Le Personnage De Gervaise

l'extrait décrit le portrait de Gervaise, personnage principal de l’œuvre, dont le mari Coupeau à subi un accident de travail ce qui aura des conséquences sur le caractère de l'héroïne. On se demandera ici en quoi cet extrait est représentatif du naturalisme, tout d'abord en présentant le portrait de Gervaise, suivi de celui des Lorilleux et pour finir en étudiant les niveaux de langue et l'énonciation. On étudiera en premier lieu le portrait du personnage principal, Gervaise. Tout d'abord sa dégradation

piège destiné à assommer renards, blaireaux et autres bêtes. L'assommoir a donc une valeur métaphorique. C'est un piège qui va se refermer sur Gervaise et la tuer. Dès son titre, le livre inscrit la mort au programme. L'assommoir est redoublé à la fin du chapitre par la présence de l'abattoir (qui forme, avec l'hôpital, les limites du quartier où Gervaise sent que son destin va s'inscrire). Le titre dit la violence qui est au cœur de cette société. Le piège utilisé pour tuer les animaux annonce le

Sommaire [masquer] 1 Présentation de l'œuvre 1.1 Résumé 1.2 Personnages 2 Commentaires 2.1 Préparation et origines 2.2 Explication du titre 2.3 Place de L'Assommoir dans les Rougon - Macquart 2.4 Thèmes principaux 2.5 Accueil du livre 3 Citations 4 Adaptations 5 Voir aussi 5.1 Liens externes 5.2 Bibliographie 5.3 Articles connexes 6 Notes et références Présentation de l'œuvre Résumé Gervaise Macquart, le personnage principal, une Provençale originaire de Plassans, boiteuse

l’auteur : Emile Zola Date de publication : 1877 Le genre : Roman naturaliste expérimental Le nom du personnage principale : Gervaise Macquart Son portrait morale (Gervaise) : Nous pouvons remarquer dans le livre que Gervaise est travailleuse, celle- ci à très bon cœur, Gervaise soutient moralement les différents personnages dans l’histoire, bonté envers les autres personnages ; Gervaise prend beaucoup de pitié envers son entourage, phrase d’exemple pouvant montrer sa gentillesse : elle veille

le regard parcourt le tableau dans le détail en suivant les liens entre les personnages et les voyages de la nourriture. Gervaise mange et regarde Goujet qui regarde Gervaise servir le père Bru. Les femmes mangent la carcasse, Virginie, la peau, Clémence, le croupion etc. La répartition de l’oie est redoublée par les liens entre les personnages dont elle est le prétexte. Comme devant un tableau, on regarde tel personnage en regarder un autre, tel autre servir le suivant qui rigole avec son voisin

d’une même famille dans différentes situations. Pour montrer l’effet réaliste voir naturaliste, il n’hésite pas à mettre en évidence les descriptions longues et chargées qui ne montrent pas des merveilles mais la vérité, c’est de même pour ses personnages. Ces derniers sont de tous les étages sociaux. Il cré donc un nouvel esprit, le naturalisme, qui montre la société comme elle est véritablement, et qui va amener de nombreuses personnes dans son sillage. Comme le dit Zola : « Notre héros n'est plus

Et comme par miracle, Gervaise parvient à se resituer par rapport à lui ou plutôt par son ombre alors qu’elle ne reconnaît pas son identité. Nous pouvons remarquer que cette apparition soudaine suscite un ton spectaculaire et mélodramatique. Les pas de Goujet se font entendre au moment même où Gervaise rêve de se coucher par terre. Ensuite, dans ce passage, Goujet semble faire figure d’ange salvateur. En effet, il vit entre 2 fantômes, celui de sa mère et celui de Gervaise dans sa décrépitude. La

refermer sur Gervaise et la tuer. Dès son titre, le livre inscrit la mort au programme. L'assommoir est redoublé à la fin du chapitre par la présence de l'abattoir (qui forme, avec l'hôpital, les limites du quartier où Gervaise sent que son destin va s'inscrire. Le titre dit la violence qui est au cœur de cette société. Le piège utilisé pour tuer les animaux (qui a donc à voir avec l'histoire naturelle) annonce le genre : un drame. L'alcool, appât du piège. _Le personnage central de Gervaise, anti-héroïne

roman, Zola avait voulu la création de l’arbre généalogique –dressé entre 1868 et 1869 – de ses personnages, dont les tares héréditaires l’héréditaires ont été inspirées des ouvrages scientifiques du Docteur Claude Bernard, à qui il aura emprunté différents termes jusqu’alors réservés à la médecine. Dans l’Assommoir, le septième roman des Rougon-Macquart, Zola dépeint l’existence du personnage de Gervaise, née en 1828 et conçue dans l’ivresse et la violence selon son portrait génétique ainsi que son

Coupeau reprend le travail. Il commence à boire pendant ses journées de boulot grâce à l'argent que Gervaise sa femme lui donne pour déjeuner. Lors d'une journée de travail, Coupeau a sa première ivresse sérieuse, mais gaie. Il est allé boire pour fêter le retour de Pied-de-Céleri dans son pays. Coupeau a sa première ivresse blanche à l'assommoir . Il rentre chez lui et devient violent envers Gervaise qui est malheureuse. L’alcoolisme devient régulier. Maintenant, l'alcool est toujours présent dans