Le Personnage De Raymond Rambert

son existence, les financeurs. N u a) Donner l’image d’un lieu ouvert à tous Les Subsistances, une structure née de la volonté politique et astreinte à résultats. L’ouverture comme une nécessité La structure est née sous l’impulsion de Raymond Barre, maire de Lyon, en 1998. L’idée était audacieuse : ajouter à l’offre culturelle lyonnaise un lieu de création, sous le mode des friches d’artistes. La Mairie reste depuis le principal financeur de la structure. BUDGET DES SUBSISTANCES 2005

aller ! « Si on me le demande, je serai volontiers candidat », nous confie l’ancien maire de Mailhac (Aude). Présent en 2007 (0,34 % des voix), Schivardi y a pris goût. D’autant que les parodies de Nicolas Canteloup sur Europe 1 en ont fait un personnage populaire : «J’arrêtepasdesignerdesautographes en partie grâce à lui ! » Le congrès du petit Parti ouvrier indépendant tranchera en mai. Mais, d’ores etdéjà, Schivardi a prévu des meetings en mars. ERIC HACQUEMAND ET ROSALIE LUCAS (LP/MATTHIEU

notion de l'absurde ? Le premier sert de fondement à la seconde [54]. 1. Les trois termes dans l'absurde Retour à la table des matières Trois termes sont présents dans l'absurde. Ils constituent, dans le langage de Camus, « les trois personnages du drame » [55], « la singulière trinité » [56]. En premier lieu, il y a l'homme lui-même, qui tire sa grandeur de son intelligence éprise de clarté et d'unité. En second lieu, il y a le monde fermé, divisé, « déraisonnable » [57] « peuplé de ces

et la notion de l'absurde ? Le premier sert de fondement à la seconde 54 . 1. Les trois termes dans l'absurde Retour à la table des matières Trois termes sont présents dans l'absurde. Ils constituent, dans le langage de Camus, « les trois personnages du drame » 55 , « la singulière trinité » 56 . En premier lieu, il y a l'homme lui-même, qui tire sa grandeur de son intelligence éprise de clarté et d'unité. En second lieu, il y a le monde fermé, divisé, « déraisonnable » 57 « peuplé de ces irrationnels

infranchissable pour des âmes latines, les projets de réformes ont été innombrables. Il n’en est pas un seul cependant sur lequel on ait réussi à se mettre d’accord. C’est avec la même abondance de preuves, supposées irréfutables, que de très autorisés personnages ont soutenu les opinions les plus contradictoires. Pour les uns, tout est sauvé si l’on supprime l’enseignement du grec et du latin. Pour d’antres, tout serait parfait si l’on fortifiait au contraire l’enseignement de ces langues, du latin surtout

nostru, recunoaşte şi el că ambiţia romancierului de a atinge o plenitudine a cunoaşterii, de a deţine tainele destinelor, de a crea fiinţe vii, este – în imagine, desigur – o împlinire a promisiunii Seducătorului biblic (cf. Le Romancier et ses personnages, Paris, 1952, p. 117). Aceasta, bineînţeles, dacă într-adevăr romanul n-ar putea atinge finalitatea secretă: aceea de a se identifica cu o carte a destinelor, dispunând de viaţa oamenilor. Romanul dispune însă numai de viaţa unor fiinţe fictive