Le Paradis des riches

quartiers de bidonville ou les maisons sont faites en tôle. Il peut « abriter » énormément de personnes (jusqu’à 500 000 pers). P-161 Photo Sao Polo → ville la plus peuplé du Brésil. Les quartiers de bidonvilles sont justes à coté des banlieues riches. Un grand mur les sépare. Les quartiers riche se protège : mur, caméra, garde... Ce type de quartiers « riche » s’appelle « gated communities ». Dans les pays dit développer, on peut aussi trouver ce genre de quartiers avec un mur (New York → Ile

Français vivent dans les RUP contre 800,000 dans les PTOM) ont reçu entre 2008 et 2013 près de 8 milliards d’€ ces PTOM n’en ont reçu que 300 millions. L’essentiel des aides viennent directement des États membres. Bien souvent ces territoires sont des paradis fiscaux (C’est le cas de tous les PTOM néerlandais et britanniques comme les Bermudes ou Saint-Martin). Ces politiques d’aide peuvent apporter une impulsion décisive pour le développement économique : c’est le cas de l’Archipel des Canaries (2 millions

sentiments face à un interlocuteur direct,c‘est leur délivrance ,la délivrance d‘un poids trop lourd a porter. Dans "les Contemplations", Victor Hugo écrit pour se soulager de la mort de sa fille Léopoldine qui a prématurément prit un allez simple pour le paradis. Sachez aussi que le poète a le pouvoir de plaider une cause en profitant de sa notoriété pour faire passer un évènement qu’il souhaiterait dénoncer .C'est ce que l'on appelle la poésie engagée. Elle a pour but de convaincre les hommes d'adhérer

autant y être enchaîné Cette mesure est affaire de volonté et de libre arbitre qui rendent l’homme responsable de ses actes. ANALYSE UN PRÉCIEUX DÉCOR A la fin du Moyen Age, les tapisseries sont des éléments importants dans la décoration des riches demeures. Elles sont utiles pour isoler les murs. Elles participent aussi de la manière dont un propriétaire peut faire étalage de sa fortune. Leur confection est en effet fort coûteuse et nécessite l’intervention de plusieurs maîtres : le peintre

distillation : Le « brouillis » est mis en chaudière pour un 2nd distillation que l'on appelle « la bonne chauffe ». Le distillateur doit alors procéder à une opération délicate appelée « la coupe » : les premières fractions qui s'écoulent sont très riches en alcool, appelées les « têtes » (représentent 1 a 2% du volume. Ensuite le « cœur », eau-de-vie claire et limpide qui donnera le Cognac. Puis le distillateur élimines les « secondes », quand l'alcoomètre indique 60% vol. et enfin les « queues

quitté leur paradis terrestre par curiosité. Ils ont commis ainsi une sorte de faute originelle car cela risque de troubler leur vie tranquille et de les mener à leur perte (les 5 premières lignes). On a ainsi une référence au mythe du bon sauvage. Ce mythe contient une critique de la civilisation au nom d’une nature qui aurait été oubliée, corrompue ou détruite. En fait, il doit rappeler au civilisé la norme de la nature. Il renvoie à la condition originelle de l’homme = le paradis édénique ainsi

point les membres du clergé sont corrompus : «Ces dervis font trois vœux : d’obéissance de pauvreté et de chasteté. On dit que le premier est le mieux observé de tous. (…) Le second ne l’est point (…) je te laisse juger du troisième. Mais quelque riches que soient ces dervis, ils ne quittent jamais la qualité de pauvres (…). Ils ont raison : car ce titre de pauvre les empêche de l’être ». Rica nous prouve que le Pape l’est également quand il dit: « Il se dit successeur d’un des premiers Chrétiens

de la miséricorde de Dieu. 10) L’homme est préoccupé par sa survie. Il projette son espérance de vie meilleure dans l’au-delà. Le paradis. Au-delà L’enfer. 11) La religion est l’opium du peuple. Par son discours, il endort la révolte des ouvriers. Mais l’église n’est pas que du côté des riches, il est aussi avec les pauvres. 12) La société a du temps libre. L’homme veut du bonheur ici et maintenant. Si Dieu existe, alors, qu’il me rende heureux ici

d’une vie harmonieuse. En proposant une vision idyllique, utopique, du primitif naïf, bon, vivant en osmose parfaite avec la nature qui le fait vivre, le XVIIIè siècle exprime son désir d’un bonheur simple. On peut y voir un regret d’une forme de paradis perdu. D’ailleurs, il convient de souligner que même Rousseau, dans la préface de son discours sur l’origine des inégalités, présente l’homme à l’état de pure nature comme étant un idéal et non une réalité : " ...un état qui n’existe plus, qui n’a

un simple roman en un éveil sur le monde qui nous entoure. De plus, les personnages (comme Madické, le propriétaire de la télévision, le vieux pêcheur, M. Ndétare l’instituteur, la grand-mère de Salie, le marabout, Sankèle …), sont originaux, riches et variés, ils ont chacun leurs traits de personnalité et se différent les uns des autres, certains sont intriguants, d’autres attachants, certains inspirent une certaine sympathie et d’autres un certain mépris. Pour ma part, j’ai eu beaucoup d’estime