Le Parfum de la dame en noir

porcs, avec Marie la serveuse et la célèbre Félicie. Thérèse ne la contredit pas : « Ce serait donc là qu’il y avait une salle toute rouge. Avec des boiseries, une lampe en cuivre ? ». Charles a raconté qu’ils avaient bu pour 20 F. Perrimond, un gros noir qui avait l’entreprise des chevaux de renfort a empêché Charles de taper sur sa sœur (71) en lui expliquant qu’il était arrivé 48h trop tard. Selon Charles, il s’est contenté de donner une gifle à Thérèse et de secouer un peu Firmin avant de les mettre

porcs, avec Marie la serveuse et la célèbre Félicie. Thérèse ne la contredit pas : « Ce serait donc là qu’il y avait une salle toute rouge. Avec des boiseries, une lampe en cuivre ? ». Charles a raconté qu’ils avaient bu pour 20 F. Perrimond, un gros noir qui avait l’entreprise des chevaux de renfort a empêché Charles de taper sur sa sœur (71) en lui expliquant qu’il était arrivé 48h trop tard. Selon Charles, il s’est contenté de donner une gifle à Thérèse et de secouer un peu Firmin avant de les mettre

élancée («Longue, mince») ; puis apparaît une couleur («en grand deuil», le grand deuil étant complètement noir par rapport au demi-deuil, l’expression connotant cependant aussi l’idée d’un vêtement somptueux) ; enfin se manifeste l’allure aristocratique («douleur majestueuse»), l’insistance «deuil-douleur» étant appuyée par l’allitération. Cette forme élégante est véritablement érotisée par le noir du deuil. Cette figure féminine est rendue plus impressionnante encore par le pathétique d’une situation

dans une église de Pise. La fresque raconte la vie d'un saint (a droite, encore moine). Le diable se déguise en une belle femme apeurée qui demande à s'abriter dans la grotte du moine. Mais en l'accueillant le moine se rend compte qu'elle a des pates noires, celle du diable, et son regard montre qu'elle prépare quelque chose. Il va la chasser, et voir que c'est Satan. Au dessus d'elle un petit diable se tient triste que le stratagème est échoué. C'est un exemple comme on en trouve beaucoup sur les représentations

tirées au cordeau. Seulement, je vais mettre sur le papier tout ce qui me viendra à la tête, mes idées avec mes souvenirs, mes impressions, mes rêves, mes caprices, tout ce qui passe dans la pensée et dans l'âme, - du rire et des pleurs, du blanc et du noir, des sanglots partis d'abord du coeur et étalés comme de la pâte dans des périodes sonores, - et des larmes délayées dans des métaphores romantiques. Il me pèse cependant à penser que je vais écraser le bec à un paquet de plumes, que je vais user une

fraîcheur. Par-dessus les murs des jardins, on aperçoit les orangers et les citronniers pleins de fruits d'or. Des dames vont à pas lents sur le sable de l'avenue, suivies d'enfants qui roulent des cerceaux, ou causant avec des messieurs. Une jeune dame vient de sortir de sa petite et coquette maison dont la porte est sur la Croisette. Elle s'arrête un instant à regarder les promeneurs, sourit et gagne, dans une allure accablée, un banc vide en face de la mer. Fatiguée d'avoir fait vingt pas, elle

Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme: Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Octobre 1870. TEXTE 3 : Victor Hugo, Les Châtiments, Livre II, 3, SOUVENIR DE LA NUIT DU 4 L’enfant avait reçu

soleils marins, la houle, les cieux par la conscience du poète qui se déploie comme l’océan « l’azur ».« Les esclaves nus tout imprégnés d’odeur » : poète qui a accordé une place singulière au sens de l’odorat : parfums associés à l’évocation du souvenir : évocation d’une vision intérieure : le parfum est toujours une manifestation de la conscience qui s’évade de l’instant présent.Distique final : se détachent de l’ensemble par l’évocation d’une souffrance intime qui vient rompre l’harmonie, toute la question

poème « le flacon » met aussi le lyrisme en crise, il y a un renversement violent qui déconcerte tout ce qui pourrait renvoyer au caractère séduisant du parfum et du souvenir idéal se transforme en poison et en agression, « Qui dégagent leur aile et prennent leur essor, Teintés d’azur, glacés de rose, lamés d’or. » cette réflexion autour du parfum deviendra « Quand on m’aura jeté, vieux flacon désolé, Décrépit, poudreux, sale, abject, visqueux, fêlé, Je serai ton cercueil, aimable pestilence !

anthropogéniques (production d'essence, émanation de solvant) et aussi par la végétation. On les retrouve dans l'air ambiant domestique, et ils sont la cause de nombreuses maladies respiratoires et de peau. Carburant, peinture, colle, solvant, insecticide, parfum d'intérieur, produits de nettoyages, sont des COV fortement cancérigènes, sources de difficultés respiratoires et de problèmes de reproduction. Plus de 100 000 substances chimiques font partie de notre quotidien, elles contribuent à la formation