Le Pessimisme Et Flaubert

6 juillet 1893 à Paris. Lié à Gustave Flaubert et à Émile Zola, il a marqué la littérature française par ses six romans, dont Une vie en 1883, Bel Ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, mais surtout par ses nouvelles (plus de 300), parfois intitulées contes, comme Boule de Suif en 1880, les Contes de la bécasse en 1883 ou le Horla en 1887. Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent mais aussi

spirituel, total et définitif. Š Mais il n'est pas d'amour qui ne comporte aussi l'expérience de la souffrance, ne serait-ce que celle des séparations ou celle du deuil : l'amour rend vulnérable. Les réflexions sur le bonheur aboutissent à un certain pessimisme (cf. Freud, Malaise dans la culture), à la différence de la conception spinoziste de la joie comme accroissement d'être (et même visée de la béatitude).   PULSION : Elle est chez FREUD un concept-limite entre le somatique et le psychique. Elle comporte

Avant de vous parler de ce texte, j’aimerai d’abord faire quelques remarques sur l’œuvre dont il est tiré et son auteur. Baudelaire (1821-1867) fait partie de la 2ème génération du romantisme comme Flaubert ou encore le peintre Courbet. Il est excellent poète (Fleur du mal) comme Flaubert a été excellent romancier (Madame Bovary). Mais son but a été la création d’un nouveau genre littéraire, « des poèmes en prose ». Il les a réunis dans Spleen de Paris, recueil de plusieurs petits poèmes en

Balzac se contente de déduire par rapport à la réalité alors que lui, explique réellement l’impact de la réalité. Zola fut influencé par la longue série de romans composant La Comédie Humaine pour créer sa longue saga : Les Rougon-Macquart . Flaubert : influence de sa façon de concevoir le réalisme sur l’œuvre d’Émile Zola. En effet, ce qui plaisait à Zola chez cette influence littéraire antérieure, c’était l’importance de la représentation de la nature telle que l’homme la voit sans chercher

dernière phrase forme une chute comique qui ridiculise à nouveau P. Quant à Martin, il s’oppose aussi à C. dans la logique de son pessimisme « rendre la vie supportable ». Il donne seulement au travail un sens négatif comme remède à la douleur de vivre, au mal existentiel alors que C. donne un sens à l’action. La philosophie du jardin n’est pas non plus dans le pessimisme absolu. Cela met donc en valeur C. qui a intégré la leçon faite sienne par l’expérience et la réflexion. DEUXIEME MOUVEMENT

octobre 1905 en France au Château de Bourdonné (près de Houdan). Il a été inhumé le 7 octobre 1905 dans le cimetière de Bons secours (près de Rouen). Séduit par la basilique de Bons secours, le monument Jeanne d'Arc qu'il visita très souvent avec Flaubert, J.M. de Hérédia acheta une concession dans le cimetière Notre Dame de Bons secours ou il fit enterrer sa mère. Il étudia à La Havane puis en France. Dès 1861, à l'âge de 18 ans 1/2, il s'installe définitivement en France, fait ses études à Senlis

ces lieux qu’il commence à versifier. Mais il finira par se faire renvoyer. Il est alors inscrit au Lycée de Rouen, où il se montre bon élève, s’adonnant à la poésie et participant beaucoup aux pièces de théâtre. À cette époque, il côtoie Gustave Flaubert puis il part étudier le droit à Paris sur le conseil de sa mère. La guerre qui s'annonce va contrarier ses plans. En 1870, il s’enrôle comme volontaire lors de la Guerre franco-prussienne. Après la guerre, il va s'installer durablement à Paris où

est un écrivain français. Lié à Gustave Flaubert et à Émile Zola, il a marqué la littérature française par ses six romans, dont Une Vie en 1883, Bel-Ami en1885, Pierre et Jean en 1887-1888, mais surtout par ses nouvelles (plus de 300), parfois intitulées contes, comme Boule de Suif en1880, les Contes de la bécasse en 1883 ou le Horla en 1887. Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent mais aussi

un écrivain français. Lié à Gustave Flaubert et à Émile Zola, il a marqué la littérature française par ses six romans, dont Une vie en 1883, Bel ami en 1885, Pierre et Jean en 1887-1888, mais surtout par ses nouvelles (plus de 300), parfois intitulées contes, comme Boule de Suif en 1880, les Contes de la bécasse en 1883 ou le Horla en 1887. Ces œuvres retiennent l’attention par leur force réaliste, la présence importante du fantastique et par le pessimisme qui s’en dégage le plus souvent mais aussi

admet que son héros doute, qu’il souffre de la mort d’un proche, d’un ami, etc. (Comme dans L’étranger d’Albert Camus où le héros Meursault reçoit au début du roman un télégramme annonçant la mort de sa mère.) Il refuse la marque du prosaïque et un pessimisme trop évident dans l’écriture et le choix de destin trop banal. Il cherche des émotions fortes pour stimuler son plaisir de lire (le suspens, la peur pour le héros, l’amour, le courage, etc.). De plus, il peut s’identifier au personnage principal