Le Personnage Flaubertien

texte d’Aragon (texte D). Facilités du sujet : la variété des choix narratifs met en valeur l’expressivité du narrateur, et l’évolution de ses sentiments est à la fois claire et nuancée : ce qui permet de nuancer aussi le commentaire. De plus, le personnage de Blanche évolue clairement entre passé et présent, et l’interprétation du texte ne doit donc pas poser trop de problèmes. Pièges à éviter : il est nécessaire ici de citer le texte très précisément, pour en préserver toutes les nuances : attention

(qualifiant ses publications antérieures de « récits » ou de « soties »). Construit avec minutie, ce roman multiplie les personnages, points de vue narratifs et intrigues secondaires diverses autour d'une histoire centrale. Par la liberté de l'écriture et la multiplicité des angles de vue, Gide se détache de la tradition littéraire du roman linéaire. À travers le personnage d'Édouard il montre les limites de la prétention du roman à reproduire le monde réel et ouvre ainsi la voie à la recherche

Etude de l’image de couverture. III- Résumé du livre : 1- Les personnages : Jeanne Le Perthuis des Vauds est le personnage principal de ce livre , elle est décrite comme étant une grande jeune fille, blonde aux yeux bleus, aux formes épanouies. Le personnage de Jeanne domine le roman et sa vie est perçue à travers la dualité entre ses attentes et ses désillusions, la passivité étant un défaut non négligeable de ce personnage. Ses parents sont le baron Simon-Jacques Le Perthuis des Vauds, un

pour être légitime. Les écrivains, dont l’écriture et la vie se confondent transcrivent sur le papier ce qui leur semble authentique. Le récit autobiographique est totalement référentiel dans la mesure où l’auteur se confond avec le narrateur et le personnage principal. C’est ainsi que pour Lejeune, « ce seul fait exclut la possibilité de la fiction ». Cette identité n’est pas masquée, elle est au contraire avouée au lecteur, ce qui constitue un « pacte » et la distingue considérablement du roman autobiographique

Un jour, celui-ci exige d'être remboursé, Emma, par peur du jugement qui va être prononcé contre elle, tente d'emprunter auprès de Léon, puis de Rodolphe. Tous deux la repoussent, et Emma s'empoisonne avec l'arsenic dérobé chez le pharmacien. Personnages : Emma Bovary- La protagoniste du roman. Elle s'est mariée avec Charles pour échapper sa vie dans la ferme de son père ou elle habitais après son enseignement au couvent. Elle est trop sentimentale, déprimée, et passioniste et s'est toujours ennuie

descendante Synthèse établie par D-A Carlier. III. Les figures d’opposition : Les figures d’opposition rapprochent des termes dont le sens est contraire. Le but est de créer un effet de contraste pour souligner la tension entre deux idées, deux personnages.  L’ANTIHÈSE : rapproche deux éléments opposés au moyen d’une construction symétrique : « je vis, je meurs : je me brûle et me noie » (L. Labé) ≠ ≠  L’OXYMORE : deux mots opposés sont juxtaposés ou coordonnés ; le but est de créer un effet inattendu

essentiel du roman car il s'établit un rapport entre les deux personnages principaux du roman. Nous montrerons en quoi cette de rencontre qui est traitée sans romanesque excessif annonce les termes du roman. Si tout d'abord Emma Roualt est progressivement découverte par le regard surpris de Charles, elle fait l'objet d'un blason fragmentaire et ambiguë. Enfin, le portrait de l'héroïne laisse apparaître le travail du style flaubertien ainsi que le travail parodique. I] Charles explorateur :

pénible douloureuse, dérangeant (maladie, mort). Les figures d’opposition : Les figures d’opposition rapprochent des termes dont le sens est contraire. Le but est de créer un effet de contraste pour souligner la tension entre deux idées, deux personnages. → L’ANTIHÈSE : Rapproche deux éléments opposés au moyen d’une construction symétrique : « je vis, je meurs : je me brûle et me noie » (L. Labé) → L’OXYMORE : Deux mots opposés sont juxtaposés ou coordonnés ; le but est de créer un effet inattendu

Madame Bovary de Flaubert – Commentaire composé 1ere partie – chapitre 9 : « Dès le commencement de juillet…qui se perdait dans la campagne ». Pages 96 et 97 (folio) Introduction Dans la littérature et notamment dans celle du XIXe siècle, les personnages en proie au « mal de vivre » sont nombreux. Dans cet extrait du chapitre 9 de la première partie d’Emma Bovary, célèbre roman de Flaubert, l’héroïne qui avait déjà connu le désenchantement dès le début de son mariage mais qui « a touché son rêve »

événements... c'est sa vision personnelle du monde qu'il cherche à nous communiquer en la reproduisant dans un livre. […] Au lieu de machiner une aventure et de la dérouler de façon à la rendre intéressante jusqu'au dénouement, il prendra son ou ses personnages à une certaine période de leur existence et les conduira, par des transitions naturelles jusqu'à la période suivante. Il montrera de cette façon, tantôt comment se développent les sentiments et les passions, comment on s'aime, comment on se hait