Le Pérugin

vers la droite : reflet d’une fenêtre sur l’armure (permis avec l’huile) + Reflet sur le marbre Couleur sobre = Intérêt + original MAIS Rerpise d’une thématique médiévale Pietro della Fransesca = artiste important du Quatrocento : Influence Le Pérugin Andrea Mantegna (1430 - 1506) -Naissance à Pandoue = Ville universitaire : AM est un artiste passionné d’antiquités = -Influence de Donatello = Perspective MAIS AM copie + les figures antiques que celle de Masaccio = Affranchit l’autorité des corpo

(Tondo Doni de Michel-Ange) ou alors le travail du dessin (L’Annonciation du Caravage). Précoce : Lorsque Raphaël devient orphelin à onze ans, après que son père lui ait appris les bases de la peinture, Pietro Vannucci, plus connu sous le nom du Pérugin, le prend comme élève dans son atelier. Décelant le don du jeune garçon, ils s’échangent leurs techniques, et c’est ainsi qu’ils deviennent grands amis. A l’âge de dix-sept ans, Raphaël devient maître et acquiert un atelier. Il peint Le Couronnement

(xylographie) ⇨ De Leyde (néerlandais, 1494-1533) _ travaux sur cuivre La peinture ⇨ Jean Fouquet (fçs, 1415-1478) _ portrait Charles VII ⇨ Benozzo Gozzoli (it, 1420-1497) _ Le Cortège des Rois Mages _ (palais Médicis à Florence) ⇨ Le Pérugin (it, 1448-1523) _ élève de Verrochio ; 1 des maîtres de Michel Ange ⇨ Hans Holbein le Jeune (all, 1497-1543) _ portraits Henri VIII, Erasme, Thomas More La sculpture ⇨ Jean Goujon (fçs, 1510-1566) _ La fontaine des Innocents, dans le quartier

fin de sa vie à l'architecture à Rome en concevant la place du Capitole, et à partir de 1547, en assurant la direction du chantier de Saint-Pierre qu'il couronne de sa coupole. 1500 - 1525 Haute Renaissance  Raphaël (1483-1520) Elève du Pérugin, il s'installe à Florence en 1504 où ses peintures de Madone le rendent célèbre. En 1508, il est appelé à Rome par Jules II qui lui commande la décoration des Stanze au Vatican. A la villa Farnésina, il peint Le Triomphe de Galatée. Son style est

Sibylles à douze Prophètes (les corrélations qui sont celles de la voûte recoupent par trois fois, mais transgressent par quatre fois, celles du dominicain). Par ailleurs, les Sibylles n'étaient pas inconnues de l'art renaissant, puisqu'on les voit par Pérugin au Cambio de Pérouse, ou par Pollaiuolo sur le tombeau de Sixte IV à Rome. Mais jamais on n'avait placé, avec autant d'audace, à égalité de taille et de dignité, la Révélation faite aux fils d'Israël avec la divination de l'ancien paganisme. L'esprit

chapelle Sixtine. Il consacre la fin de sa vie à l'architecture à Rome en concevant la place du Capitole, et à partir de 1547, en assurant la direction du chantier de Saint-Pierre qu'il couronne de sa coupole. | | Raphaël (1483-1520) Elève du Pérugin, il s'installe à Florence en 1504 où ses peintures de Madone le rendent célèbre. En 1508, il est appelé à Rome par Jules II qui lui commande la décoration des Stanze au Vatican. A la villa Farnésina, il peint Le Triomphe de Galatée. Son style est

été réalisées à la même époque. Un second problème existe : de nombreuses copies ont été exécutées postérieurement à l'original, non par des artisans méticuleux, mais par des artistes de premier plan. Par exemple, Raphaël a peint de nombreux Perugin ; plus tard, il fut lui même copié par Delacroix, lequel s'attaquait volontiers à Watteau ou Velazquez. Comment considérer ces oeuvres au regard de l'authenticité ? Elles sont ainsi considérées comme des pastiches ; elles ne sont plus des reproductions

Cythère : l’île de l’amour. Zéphire apporte Vénus, Botticelli utilise des couleurs pour avoir une unité dans l’ensemble. Ce qui naît sous nos yeux, c’est la naissance de la connaissance (de l’homme sur ce qui le fait naître) : idée de naissance Le pérugin travaille à Florence, élève de Della Francesca. Presque le contraire de Botticelli qui donne bcp de détails. Ici il y a un minimum de détails. Apollon est debout, il veut représenter la délicatesse d’Apollon, face à lui il ya Marcias (demi dieu)

malgré la richesse du modèle qu'il avait sous les yeux. Il n'a pas, comme plus d'un peintre de nos jours, transcrit des compositions entières. Il s'est servi d'Albert Durer comme Michel-Ange se servait de Signorelli, comme Raphaël se servait du Pérugin dans les premières années de sa carrière. Ce serait donc un enfantillage que de vouloir discuter sérieusement le reproche de plagiat. Malgré les réminiscences que l'érudition peut signaler dans le portique du Scalzo, la Vie de saint Jean-Baptiste

un plus grand nombre de compagnons. Le peintre orfèvre et sculpteur Andrea Del Verrocchio (1435-1488) protégé des Médicis est réputé pour l’importance de son atelier qui a formé des peintres comme Lorenzo Di Credi, Leonard de Vinci ou encore le Pérugin. L‘absence de spécialisation des ateliers demeure-t-elle la règle partout en Europe jusqu’à la fin du Moyen Age ? se cantonner dans une seule voie artistique est chose fort rare. Les frères de Limbourg sont surtout connus pour leurs talents