Le Personnage De Gervaise

pouvoir vivre un minimum et il y finira sa carrière chez Hachette comme chef de publicité. En 1866 il décide de vivre de sa plume et en 1867 il paraît Thérèse Raquin ce roman fait scandale pour la noirceur de l’histoire et le caractère dévergondé des personnages. Ce roman jette surtout les préludes du mouvement naturaliste avec les sciences du comportement qui sont bien expliqués dans le roman. Après un roman très critiqués Emile Zola il publie en 1877 L’Assomoir qui est le septième roman du cycle des Rougon-Macquart

milieux sociaux, influence sur destin.Contemporains : Shakespeare, Corneille, Honoré d’Urfé, Scudéry, Montaigne…Assommoir - la visite du Louvre (3)INTRODUCTION « J’ai voulu étudier des tempéraments et non des caractères, j’ai choisi des personnages souverainement dominés par leur chair et leur sang. » C’est ainsi que Zola décrit son projet de présenter l’homme dans toute son animalité, projet réalisé à travers l’écriture des « Rougon-Macquart, histoire naturelle et sociale d’une famille sous

roman. Résumé : grandeur et décadence de Gervaise Macquart - Se passe vers 1850 - Personnage principal : Gervaise (blanchisseuse) - Autres personnages : Son 1er mari : Lantier Leurs fils : Etienne et Claude Son 2ème mari : Coupeau Leur fille : Nana Gouget (dit Gueule d’or) Son 1er mari (alcoolique) la quitte pour une autre. Puis elle rencontre Coupeau avec qui elle se marie et accouche de Nana. Ils font des économies car le rêve de Gervaise et d’avoir sa propre blanchisserie. Puis, Coupeau

compréhension de la situation lignes 16 à 31 : Gervaise seule regarde la chambre et la décrit. lignes 31 à 42 : Gervaise regarde à l'éxtérieur Enonciation : présentation du personnage dès le premier mot du texte "Gervaise" suivi de "Lantier" COD de "avait attendu" : déjà la relation entre les deux protagonistes est envisagée. Récit à la 3è personne. Les plus que parfait "avait attendu" puis "s'était assoupie" renforcent cette attente du personnage principal (action antérieure et aspect accompli

certains passages entre Lautier et Gervaise), et sans doute amorale aussi. Cela a pu être perçu comme une analogie : la bestialité des prolos (non seulement ils ont tous les défauts mais en plus, ils baisent de façon débridée). 3- Parmi ce qui peut être à ses yeux considérés comme des immondices : l'alcoolisme, la misère, la prostitution, la complète solitude (de Gervaise à la fin), la paresse, l'avarice, l'infidélité, l'inconstance (inconstance amoureuse de Gervaise, de Lautier... ; inconstance de

buffet », « la mauvaise nourriture qui lui vidait la peau » qui dresse un portrait pathétique de Gervaise, en train de mourir de faim. Antithèse entre des « provisions » et du « tout petit morceau de pain », qui souligne la misère de Gervaise. «  Misère (L.24) renforce l'idée de la famine. Champs lexical de la paresse : « sauver son lard », « paresse », « rester en tas, tourner ses pouces ». Gervaise semble privée de s’en sortir. Comparaison : « molle comme une chiffe à la besogne ». Hyperbole :

Plans : 1 : introduction ; 1Partie Un univers inconnue pour Gervaise . 2partie: Goujet protecteur et guide de Gervaise « effrayé ». 3Conclusion Introduction : Ce texte est un extrait du chapitre Vl de l’assommoir d’Emile Zola . 1877. L’assommoir, raconte la grandeur puis la décadence de Gervaise Macquart, blanchisseuse dans le quartier de la goute d’or à Paris . Dans cette extrait Gervaise est décrite comme étant une belle femme, marié (qui a deux enfants ). Elle

"in medias res" (en cours d'action). Point de vue : celui de Gervaise. Deux heures et cinq heures du matin. Paris. Argument (sujet) : elle attend Lantier, dans une chambre meublée, où dorment ses deux fils, Etienne (4 ans) et Claude (8 ans). La chambre est décrite, misérable (les reconnaissances du mont-de-piété) et encombrée. Autre personnage mentionné : Adèle la brunisseuse. description L'hôtel Boncoeur (où loge Gervaise) ; les rues qu'elle peut voir de la fenêtre (à cinq heures du matin)

crise, un drame qui se noue .Un épisode dramatique doublé d'une étude de moeurs. (Un ménage fragile).Texte à tonalité dramatique parfaitement organisé. Le texte présente d'abord le personnage principal puis le décor. Un décor en accord avec le personnage (Balzac); décor misérable pour un personnage misérable. Donc du personnage et de son désarroi au milieu et son dénuement. Plan 1 la misère morale 2 la misère matérielle 1 la misère morale a) Un malheur inscrit dans le temps b) la condition sociale

un roman naturaliste, Zola y applique une méthode strictement scientifique. 3- Le narrateur Le récit est à la troisième personne, le narrateur est donc externe. Il est également anonyme et omniscient, il connait toutes les pensées des personnages. 4- Le lieu Tout le récit se déroule à Paris « entre un abattoir et un hôpital » (Chapitre I, dernière ligne). * L'hôtel Boncoeur : Un trou sordide. Il est décrit uniquement dans le chapitre I : on le voit tout d'abord de l'extérieur