Le Personnage D Agnès

écrit en 1745, justifie l’ambition de l’écrivain d’ »examiner les hommes » avec lucidité ; le deuxième, « Les Gommes » de Robbe-Grillet, écrit en 1953, décrit un scène familière à son personnage qu’il exécute machinalement ; le troisième, « L’immortalité » de Kundera, paru en 1990, raconte l’histoire d’Agnès, un personnage fictif surgi d’une rencontre entre le narrateur et une dame sexagénaire ; enfin, le quatrième extrait « Les Ames grises » de Claudel, paru en 2003, raconte l’histoire d’un homme vu

acariâtre et cupide, Cathau, soubrette maligne et rusée, et Valère, le jeune premier timide et maladroit. Commentaire La pièce paraît tirée d’un conte de Boccace, “Le jaloux corrigé”. Les personnages, comme dans toute farce, sont stéréotypés, sont des pantins fabriqués. On retrouve là  les personnages classiques de la «commedia dell’arte» (Le Docteur, Pantalon, etc.). Le Barbouillé est avare, grondeur, jaloux et cocu. Angélique est légère, cruelle et rusée. Seul le Docteur n’est pas odieux parce

Les personnages : Agnès. : Pupille d’Arnolphe. Il faut étudier le personnage d’Agnès dans son évolution. Evolution remarquable et rapide de la jeune  gourde à la femme émancipée. Explicable certes par sa naissance qui l’a dotée d’intelligence, par son absence d’éducation qui a maintenu jusque là son intelligence en sommeil. Elle est naïve, puis elle découvre l’amour, le droit d’aimer et d’exister, le plaisir et la liberté de s’affirmer. Néanmoins cette évolution est difficilement vraisemblable en

tous l'infidélité des femmes, projet d'épouser sa pupille,Agnès qui a été élevé au couvent. Agnès qui n'est au courant de rien et donc qui apprend qu elle va être marie a un certain M de la souche (Arnolphe) si résigne mais est tombé amoureuse d’Horace le fils d'un ami d'Arnolphe. Horace en apprennent la nouvelle par trouvé Arnolphe pour qu'il garde Agnès le temps de faire annuler le mariage. Arnolphe accepte de suite et apprend a Agnès comment devenir sa femme mais oublie une leçon importante : 

une place, dans la maison d’Arnolphe que se déroule l’histoire. La dernière de ces règles est là l’unité d’action, qui a pour but d’avoir qu’une seule intrigue principale. Dans ce livre, l’intrigue est de savoir si Arnolphe se mariera ou pas avec Agnès ? Ensuite, la vraisemblance et la bienséance sont des caractéristiques de ces deux tragédies. La vraisemblance a pour but de rendre l’histoire réelle. La bienséance, elle a pour but de plaire au spectateur. Elle ne doit pas choquer. Certaines scènes

http://des-cours-divers.jimdo.com/ Phédre de J.Racine 1-Définition du théâtre et de la la tragédie Théâtre (du grec théomai,regarder)est avant tout un spectacle, les acteurs jouent devant le public en incarnant les personnages d’une pièce.les premiers représentations furent au 17eme siècle lors de l’essor flagrant qu’a connu les créations théatrales.en vérité, au 17e.siécle presque tous les genres sont représentés :theatre,fables,contes oraisons funèbres…Le théâtre était

Naissance d’un roman Je m’appelle Milena Agus, je suis née à Gênes en 1959, j’habite en Sardaigne à Cagliari dans la maison de ma grand-mère. Je suis divorcée, j’ai un fils. Je vis en compagnie de mes personnages, je préfère mon imaginaire au réel. Après le succès de mon premier roman “Mal de pierre”, j’ai ressenti un trouble profond. C'était aussi soudain qu’inespéré, à plus de cinquante ans ! Je me sentais si peu écrivaine, et voilà que je devenais un auteur ! Déstabilisée, harcelée par

d'aventures, historiques et surtout d'amour. Ces livres sont un moyen pour elle de voyager, de s'évader et de lutter contre la monotonie. Là encore, c'est la lingère qui les lui fournit. Elle s'identifie à des personnages comme Marie Stuart, Jeanne d'Arc, Agnès Sorel, Clèmence Isaure qui sont des personnages célèbres du 15ème et 16ème siècles. Elle devient naïve à cause de ses lectures car elle croit que la vie est un véritable conte de fées et que son prince charmant va venir la chercher sur un beau cheval

Feydeau. • La situation du quiproquo peut laisser au spectateur la liberté d'entrevoir une facette d'un ou plusieurs personnages. Ex : L'École des femmes - Acte II, scène 5 : Ce fameux passage du ruban => quiproquo entre Arnolphe faisant allusion au pucelage et Agnès à son ruban. Ainsi les registres employés sont le registre comique exprimé par le malentendu entre ces deux personnages et la naïveté d'Agnès, aussi le registre tragique où Arnolphe souffre seul face à ce drame. • Le quiproquo a aussi

Commentaire Littéraire L’École des Femmes – Molière (1662) Sujet : Détermination des différentes étapes de l’évolution d’Agnès qui passe de l’ingénuité la plus sotte à la détermination par la force de l’amour - ou quel discours sur l’amour le personnage permet-il à l’auteur de tenir ? L’École des Femmes paraît en 1662. C’est sous la plume de Molière, jeune inconnu à l’époque, qu’elle connaît un succès phénoménal –qui aura bien sûr des effets sur celui même de Poquelin-, dû au tôlé qu’elle provoque