicité et son efficacité. Ce virus se propage très vite dans les systèmes infectés. Tout d’abord, sa nuisance principale : au-delà de récupérer des

militaires françaises.1 La Révolution islamique et la guerre entre la République islamique d'Iran et l'Irak qui a suivi ont cependant mis un terme aux coopérations militaires avec la France. De plus les mesures restrictives décidées à l'encontre de l’État iranien, telles que la décision 2010/413/PESC du Conseil européen, ont restreint toutes perspectives de partenariat militaire. L’Iran continue cependant de développer ses relations, principalement avec les États voisins, tels que le Turkménistan avec lequel

Les accords de paix entre Israël et la Palestine sont au point mort. Depuis 2003, en Irak, l’intervention américano-britannique alimente les antagonismes intercommunautaires, au profit du voisin iranien. Ce dernier souhaite, en outre, devenir la puissance régionale dominante en développant le nucléaire militaire et/ou en jouant sur l’antiaméricanisme et l’islamisme. Saisir la complexité des tensions proche-orientales nous amène nécessairement à présenter successivement le conflit israélo-palestinien

(2007) : 1,5 Mds€. L’Iran est le 42ème client de la France et son 3ème débouché au Moyen-orient. Importations françaises d’Iran (2007) : 2,4 Mds€. Situation économique. 3. 1. Une économie plus que jamais dépendante des hydrocarbures. L’économie iranienne est très fortement dépendante des hydrocarbures, qui représentent 27% du PIB, 60% des recettes publiques et près de 90% des exportations. Dans ce contexte, l’activité économique est encore soutenue et les comptes extérieurs sont largement excédentaires

1) Présentation La guerre Iran contre l’Irak se déroule durant la Guerre Froide du 17 Septembre 1980 à Août 1988. On appelle aussi cette guerre la Guerre du Golfe Persique. Les belligérants sont l’Irak, l’Organisation des moudjahidines du peuple iranien, les Volontaires de la Ligue Arabe, d’un côté, et de l’autre, l’Iran, l’Union patriotique du Kurdistan, le Parti démocratique du Kurdistan, le Mouvement islamique du Kurdistan et le Conseil suprême islamique irakien. Cette guerre est motivée par plusieurs

France, Grande-Bretagne et d’Allemagne doivent s’envoler pour Téhéran. L’idée de ce ballet diplomatique ? Tenter de persuader les mollahs iraniens de renoncer à la recherche ou fabrication d’armes nucléaires. En l’espace de dix mois, ce sera le second voyage de la sorte visant à « sauver la paix future du Moyen Orient ». Mais comme le faisait remarquer l’expert iranien Amir Tahiri, le problème avec ce genre de déclaration, c’est qu’elle n’a rien de neuf. Il y a vingt cinq ans, Hans-Dietrich Genscher,

graves pouvant peut-être mener à une Troisième Guerre mondiale. Une solution définitive est-elle possible dans le dossier nucléaire iranien? Pour le moment, pas vraiment. Selon un rapport d’experts, l’Iran pourrait produire suffisamment d’uranium de qualité militaire pour la confection d’une ou plusieurs bombe(s) d’ici la mi-2014 (HAGE-ALI, 2013). L’appétit nucléaire de l’Iran semble toujours et encore présent, et ce aux dépens des nombreux avertissements de la communauté internationale. Malgré