Le Pacifisme

l’œuvre : chansons pacifique, antimilitariste, hymne à la paix, à la liberté, au pacifisme. -Titre : Le Déserteur. -Auteur : Boris VIAN (1920-1959) -Date : En 1954 après la guerre d’Indochine et le début de la guerre d’Algérie -Autre infos utile : elle est écrite sur une musique d’Harold BERG et c’est le symbole de la liberté d’expression, c’est une chanson engagée. -Genre : Hymne à la Paix, à la liberté et au pacifisme. -Contexte historique : en France sur la IVème république après l’élection

guitare et une contrebasse (instrumentation). Voix : Georges Brassens voix baryton. Genre : Chanson française. Le tempo de l’œuvre est rapide. Le caractère de l’œuvre est joyeux, dynamique. Georges Brassens a voulu exprimer son combat pour le pacifisme. La guerre de 14-18 est remarquablement constituée autour d’un éloge de la guerre, qui est tellement exagéré qu’on ne peut que le prendre au second degré. En faisant l’inventaire des plus grandes guerres, en mettant en avant leurs pires horreurs

démissionne. Clémenceau devient président du conseil le 16 novembre 1917. Les socialistes poussent au pacifisme Les catholiques, à droite, veulent continuer la guerre. Les désobéissances A l’arrière, nombreuses grèves => sentiment d’infinité de la guerre. Lassitude des populations car hausse des prix que les salaires ne suivent plus. Culture de guerre française en 1917 : forte montée du pacifisme. Sur le front, mutineries (ruptures de contrat tacite entre commandement et ses soldats car : Nourriture

de l’œuvre La Guerre d’Otto DIX est une œuvre que l’on peut qualifier d’engagée, c’est en quelque sorte un acte politique par lequel l’artiste énonce très clairement son dégoût de la guerre et le pacifisme qui en est la conséquence. Mais son intention ne se limite pas à cette « déclaration de pacifisme » car il souhaite également nous convaincre, nous spectateurs, de l’horreur et de la bêtise de la guerre. C’est certainement pour cela qu’il se représente en sauveur : il est celui qui nous met en

sérieux et crée une relation plus intime aussi entre lui et Lola que le sobriquet « Bardamu » donné pour un camarade. Nous en arrivons à un passage de l’œuvre où les deux personnages se découvrent enfin tels qu’ils sont réellement : la lâcheté et le pacifisme de Ferdinand, la bêtise profonde de Lola. La surprise de cette découverte se ressent surtout dans le discours de Lola grâce aux phrases exclamatives et l’interjection « Oh ! » ( –> surprise, horreur, dégoût, indignation) comme à ligne 1, et la conjonction

l'apologie des criminels de guerre nazi en Europe alors c'est un crime. [ Les points importants du Japon sont, l'alliance nippo-américaine, la stratégies économiques d'Abe Shinzô et le pacifisme absolu. ] D'un autre côté, les intérêts du Japon sont l'alliance nippo-américaine, les 3 flèches des abenomix et le pacifisme absolu du Premier Ministre Abe Shinzô. Jin Kai critique avec sévérité en disant par la visite à Yasukuni, Abe Shinzô s'est attiré la disgrâce des USA et il dit que cela perturbe toute

montrant un de ses personnages arborant la croix de fer des anciens combattants, Otto Dix dénonce également le nationalisme de certains anciens combattants qui, au lieu de tirer des leçons de la guerre, ressassent des rancœurs et refusent ainsi le pacifisme. Cette scène se passe en 1920 après la première guerre mondiale. Mais pourquoi Otto Dix a-t-il voulut faire ce tableau en utilisant ces couleurs et ces images extrêmement choquantes et caricaturales. On décrira l’œuvre dans tous ses détails (composition

la modernisation comme négative, tant pour les humains que pour l'environnement. Ces critiques peuvent s'appuyer sur des vertus ou des valeurs de domaines aussi variés que la tradition, la religion, la spiritualité, l'écologisme, l'esthétique, le pacifisme et l'agriculture. Les problèmes écologiques sont une motivation importante des critiques du développement. Nombre de celles-ci sont arrivés à leurs conclusions après avoir reconnu la société moderne comme une menace pour l'environnement. Le

l'organisation du conflit. La situation: isolement de la France; fragilité du gouvernement; présence d'une extrême-gauche puissante (la garde nationale, le Comité central). Le rôle de Gambetta; l'échec de la République à continuer la guerre. Montée du pacifisme, sauf à Paris. B) La fin de la guerre. L'armistice. Les élections du 8 février 1871: une Assemblée royaliste élue sur une équivoque. Thiers chef du pouvoir exécutif; les raisons du choix de l'Assemblée, le jeu de Thiers. Les négociations et le traité

Conclusion : La Guerre d’Otto DIX est une œuvre que l’on peut qualifier d’engagée, c’est en quelque sorte un acte politique par lequel l’artiste énonce très clairement son dégoût de la guerre et le pacifisme qui en est la conséquence. Mais son intention ne se limite pas à cette « déclaration de pacifisme » car il souhaite également nous convaincre, nous spectateurs, de l’horreur et de la bêtise de la guerre. C’est certainement pour cela qu’il se représente en sauveur : il est celui qui nous met