Le Petit Coeur Brisé

la sensation que la toile prit vie . Ce n’était plus un tableau mais un film. Je voyais le feuillage des arbres ainsi que les roseaux s’agiter dans la même direction, secoués par une brise légère. Comment retranscrire les émotions qui m’envahirent à cet instant précis ? Je savais que Monet était très attaché à ce petit village qu’est Giverny. Il avait donc, aussi difficile que ce fût et en dépassant les limites du possible retranscrit à travers ce tableau ses propres émotions. Décrire les émotions

doutes, peurs... rendent difficile le partage du vécu intime de cette étape si bien que les idées fausses sont' multiples, et souvent caricaturales. Avec la sensibilité qui caractérise tous ses livres (Vivre le deuil au jour le jour, Le Couple brisé, Ensemble mais seuls...), le Dr Christophe Fauré, psychiatre, aborde les différents aspects de la vie concernés par cette période charnière : le corps, le couple, le travail, la relation avec les enfants et les parents, la conscience du temps qui passe

vautours autour de leur proie. 2ieme verre. Tu continues de danser, même si tout ça ne rime à rien, ça ne t'amuse même pas. 3ième verre. T'as mal aux pieds, mais tu continues. Danses, danses ! "Allez viens danser avec moi bel étalon" T'entends-tu petite salope ? T'entends ta voix d'allumeuse ? Tu termines la bouteille de Vodka. Tu t'assoies sur le canapé. Un vautour s'assoie à tes cotés. Il pose sa main sur ta cuisse et te fait un sourire dégueulasse. Il te veut. Tu lui enlève gentiment sa main et

Je veux de la poésie dans ma vie. De l'aventure. Et de l'amour, de l'amour par dessus tout. L'amour qui bouleverse tout dans la vie, irrépressible, ingouvernable, telle une révolte dans le coeur et contre lequel on ne peut rien. L'amour qui n'existe que dans les films, les pensées et les rêves. La pureté et l'insouciance, la folie. On irait partout. Là où on aurait envie d'aller. A l'autre bout du monde s'il le faut. II te suffirait d'un mot et nous partirions. Il te suffirait d'une caresse et

1. Lorsque Zarathoustra eut atteint sa trentième année, il quitta sa patrie et le lac de sa patrie et s’en alla dans la montagne. Là il jouit de son esprit et de sa solitude et ne s’en lassa point durant dix années. Mais enfin son cœur se transforma, – et un matin, se levant avec l’aurore, il s’avança devant le soleil et lui parla ainsi : « Ô grand astre ! Quel serait ton bonheur, si tu n’avais pas ceux que tu éclaires ? Depuis dix ans que tu viens vers ma caverne :

DE ZARATHOUSTRA 1. Lorsque Zarathoustra eut atteint sa trentième année, il quitta sa patrie et le lac de sa patrie et s’en alla dans la montagne. Là il jouit de son esprit et de sa solitude et ne s’en lassa point durant dix années. Mais enfin son cœur se transforma, – et un matin, se levant avec l’aurore, il s’avança devant le soleil et lui parla ainsi : « Ô grand astre ! Quel serait ton bonheur, si tu n’avais pas ceux que tu éclaires ? Depuis dix ans que tu viens vers ma caverne : tu te serais

vie. Esprit Saint rosée de tendresse Descends sur nous fais-nous vivre de ta vie. 1.) Vois notre cœur qui te cherche sans relâche Vois notre cœur qui n’attend que Toi Vois notre cœur qui te cherche sans relâche Vois notre âme qui s’abandonne à Toi. 2.) Vois notre cœur de pauvre qui crie « Abba notre Père » Vois notre cœur de pauvre qui dit « oui » Comme Marie fais-nous demeurer en Lui. 4.) - Esprit de feu, Esprit qui libère

grand, 1m75 et extrêmement maigre, 60 kilos un peu près. Vous l'aurez compris, il n'est pas du genre à avoir un corps séduisant, c'est à dire de beaux muscles et des bras imposants, non. C'est littéralement un cure-dent, une petite aiguille légère. Il donne l'impression qu'une brise de vent pourrait le casser en deux et pourtant, il a le mérite de posséder une certaine endurance, non pas grandiose, mais ce qui faut pour pouvoir pleinement vivre. Des cheveux plutôt longs, une coupe normal de « skatteur »

__________________ Victime de la solitude, celui-ci est devenu un songe utopique. Ma lame étale hâtive un coup virulent sur ma peau, je sens mon cœur se déliter sous la pression irascible. Les échos indistincts qu’à mon œillade je perçois, finissent par cribler les murs amochés. Je crois succomber aux battements anarchiques de mon cœur, mais rien ne clôture mes huées intenses. Je sens mon sang s’affluer sur mon corps statique et impuissant. L’âtre d’une cheminée isolée au coin d’une larme

tambours des cerceaux dorésL'ours et le singe animaux sagesQuêtent des sous sur leur passage Guillaume Apollinaire Brise Marine La chair est triste, hélas! et j'ai lu tous les livres. Fuir! là-bas fuir! Je sens que des oiseaux sont ivres D'être parmi l'écume inconnue et les cieux! Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux Ne retiendra ce coeur qui dans la mer se trempe O nuits! ni la clarté déserte de ma lampe Sur le vide papier que la blancheur défend Et ni la jeune femme